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Copyheart : un amour de licence libre

Copyheart : un amour de licence libre
Magie de la sérendipité, je suis tombé plus ou moins par hasard sur la licence (ou plutôt sur la non-licence) libre la plus charmante qu’il m’ait été donné de rencontrer à ce jour : le ♡Copyheart. Son inventeur s’appelle Nina Paley, une activiste éminente de la Culture libre, qui s’est distinguée comme artiste en créant le magnifique film d’animation Sita sings the blues (sous licence CC-BY-SA) et qui s’attache à penser la propriété intellectuelle autrement sur son site QuestionCopyright. Nina s’est lancée depuis quelques mois dans un nouveau projet, en créant un blog BD mettant en scène sous forme de strips en 3 cases deux petits personnages, Mimi and Eunice, que vous avez déjà peut-être vus dans cette vidéo en faveur du partage "Copying is not theft". Les aventures de Mimi and Eunice portent sur des sujets variés, en fonction de l’humeur de Nina, mais certains strips aiguillonnent joliment la propriété intellectuelle et ses dérives, comme celui-ci par exemple : Par Nina Paley. Q. R. Q.

Réutiliser des images en ligne : entre Copyright, Copyleft et ... Copydown ? L'eG8 suspecté de violation de droits d'auteur Le respect absolu du droit d'auteur est un exercice plus difficile qu'il n'y paraît, même pour les tenants de la ligne dure. Dix jours après la tenue du premier forum international consacré à Internet, l'inadéquation du droit d'auteur à l'ère du numérique réapparaît à la faveur d'une probable violation des droits d'auteur de deux artistes diffusant leur musique via la plate-forme française Jamendo. L'affaire a été révélée par Xcyril sur les forums du site web spécialisé dans la musique libre, puis relayée par un autre membre, Chefgeorges, dans un autre sujet. Les deux internautes ont constaté que des passages de certaines pistes réalisées par Ehma (qui n'est plus lié à Jamendo PRO, préférant la licence art libre) et Revolution Void ont été utilisés pour sonoriser une vidéo promotionnelle utilisée dans le cadre du forum eG8. Chefgeorges indique sur le forum de Jamendo avoir contacté les deux artistes, mais seul Revolution Void a pour le moment répondu au mail. Et maintenant ?

Instruction administrative : méfiance ! Instruction administrative : méfiance ! Vendredi 6 avril 2012 Bonjour L’article d’aujourd’hui a pour objet une modification légale récente dont les conséquences fiscales peuvent être importantes pour les auteurs. A l’heure où le dépôt des déclarations de revenus approche à grands pas, l’Administration a adopté une Instruction, en date du 15 mars 2012, pour préciser les modalités d’application de l’une des mesures contenues dans la loi de finance du 28 décembre 2011. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces modalités de mise en œuvre contiennent un piège dans lequel il vaut mieux ne pas tomber. Un auteur photographe qui débute son activité professionnelle a le choix entre deux régimes fiscaux : - celui de la MICRO-entreprise, qui lui permet de tenir une comptabilité très simplifiée et de ne déclarer que le montant total de ses revenus d’auteur dont le Fisc retirera une quotité forfaitaire (34%) avant de l’imposer sur le reste En résumé, l’Instruction nous dit la chose suivante : . .

Pirater n’est pas voler, en sept mythes Pirater n’est pas voler. Le vol enlève l’objet original, le piratage le duplique: Pirater, c’est donc plutôt comme photocopier un livre à la bibliothèque ou vite graver une copie d’un CD qu’on nous a prêté. Je suis atterrée de voir à quel point le lavage de cerveau opéré par la grosse machine a faire du fric de l’industrie du film et de la musique a été efficace: nombre de personnes dans mon entourage avalent tout rond l’affirmation selon laquelle le téléchargement d’oeuvres protégées par le droit d’auteur est un crime comparable (si ce n’est pire!) à aller se servir dans le porte-monnaie des artistes. Ce n’est pas gagné d’avance: le lavage de cerveau à fonctionné — à force de répéter les choses, les gens finissent par y croireles raisonnements et les statistiques n’ont que peu de poids face à un adversaire qui manipule l’émotionnella loi reste la loi, et le non-respect du droit d’auteur est illégal. Mais ne nous décourageons pas. Mythe #1: “pirater, c’est voler” Tim O’Reilly David Weinberger

