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Luxe: les 9 tendances de l'engagement - MEDIA

Luxe: les 9 tendances de l'engagement - MEDIA
Mardi dernier se tenait la première édition des « Rencontres Luxe », une conférence créée par MPublicité : « Les mots clés des « rencontres Luxe » sont ouverture et partage : des idées, de la conversation et de la connaissance des experts qui s’y expriment. Le regard est prospectif mais les sujets abordés animent les réflexions quotidiennes des marques premium ou de luxe. » confie Elisabeth Cialdella, directrice déléguée en charge du marketing et de la communication, MPublicité. En collaboration avec la rédaction de M, le magazine du Monde et l’Observatoire du Luxe Contemporain de Publicis Et Nous, la régie du Groupe Le Monde a donc présenté lors de cette conférence intitulée « La construction de l’engagement, du fantasme à l’expérience vivante», les 9 tendances de l’engagement en 2012. Avec l’avènement des réseaux sociaux, la crise, l’infidélité des consommateurs, l’engagement marketing prend ses lettres de noblesse. E-morale ou l’engagement par le « clickisme ». Virginie Achouch

Social CRM : et si les médias sociaux simplifiaient la relation client Avec les nouvelles technologies, on cherche souvent de la complexité là où finalement le client veut au contraire que ca soit de plus en plus simple. La technologie ne doit pas être utilisée comme gadget mais comme un service qui crée de la valeur ajoutée dans la relation entre une marque et un consommateur. Augmenter les points de contact Voila un sous-titre que je vois apparaître souvent. Internet, via la multiplicité des médias sociaux permet de multiplier les points de contact entre une marque et ses prospects / clients. Multiplier ne veut pas dire démultiplier et créer la même interaction sur les différents supports. De même sur Facebook, je n'ai pas nécessairement envie seulement de retrouver des onglets me présentant des contenus présents sur le site Internet, et qui me renvoie directement sur le site de la marque sans me proposer une relation interactive / une expérience au préalable. Quelques exemples au hasard de marques qui ont crée une ligne de contact dédiée sur Twitter :

Révolution digitale : s'adapter ou mourir - TRIBUNE ...et que si vous ne savez pas le prendre en compte et vous adapter, vous ne survivrez pas bien longtemps. Dans un monde digital, tous ceux qui s'agripperont à leur modèle analogique n'arriveront pas à se mettre "à la page". Même si certains nous promettent que "le changement, c'est maintenant", le changement doit être constant or, bien souvent, il intervient trop tard et devient alors une contrainte, une nécessité pressante où l'on confondra souvent vitesse et précipitation. Lorsque l'on est un empereur qui règne sur son royaume, on ne voit pas les troupes barbares à ses frontières, sûr de sa force et de la loyauté de ses généraux. Sauf que le confort, le leadership ne poussent pas au changement, ne poussent pas à se poser les questions. Les internautes sont infidèles. Cette année plus que jamais, nous plaçons au centre de ces écosystèmes sociaux, Facebook et Google. - proposer tous les usages possibles du Web; - maîtriser l'identité numérique des internautes; Cédric DENIAUD @cdeniaud

Les animateurs vont-ils remplacer les mascottes des marques ? Dans ma jeunesse, les marques se servaient de mascottes pour incarner des valeurs et paraitre plus sympathiques auprès du public. À l’époque nous avions donc un dauphin pour Galak, un gros costaud pour Malabar… Depuis la situation à bien changée. La télé-réalité et les médias sociaux ont ainsi fait évoluer les idéaux des consommateurs d’effigies fantasmées (les mascottes) ou idéalisées (les stars de ciné) vers des figures plus proches, plus réalistes, mieux ancrées dans le quotidien “palpable” des cibles. La raison est toute simple : les consommateurs s’identifient beaucoup mieux à des semblables. Pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ? Si vous n’avez rien à dire, payez un autre pour ne rien dire à votre place Nous avons donc une marque de tablettes de chocolat qui essaye visiblement de séduire les jeunes et qui utilise pour cela une figure visible de la génération Y : Norman, un vidéocaster plutôt sympathique. Voilà… C’est tout… Rien d’autre…

danah boyd : pourquoi avons-nous peur des médias sociaux A l’occasion de la conférence SXSW qui se tenait mi-mars à Austin, Texas, la sociologue de Microsoft, danah boyd, a donné une très intéressante conférence sur « le pouvoir de la peur chez les publics en réseaux » dont elle a publié le transcript sur son site. Son intérêt pour cette question, comme elle l’explique, vient du fait qu’elle travaille particulièrement sur les cultures adolescentes et les rapports des jeunes aux nouvelles technologies (voir les nombreux articles que nous avons consacré aux travaux de cette chercheuse). Dans ce cadre, elle observe notamment l’intimidation en ligne et est souvent confrontée aux problèmes que les jeunes rencontrent via les réseaux sociaux. L’occasion de revenir avec elle sur comment les médias en réseaux favorisent nos angoisses et comment pouvons-nous les combattre. Pour danah boyd, si l’on suit une suite de causes à effets, les choses sont assez simples. Nous vivons dans une culture de la peur. Notre peur est impossible à rassurer

Packaging : il n'y a plus de tendances ! L’individu est devenu protéiforme, paradoxal et tellement insatisfait qu’il veut désormais tout et son contraire. Et tout le monde s’y met : c’est la confusion des genres à tous les niveaux. Au niveau des modèles sociétaux, dans la publicité ou encore dans les produits. On aime, depuis quelques années, se tourner vers le design anglo-saxon. Le goût de L’authenticitéAlors y a-t-il un nouveau mot d’ordre ? Un second exemple avec Quai Sud et, en particulier, sa belle création de desserts à préparer soi-même. Le Raffut fait du raffut - « Si les mouettes suivent le chalutier c’est parce qu’elles pensent que des sardines seront jetées a la mer… » Publié le 24 mai 2012 Brand content, d’advertainment, d’experiential marketing, de street marketing... Comment et pourquoi observe-t-on cette avalanche de néologismes plus ou moins porteur de sens ? De nos jours, une multitude d’appellations qualifie la conception et la production de dispositifs de communication événementielle grand public : ainsi entend on parler d’opérations de brand content, d’advertainment, d’experiential marketing, de street marketing et bien d’autres qualificatifs encore… Toutes ces opérations ont un dénominateur commun : le contact entre un public et une marque. Un écran de fumée savamment mis en place pour concourrir et parfois gagner, mais avec, le plus souvent, le recours a l'expertise d'une agence d'événement "pure player". « Si les mouettes suivent le chalutier c’est parce qu’elles pensent que des sardines seront jetées a la mer… » Thomas Deloubrière Directeur associé, Double 2 Membre du Raffut TAGS : France / Evènementiel / Le raffut

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