Le tremblement de terre de Fukushima a changé la gravité de la Terre Le tremblement de terre de Tohoku de 2011, qui a causé le tsunami responsable de la catastrophe nucléaire de Fukushima a fait plus que perturber des structures artificielles. Le satellite GOCE de l'Agence spatiale européenne a mesuré un changement notable dans la gravité terrestre. Ce satellite lancé en 2009, a recueilli des données permettant de cartographier la gravité terrestre avec une précision inégalée. Alors que nous pensons généralement que la gravité est une chose constante, les forces varient selon les régions en raison de la répartition inégale de la matière au plus profond de la Terre. Rien de ceci n’est une surprise pour les chercheurs, en revanche, ce que les scientifiques ne s’attendaient pas à capturer, c’est un changement dans la gravité, en temps réel. Les grands tremblements de terre peuvent non seulement déformer la croûte terrestre, mais aussi causer de minuscules changements dans la gravité locale.
Statistiques mondiales écologiques World - Kantar Welcome to Kantar World, an interactive data visualisation of some of the most frequently sought and useful Kantar data about countries and consumers around the globe. It's simplicity itself to use. Just select a dataset from the drop-down menu. You can choose from: Economic data Unemployment rates GDP growth Car ownership - data from Kantar Media TGI Mobile phone ownership - data from Kantar Media TGI Internet use - data from Kantar Media TGI "Emotional" data Happiness score Well-being rating Health data Cardiac prevalence Physical health satisfaction The data will appear by country, with the countries colour-coded by global region. We'll be looking to expand this feature over time. Source : Kantar
État du Monde, État d'Être Un «nouveau monde» vient d'être découvert dans le noyau interne de la Terre Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Space.com C'est une découverte qui ouvre de toutes nouvelles perspectives. Une découverte qui révolutionne notre conception du coeur de notre planète: le noyau interne de la Terre n'est pas une boule solide faite d'alliage de fer, comme l'ont longtemps pensé les scientifiques. Dans leur étude, les géophysiciens ont analysé les ondes sismiques générées lors de tremblements de terre afin de créer une sorte de scanner du globe et de ses profondeurs. Ce tout nouveau monde serait en fait composé de différentes consistances de fer, du métal très dur au métal semi-mou, voire liquide à certains endroits. Cette découverte n'est pas seulement fondamentale pour notre compréhension du fonctionnement de la Terre: elle permet également de mieux comprendre la relation entre le noyau d'une planète et son activité magnétique de façon générale. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Space.com C'est une découverte qui ouvre de toutes nouvelles perspectives.
L’origine des composants terrestres révélée par la composition du manteau inférieur D'où proviennent le carbone, l'azote, et l'eau qui ont rendu la Terre habitable ? Encore aujourd'hui, cette question reste intensément débattue. Pourtant, un élément chimique en particulier pourrait aider à résoudre cette énigme, ou du moins à avancer sur la voie de la connaissance. Il s'agit du krypton. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Voie lactée : la simulation de la formation d'une galaxie Ce film montre une simulation informatique d'une galaxie comme la Voie lactée. À quel moment, et à partir de quelle source, sont arrivés les éléments volatils comme le carbone, l’azote et l’eau ? Le krypton, un bon traceur chimique Pour tenter de contraindre la question de l'origine des éléments volatils, une équipe de chercheurs de l'université de Californie s'est intéressée à la composition du manteau inférieur de la Terre. Pour leur étude, les chercheurs sont allés échantillonner des roches volcaniques produites par des volcans de point chaud en Islande et dans les Galápagos.
Questions d’enfants : « Pourquoi la terre tourne-t-elle ? », se demande David (8 ans) Pour le comprendre, il faut retourner à la formation du système solaire : l’ensemble formé par notre soleil et les planètes tournant autour, dont la terre. À l’origine, tout provient d’un grand nuage de gaz et de poussières. Globalement, il ne tourne pas, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de petits mouvements à l’intérieur. Un jour, ce nuage a été perturbé (par exemple il a subi le choc d’une explosion d’étoile, ou un bombardement de lumière ultraviolette, ou il entre en collision avec un autre nuage). VIDÉO : « Pourquoi la terre tourne-t-elle sur elle-même ? Quand un grand nuage de gaz et de poussières se fragmente, les fragments, eux, peuvent avoir un petit mouvement. On a alors un bébé étoile entouré d’un disque de gaz et de poussières (oui, ça s’est aplati, aussi) qui tourne. Du nuage à la formation des planètes et du soleil © Astronomes.com (via The Conversation)
De nouvelles preuves en faveur de la panspermie Une étude du manteau profond bouleverse l’idée qu’avaient les scientifiques sur la formation de la Terre. Le Krypton du manteau terrestre révèle que de petits corps rocheux provenant de notre système solaire externe glacé ont frappé la Terre. Cet évènement aurait eu lieu des millions d’années avant le Big Crunch. Cela indique que les éléments volatils étaient présents lors de la formation de la Terre beaucoup plus tôt qu’on le croyait. Cette étude montre que la Terre a été frappée par des météorites. La découverte ainsi faite remet en question l’idée connue de tous selon laquelle la majorité des éléments volatils de la Terre a été livrée vers la fin de la naissance de la planète. De la composition du manteau terrestre L’empreinte chimique du Krypton présent dans le manteau terrestre s’est avérée très similaire à celle des météorites. Par rapport aux météorites connues, les chercheurs ont trouvé de l’isotope kr-86 dans le manteau. D’où vient le manteau terrestre ?
Earth’s Interior Is Cooling “Much Faster Than Expected” Researchers at ETH Zurich have demonstrated in the lab how well a mineral common at the boundary between the Earth’s core and mantle conducts heat. This leads them to suspect that the Earth’s heat may dissipate sooner than previously thought. The evolution of our Earth is the story of its cooling: 4.5 billion years ago, extreme temperatures prevailed on the surface of the young Earth, and it was covered by a deep ocean of magma. Over millions of years, the planet’s surface cooled to form a brittle crust. However, the enormous thermal energy emanating from the Earth’s interior set dynamic processes in motion, such as mantle convection, plate tectonics, and volcanism. Still unanswered, though, are the questions of how fast the Earth cooled and how long it might take for this ongoing cooling to bring the aforementioned heat-driven processes to a halt. One possible answer may lie in the thermal conductivity of the minerals that form the boundary between the Earth’s core and mantle.
Le centre de la Terre se refroidit plus rapidement qu’on ne le pensait De nouvelles mesures de conductivité thermiques suggèrent que la Terre se refroidirait plus rapidement que ce que l'on croyait jusqu'à présent, laissant penser que l'activité tectonique de notre Planète pourrait s'arrêter plus rapidement que prévu. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Un milliard d'années résumé en 40 secondes : la tectonique des plaques Des chercheurs ont modélisé les mouvements des plaques tectoniques lors du dernier milliard d'années. Depuis sa formation il y a 4,5 milliards d'années, la Terre ne cesse de dégager de la chaleur, et donc de se refroidir. En se refroidissant, la Terre épuise petit à petit son stock de chaleur interne. La bridgmanite, un minéral plus conducteur qu’on ne le pensait Pour répondre à ces questions, il est nécessaire de comprendre comment la chaleur se transmet à l'intérieur de la Terre, jusqu'à la surface où elle est évacuée par l'activité volcanique, entre autres. Vers une accélération du refroidissement de la Terre