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Bâtiment à énergie positive

Bâtiment à énergie positive
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un bâtiment à énergie positive (parfois abrégé en « BEPOS ») est un bâtiment qui produit plus d’énergie (électricité, chaleur) qu'il n’en consomme pour son fonctionnement. Cette différence de consommation est généralement considérée sur une période lissée d'un an. Si la période est très courte, on parle plutôt de bâtiment autonome (par exemple pour les maisons des dernières tranches de l'écoquartier EVA-Lanxmeer aux Pays-Bas qui ne sont « excédentaires » que neuf mois par an – l'électricité étant encore difficilement stockable sur plusieurs mois à l'échelle d'un quartier). Il s'agit généralement d'un bâtiment passif très performant et fortement équipé en moyens de production d'énergie par rapport à ses besoins en énergie. Historique du concept[modifier | modifier le code] Parmi les premières références, on peut citer la maison Hölken, à Freiburg-im-Beisgau, une maison totalement autonome en énergie datant de 1994. BEPOS JF Cesbron

Innovations: comment peut-on récupérer l’énergie de la marche?- 3 août 2012 - Sciencesetavenir.fr Damien Hypolite pour Sciences et Avenir S’il fallait donner un visage à la fuite des cerveaux, ça pourrait être celui de Laurent Villerouge. Sa start-up toulousaine Viha Concept vient de quitter la France pour les Etats-Unis, faute d’avoir pu convaincre banques et investisseurs nationaux de soutenir son projet de « Trotelec », un trottoir électrique capable de récupérer l’énergie de la marche des passants. Les Américains, eux, ont été emballés, comme le raconte Libération du 24 juin. Ce principe de fonctionnement est illustré dans l'infographie de Sciences et Avenir (voir ci-dessus); vous pouvez également voir cette vidéo consacré à un prototype de trottoir récupérateur d'énergie. Villerouge a su s’attirer la participation au projet de Lafarge, qui a fabriqué les dalles avec un béton spécial, et de la société française CGR (Comptoir Général du ressort), fournisseurs des ressorts. Le Trotelec n’est pas le seul projet de collecte d’énergie générée par des mouvements du quotidien.

La bave du Krapo | Le blog du dessinateur Krapo bouletcorp Francis Dupuis-Déri Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Francis Dupuis-Déri (né en 1966 à Montréal[1]) est un écrivain et professeur québécois. Depuis 2006[1], il enseigne au département de science politique et à l'Institut de recherches et d'études féministes (IREF) de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Francis Dupuis-Déri étudie notamment les mouvements sociaux tels l'altermondialisme, l'antiféminisme et le masculinisme[2]. Publications[modifier | modifier le code] Militantisme[modifier | modifier le code] Il a collaboré à plusieurs groupes de sensibilité anarchiste : le Comité un Québec pour tout le monde, le Collectif opposé à la brutalité policière (COBP), la Convergence des luttes anticapitaliste (CLAC), le Village alternatif anticapitaliste et antiguerre (VAAAG), la Bl(a)ck Tea Society, la Coalition antimasculiniste et la Coalition Guerre à la guerre[7]. Guerre en Afghanistan[modifier | modifier le code] Grève étudiante — 2012[modifier | modifier le code]

Naomi Klein Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Klein. Naomi Klein (née le 8 mai 1970 à Montréal) est une journaliste canadienne, auteur, cinéaste et militante altermondialiste. Biographie[modifier | modifier le code] L'histoire familiale de Naomi Klein est teintée de militantisme politique. Ses parents ont émigré au Canada en protestation contre la guerre du Viêt Nam[2]. La carrière d'écrivain de Klein commença avec ses contributions au journal The Varsity, un journal étudiant de l'Université de Toronto dont elle était rédactrice en chef. Elle a également écrit Fences and Windows (2002) ainsi que des articles pour différents journaux (The Nation, The Globe and Mail, Harper's Magazine, The Guardian, Rolling Stone et In These Times), et participé (avec son mari, le journaliste de la télévision canadienne Avi Lewis (en)) à la réalisation d'un film (The Take) sur le phénomène des entreprises autogérées par les salariés en Argentine.

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