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Performance sociale, Bien-être et réseau social

Performance sociale, Bien-être et réseau social
Dans la course aux arguments pour développer un nouveau type de réseau social c'est bien sur le fameux ROI que l'on tente de mettre l'accent. Pour cela on met en avant des indicateurs plus ou moins convaincants de retour sur investissement issus, d'idées, d'amélioration des process ou autres traduction pécuniaire de l'apport des réseaux sociaux au business. Je n'ai jamais été à l'aise avec ce miroir aux alouettes et c'est pourquoi j'ai parlé du ROSL, Return on social link ou en bon français en quoi les réseaux sociaux peuvent permettent de retrouver du lien social1. J'ai trouvé dans les travaux de Victor Waknine une résonance à mes propres réflexions et avancées vers un raisonnement qui placerait l'intérêt du déploiement d'un réseau social au niveau de la performance sociale qu'il permet. Il est frappant de constater comment les réseaux sociaux peuvent répondre aux 6 dimensions du bien-être au travail de l'IBET, Indice de bien-être au travail. L'utilité sociale L'Autonomie La Reconnaissance

Quels leviers pour améliorer la performance sociale ? - Le blog de l'investisseur responsable Les investisseurs responsables que nous sommes le savent bien : l'immatériel pèse lourd dans la valeur d'une entreprise. De même qu'une bonne gouvernance, avec une séparation claire des pouvoirs et un conseil d'administration de qualité, capable d'évaluer voire de contester la stratégie de l'entreprise, est un actif précieux, une politique de ressources humaines de qualité sera un atout qui fait la différence dans le jeu économique. Le capital humain est souvent la première des richesses d'une entreprise. Pourtant, parmi les trois piliers extra-financiers de la responsabilité sociétale des entreprises - Environnement, Social, Gouvernance, ESG -, l'enjeu social est le plus méconnu des investisseurs. Le forum de l'investissement responsable (FIR) présentait ce vendredi 13 mai 2011, chez Groupama Asset Management, les conclusions de son étude sur les "politiques RH dans la crise économique et financière". . . . .

Le sport en entreprise au service des pratiques managériales 1Dans le cadre de la « sportivisation de l’économie » et de « l’économisation du sport » accentuées au cours des années 1980 (Andreff et al., 1989), bon nombre d’entreprises dont l’activité n’avait pas de relation directe avec le champ sportif ont progressivement investi cet espace. Au nom d’une politique de communication institutionnelle qui visait entre autres à valoriser leur image, elles ont engagé des opérations de sponsoring sportif et mis en place des actions sportives pour mobiliser leur personnel en interne (voir tableau 1). Les stages outdoor (Fourré, 1999) puis quelques années plus tard l’incentive et les team building à caractère sportif (Burlot et Pichot, 2004) consacrent, en même temps qu’ils illustrent, un nouveau mode d’utilisation du sport et de ses supposées valeurs — culte de la performance, esprit d’équipe, courage, abnégation, dépassement de soi (Ehrenberg, 1990 ; Heilbrunn, 2004). Tableau 1. Si l’on observe bien, le foot c’est quand même plus l’usine.

Performance sociale et actualité législative Le 27 novembre prochain, les 6es Rencontres sociales, organisées par Accor Services et le Journal de l’Action Sociale en collaboration avec l’ODAS s’interrogeront sur l’évaluation des politiques publiques. LOLF, RGPP... Autant d’importantes réformes de l’Etat destinées à renforcer son efficacité et son efficience. Mais qu’en est-il, au-delà d’une stricte logique comptable, de la performance des politiques sociales ? Sur quels critères doit-on les évaluer ? Des questions auxquelles s’efforceront de répondre les participants de cette journée, à l’instar du Groupe de réflexion, mis en place par Pierre MEHAIGNERIE, Président de la Commission des affaires culturelles, familiales et sociales de l’Assemblée nationale.

L’engagement de Renault en matière de responsabilité sociale Affirmer que l'industrie doit faire partie de la solution pour relever les défis environnementaux, c'est reconnaître que les entreprises ont une responsabilité sociale. Renault a conscience depuis longtemps de sa responsabilité sociale, vis-à-vis de ses salariés, de ses clients et de la planète, et agit en ce sens depuis de nombreuses années. La création de la Direction de la responsabilité sociale de Renault (DRSE) en mai 2009 s'inscrit dans cette lignée. La DRSE pour but de définir la stratégie RSE de l’entreprise et de la déployer, ainsi que de structurer et d’organiser toutes les actions et initiatives qui relèvent de l'engagement citoyen. Quatre enjeux majeurs de progrès sont visés : éducation, sécurité, mobilité durable et diversité. Objectif in fine : minimiser les impacts négatifs des activités du Groupe et renforcer ses contributions positives au monde qui l’entoure.