Quelle signature/watermark pour quelle photo ? Je vous ai déjà parlé des signatures sur les photos (aussi appelées watermark). S’il est conseillé de marquer ses photos lorsque l’on veut les distribuer sur internet, il faut aussi faire attention à son format: la signature doit être fonction de l’usage des images. Dans l’absolu, la règle d’or (à mon sens) est de préserver la photo avant tout. Quelques exemples Voici quelques exemples de watermark. Dans un coin ( Source photo: Photo Libre ) Avantage: Discret, sobre et ne gène pas trop la lecture de l’image.Inconvénient: un recadrage permet de supprimer la signature. La signature dans un cadre Avantage: la signature s’ajoute à la photo sans la dénaturer.Défaut: Un simple recadrage et la signature disparaît. En transparence sur l’image Avantage: très bonne protection contre l’utilisation frauduleuse de vos imagesDéfaut: Dénature très largement et risque de gêner la lecture de l’image Ce genre de signature est, dans la plupart des cas, à proscrire. Automatisation Bilan

La communauté Linux veut se protéger des brevets abusifs Créé avec l’aide de « sponsors » comme la Linux Fondation, l’Open Invention Network et le Software Freedom Law Center, Linux Defenders est un groupe de pression et de réflexion qui veut éliminer ce que ses membres nomment « les brevets de piètre qualité » portant sur le système d’exploitation Linux, mais aussi les logiciels et les innovations technologiques en général. Constitué de trois sections principales, ce groupe compte réunir des éléments matériels afin de prouver qu’un brevet déposé devant le USPTO (United State Patent and Trademark Office) concernant un logiciel ou une innovation n’est pas toujours justifié. Linux Defenders compte collaborer efficacement avec l'office américain afin qu'il évite d’accorder à tord des brevets, faute de temps et de connaissance pour les réfuter. Toutes les contributions sont les bienvenues pour aider ce programme à remplir ses objectifs, même si ce groupe vise dans l’immédiat à se focaliser sur les brevets déposés aux Etats-Unis.

Protéger ses photos contre le vol : les solutions Un nouveau type de pratique déloyale fait son apparition sur internet : la vente de photos dont les droits n'appartiennent pas au "marchand". Une internaute anglaise a récemment découvert plusieurs de ses photographies vendues sur un site, sans qu'elle n'en ait été informée. Les images étaient vendues sous différents noms d'artistes, probablement faux. Ce type de détournement peut devenir monnaie courante, si l'on ne prend pas ses précautions. 1. Vous pouvez distribuer gratuitement vos images, en limitant leur diffusion à un usage non commercial. Ce type de licence est simplifié par Creative Commons : il s'agit de la licence Creative Commons NC (Non Commercial). Vous pouvez également utiliser la licence Creative Commons BY , qui impose que le nom de l'auteur soit cité. En cumulant les deux restrictions, vous obtenez une licence Creative Commons NC BY . Si vous utilisez des sites comme Flickr pour partager vos photos, vous pouvez indiquer le type de licence souhaité pour chaque photo. 2. 3.

Empocher 30 M$ ou s’acharner sur la vérité? Hier soir, j’ai écouté le film Flash of genius qui raconte la vie de Robert Kearns. Cet homme a inventé l’essui-glace intermittent. C’était à l’époque, une révolution! Comme il était un grand rêveur et un peu naïf (comme beaucoup de créateurs / inventeurs), il pensait pouvoir produire son invention et la vendre au Big Three, en particulier à Ford. David contre Goliath Long story short, il se fait avoir par Ford qui lui pique son invention. La vérité, tout simplement Kearns ne voulait qu’une chose : que Ford avoue publiquement lui avoir piqué son idée. Évidemment, se battre contre Ford n’a rien d’une fête d’enfants avec des ballons. Se battre ou non? Alors sachant tout ça, qui aurait accepté une des offres? Perso, je ne sais pas. **T'aimes ce billet? Categorie: Articles - Réflexions, Entrepreneurship 23 comments »

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