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Emmanuel Terray : être de droite, c’est avoir peur

Emmanuel Terray : être de droite, c’est avoir peur
L’anthropologue Emmanuel Terray, qui signe « Penser à droite », a enquêté sur la tribu dont les valeurs triomphent depuis plus de trente ans. Emmanuel Terray à la rédaction de Rue89, mars 2012 (Mathieu Deslandes/Rue89) Emmanuel Terray est un grand nom de l’anthropologie française. C’est aussi un citoyen engagé, comme on dit, franchement à gauche. Il vient de publier un livre, « Penser à droite » (éd. En étudiant les écrits des grands penseurs de droite depuis la Révolution française, il a dégagé ce qui constitue leur socle commun, quelles que soient les époques, et quels que soient les « courants » et les traditions dans lesquels ils s’inscrivent. Il nous aide à comprendre pourquoi l’immigration et l’islam sont des obsessions des hommes politiques de droite. Au terme de son enquête, il estime que la vision du monde « de droite » est aujourd’hui hégémonique – et que « François Hollande est un bon reflet » de cette domination. On a un mécanisme du même genre dans la pensée de droite. Oui.

La France n'aime pas ses accents - L'actu des régions - Société L'Agenais Michel Serres prouve que, contrairemement à ce que croient certains, on peut dire des choses intelligences avec un accent chantant © Michel Feltin-Palas La plupart des médias qui ont repris ce sondage (1) ont retenu avant tout une chose : l'accent toulousain serait "le plus charmant" et même "le plus sexy", dans la mesure où les intonations du Sud seraient dotées d'un capital sympathie précieux dans le jeu de la séduction. Mais cette enquête contient d'autres informations qui ont été peu relevées et qui, à mon sens, sont plus inquiétantes car elles montrent que les accents régionaux restent méprisés. La preuve est apportée par la réponse à la question suivante : quel est l'accent le plus intelligent ? Réponse : ni celui des Alsaciens ni celui des Provençaux, mais le français standard, faussement dit "sans accent", loin, très loin devant celui des Bretons. Contrairement à ce que l'on croit, cet accent n'est pas l'accent parisien.

Mythes et mythologies politiques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythes et mythologies politiques est un ouvrage de l’historien français Raoul Girardet paru en 1986. Méthodologie[modifier | modifier le code] Les travaux concernant l’histoire des idées politiques se consacrent presque exclusivement aux systèmes de pensées rationnels (par exemple Montesquieu, Marx). Par cette étude, Raoul Girardet a souhaité restaurer la place occupée par l’imaginaire dans l’histoire des idées politiques, car lui seul explique parfois la puissante attirance qu’ont exercée les systèmes rationnels. Cependant, une fois ces difficultés et ces risques pris en compte, l’étude peut être menée, et Girardet l’organise autour de quatre thèmes qui sont, au fond, quatre exemples tendant à démontrer l’importance fondamentale de l’imaginaire, du mythe, dans l’évolution des idées politiques et de la société. le mythe de l’unitéle mythe du sauveurle mythe de l’âge d’orle mythe du complot / de la conspiration Dans son introduction, R.

Populismes : la pente fatale: Amazon.fr: Dominique Reynié La tyrannie de l'évaluation - Angélique del REY Dans la vie quotidienne de chacun, jeune ou moins jeune, cadre ou ouvrier, à l'école comme au travail, dans les organisations publiques et privées, au niveau des politiques publiques, etc., les évaluations se font de plus en plus pressantes, diffuses, continues. Rendre des comptes, être visible, mesurable et surtout compétitif devient l'injonction permanente, stressante et très peu mise en cause. Être évalué paraît généralement aller de soi, voire être désirable : « On m'évalue, donc je suis. » Or ces évaluations sont tout à fait paradoxales : au nom de la rétribution au mérite, elles dénient le mérite véritable et engendrent un climat délétère de concurrence et de sauve-qui-peut ; au nom de « plus d'efficacité », elles créent une forme inédite d'inefficacité ; au nom de l'objectivité, elles écrasent les différences, standardisent, normalisent. Angélique del Rey enseigne la philosophie dans un centre de postcure pour adolescents, en banlieue parisienne. Introduction.

Lire : La fabrication du consentement, de Noam Chomsky et Edward Herman (un extrait) Présentation de l’éditeur « Dans cet ouvrage, désormais un classique outre-Atlantique (1988, rééd. 2002), les auteurs présentent leur « modèle de propagande », véritable outil d’analyse et de compréhension de la manière dont fonctionnent les médias dominants. Ils font la lumière sur la tendance lourde à ne travailler que dans le cadre de limites définies et à relayer, pour l’essentiel, les informations fournies par les élites économiques et politiques, les amenant ainsi à participer plus ou moins consciemment à la mise en place d’une propagande idéologique destinée à servir les intérêts des mêmes élites. En attendant de proposer ici même une présentation plus détaillée, on se bornera à ajouter que La fabrique du consentement propose une modélisation de la propagande – ce que les auteurs appellent « Le modèle de propagande » - qui repose sur l’identification de cinq filtres : 1. Extrait (sous-titres d’Acrimed) Chapitre I. 3. Des sources officielles Des médias subventionnés Des experts

George Galloway's Respect could help Britain to break the political impasse | Tariq Ali George Galloway celebrates with his supporters after winning the Bradford West byelection. Photograph: Anna Gowthorpe/PA George Galloway's stunning electoral triumph in the Bradford by-election has shaken the petrified world of English politics. It was unexpected, and for that reason the Respect campaign was treated by much of the media (Helen Pidd of the Guardian being an honourable exception) as a loony fringe show. A BBC toady, an obviously partisan compere on a local TV election show, who tried to mock and insult Galloway, should be made to eat his excremental words. Thousands of young people infected with apathy, contempt, despair and a disgust with mainstream politics were dynamised by the Respect campaign. How did we get here? To question this turn, to defend the public sector, to argue in favour of state ownership of utilities or to challenge the fire sale of public housing was to be regarded as a dinosaur. Respect is different.