La performance sociale : une aberration dangereuse. Une nouvelle expression est en train d'apparaître au sein des cabinets de consultants et de certaines directions d'entreprises : la performance sociale. Elle risque de se diffuser rapidement, se situe dans le droit fil de l'approche techniciste et instrumentale qualifiée de « risques psychosociaux au travail ». Mesurons le chemin parcouru en presque 40 ans : au début des années 70, Antoine Riboud, alors PDG du groupe BSN, devenu Groupe Danone, posait les fondements du double projet économique et social. Ce qui alors, relevait du stratégique du projet, de la pénétration réciproque entre l'économique et le social, d'une ambition large et à long terme se trouve réduit à de la tactique, de l'instrumental, du mesurable, à la tentative de tempérer la performance économique par une performance sociale ! On refuse de voir que, relativement à la « souffrance au travail », c'est la notion même de performance qui est en cause. Ce n'est pas le travail que l'on prétend soigner, mais le travailleur.

Présentéisme : l'autre visage (inquiétant) de l'absentéisme Présent mais...totalement absent. Voilà le paradoxe que traduit le présentéisme. Envers de l'absentéisme, il illustre à bas bruit souvent une situation de « burn out » ou de démission intérieure. Le salarié est présent physiquement mais psychiquement absent. Certains s'efforcent même de donner l'impression qu'ils travaillent alors qu'en réalité ils en font le moins possible. Une présence qui traduit plus un désengagement qu'une réelle motivation. Facteur de risque pour la santé au travail D'où la sonnette d'alarme tirée par les médecins du travail qui voient dans le présentéisme un facteur de risque pour la santé des salariés. Mal typiquement français La France reste encore la championne toute catégorie de ce phénomène.

Les clés pour mesurer l'impact social d'une entreprise Quel est le point commun entre un fonds d'épargne solidaire, une fondation finançant des associations, une entreprise sociale ou un grand groupe décidant de lancer un produit à destination des plus pauvres? Ils sont tous à la recherche d'un impact social positif. Et si l'on en croit le fameux adage "On ne gère bien que ce que l'on mesure", tous ont intérêt à savoir évaluer la valeur sociale ajoutée de leur activité. "Aujourd'hui, contrairement à quelques années plus tôt, l'idée qu'il est indispensable de mesurer son impact pour toute activité à finalité sociale fait consensus, observe Judith Jakubowicz, coordinatrice générale de Convergences 2015. Mais, sur le terrain, la mise en oeuvre concrète est loin d'être généralisée." Efficacité de l'action et des fonds investis Car, pour les acteurs de l'économie sociale et solidaire (ESS), la mesure de l'impact représente un enjeu majeur de professionnalisation. Standardisation des méthodes par secteur Reste à chacun à choisir sa méthode.

Prévention / PME : Les chefs d’entreprises impliqués dans la prévention des risques Axa Prévention vient de rendre les résultats d’une étude sur la prévention des risques dans les PME à l’échelle nationale. Si l’ensemble des chefs d’entreprises semblent concernés par cette problématique, la santé est le facteur déterminant dans la mise en place d’actions de prévention. A l’occasion de la remise des « Trophées de la Prévention Entreprise » édition 2011, (qui récompensent les binômes Entreprises et Agents Généraux ayant mis en œuvre des programmes de prévention), Axa Prévention vient de dévoiler les résultats d’une étude nationale sur la politique de prévention des risques en entreprises. Ensuite, on apprend que 93% des patrons de petites et moyennes entreprises ont déjà mis en place au moins une action de prévention dans sa société (pour une moyenne de 4 actions de prévention par PME). La santé au cœur des préoccupation des patrons Le rôle des assureurs

Performance sociale - comprendre, évaluer, agir Les études sur les entreprise montrent bien souvent que les entreprises gèrent bien leurs relations avec leurs principales parties prenantes et n’intègrent pas dans leur démarche les questions sociales plus globales. Partie intégrante d’un projet RSE, la question de la performance sociale et de son évaluation ne doit pas être minorée. Très (trop ?) souvent, l’évaluation de cette performance sociale se limite à la satisfaction des principales parties prenantes (salariés, actionnaires). Mais la notion de satisfaction peut-elle à elle seule permettre d’évaluer la performance sociale ? Définition de la performance sociale On peut définir la performance sociale comme les résultats d’une entreprise dans les domaines qui ne relèvent pas directement de l’activité économique. La performance est-elle héritée ou intrinsèque ? Développer des valeurs sociales pour une meilleure performance Mesurer sa performance sociale ou socio-économique Efficacité commerciale Contrôle de la performance

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