Les 100 personnes les plus riches ont un revenu annuel qui pourrait permettre d'éradiquer quatre fois la pauvreté INÉGALITÉS – Du 23 au 27 janvier, les grands de ce monde se retrouvent à Davos, petite station de sports d'hiver du canton des Grisons en Suisse, pour la traditionnelle réunion annuelle du Forum économique mondial. Les semaines précédant le sommet, lobbys et ONG ont coutume de mettre en lumière quelques-uns des problèmes les plus urgents de la planète à grands coups de rapports et de mises en perspectives déroutantes. À quelques jours de la 43e édition du rassemblement, l'organisation humanitaire Oxfam n'a pas dérogé à la règle en dévoilant son rapport sur les inégalités, "The cost of inequality : how wealth and income extremes hurt us all". Avec une idée choc: le revenu annuel des 100 personnes les plus riches pourrait permettre d'éradiquer quatre fois la pauvreté. Un "new-deal" pour lutter contre les inégalités ? Loading Slideshow 26.

Justice Il y a bien longtemps que le mythe de la grande famille judiciaire qui réunirait magistrats et avocats, surtout en matière pénale, dans un même élan et au service d'une même cause est passé à la trappe. Force est de constater qu'avec l'élection de François Hollande et les mises en cause, ici ou là, de Nicolas Sarkozy, ce processus d'éloignement s'est encore aggravé comme si l'indépendance laissée aux juges dans l'instruction des dossiers sensibles depuis le mois de mai 2012 avait permis de concentrer les antagonismes sur la relation orageuse entre ceux qui sont au service de l'intérêt social et ceux qui défendent leur clientèle. Je n'ai jamais mieux compris que durant cette effervescente période pourquoi, en dehors de la complexité judiciaro-bureaucratique, pas un instant je n'avais envisagé intellectuellement, profondément, de m'inscrire au barreau pour tenter de m'adonner au droit de la presse et à la procédure criminelle. Magistrats et avocats : pas du même monde !

So it’s Carr(ion) If you were asked to present an individual who personally embodied the general strategic orientation of modern Labor, Bob Carr would be a pretty good choice. Imre Salusinszky’s summed up Carr’s elevation in a piece for the Australian entitled ‘The hard Right man cometh’. ‘The biggest achievement of Carr in office was political,’ Salusinszky explained. ‘[H]e rewrote the manual on modern Labor leadership. Alongside his fiscal conservatism, he appealed to the western suburbs by outflanking the Coalition on law and order. That combination of free market economics and tabloid populism now defines the modern ALP. What about on foreign policy? Salusinszky again: ‘He will not only be as pro-US as Alexander Downer, he will also be able to match his Washington hosts in Civil War history, as well as the history of the Kennedy administration. Carr even shares Rudd’s mildly heretical enthusiasm for the rise of China. Now consider the media reaction to Carr’s appointment. Why this hyperbole?

Colère noire contre l'«Envoyé spécial» en Tunisie Ras-le-bol des reportages français qui montrent une Tunisie tombée aux mains d’extrémistes violents. Marre de ces journalistes qui mettent à mal la réputation, que les Tunisiens voudraient bien conserver, d’un pays ouvert et tolérant: en Tunisie, beaucoup ont été franchement agacés par la diffusion, jeudi, dans Envoyé Spécial, d’un nouveau reportage sur «la menace salafiste». Quelques heures avant la diffusion, le journaliste tunisien Safwene Grira, qui officie sur France 24 en arabe, avait prévenu sur Facebook : le reportage «a été réalisé avec une mauvaise foi hors norme», dénonce le reporter «associé à ce travail d’une manière très ponctuelle». «Vous allez voir tous les clichés du monde, comme les salafistes méchants et barbus (...). «Tunisie, sous la menace salafiste ?» «L’odeur nauséabonde de la mauvaise foi» Juste après la diffusion, les critiques ont commencé à pleuvoir sur la page Facebook de l'émission de France 2. Contre-reportage Travail bâclé ?

The Lost Tribe « Drag0nista's Blog Moir, SMH 4 Apr 2012 There’s a group of Australians that I’m beginning to think of as the lost tribe. They’re average people in most ways. They earn average incomes and have vanilla tastes. They worry about servicing their mortgages, getting their kids through school, and funding their retirement. They do their bit for the environment by getting a smaller car, installing a rainwater tank or using re-usable shopping bags. The focus of this tribe is home and hearth; while they might be active in their own communities, they don’t have the time or inclination to focus on the big issues that loom beyond their back fence. The tribe are the people variously called Howard’s battlers, middle Australia and working families. But these people no longer feel an allegiance to any one political party because their values have become fragmented in a way that does not match what is being offered. This tribe bears no allegiance to any one party, because they believe every party has let them down.

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