Les blogueuses sont-elles achetées? Les internautes répondent
Depuis cinq ans, l'influence des blogs de mode ne cesse de croître. Très intéressées par ce nouveau pouvoir de prescription, les marques tissent des liens de plus en plus étroits avec leurs auteurs, n'hésitant plus à les inviter à leurs défilés, à leur envoyer des produits ou à leur demander des billets sponsorisés via des agences. Déroutés, les internautes ont de plus en plus de mal à distinguer les authentiques coups de cœur des blogueuses de la publicité déguisée. Perte de fraîcheur "Je préférais nettement la blogosphère du temps où les filles se prenaient en photo dans leur miroir et bidouillaient des looks avec trois fois rien" écrit Claire Poipoi, résumant ainsi le ras-le-bol de nombreuses lectrices de blogs féminins. Dès lors, plusieurs décrochent, comme Valérie S, qui a décidé de ne plus lire certains blogs "très connus parce qu'ils n'avaient plus la fraîcheur de leurs débuts. Personne n'est dupe Haro sur les billets sponsorisés Transparence et cohérence Amalgame
L'Assemblée rejette l'amendement sur la liberté de panorama, Wikipédia reste hors-la-loi | Hotel Wikipedia
Les députés ont rejeté mercredi soir un amendement visant à instituer la liberté de panorama par 23 voix contre 7. Comme je le soulignais dans mon dernier billet, cet amendement permettait de corriger une importante déficience du droit de la propriété intellectuelle en France : les bâtiments présents dans l’espace public sont soumis au droit d’auteur et entraînent, de fait, une privatisation de cet espace. Concrètement, un particulier ne pourra pas diffuser publiquement (par exemple sur son blog) ses photographies de la Tour Eiffel éclairée. Les architectes donnent parfois leur accord pour des diffusions sous des licences non commerciales. Adapter la France à une législation européenne Depuis déjà un siècle et demi, la législation allemande applique un principe juridique permettant d’éviter cette dérive : la « panoramafreiheit » ou liberté de panorama. La liberté de panorama en Europe Chronique d’une séance agitée Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, intervient.
To blog or not to blog: La place des blogues dans l’industrie de la mode | Ma vision du web social
Aujourd’hui, le commun des mortels peut devenir un influenceur dans son domaine par le simple fait de tenir un blogue qui intéresse, qui ose, qui est à l’affût des tendances et qui se démarque auprès d’un nombre suffisant d’individus pour être considéré comme crédible. Le domaine de la mode est certainement l’un des plus touchés par ce phénomène, domaine explicitement destiné aux publics qui a comme raison d’être d’attirer l’attention et de susciter l’adhésion. Bien qu’il y ait encore une forte présence des spécialistes, chroniqueurs et journalistes affiliés aux grands titres (Vogue, Elle, etc.), les blogueurs ont sans contredit fait leur place aux premiers rangs des défilés et tendances. Bien que les blogueurs aient commencé leur ascension dans l’industrie de la mode depuis quelques années déjà, la tendance est loin de s’essouffler! Like this: J'aime chargement…
Livres jeunesse : que cache le chantage de Milan Presse ? | Rue89 Culture
Une mystérieuse lettre-contrat invite les auteurs et illustrateurs des publications de cette filiale de Bayard à céder certains de leurs droits sur leurs œuvres futures. Les unes de Toupie, Toboggan, Moi je lis et Wapiti, Milan Presse, Bayard, 2011 Ils sont illustrateurs ou auteurs pour les magazines Toboggan, Toupie, Histoires pour les petits, Wapiti, J’apprends à lire, Moi je lis ou Julie. Depuis un peu plus d’un an, Milan Presse, filiale du groupe Bayard, leur demande de signer un nouveau document : une lettre-accord « encadrant » leurs conditions de travail. « Une lettre incompréhensible », selon Clémentine, illustratrice, « du jargon juridique ». Céder ses droits sur ses œuvres futures Cette lettre a valeur de contrat. Les auteurs sont invités à céder leurs droits sur l’exploitation numérique et internationale de leurs œuvres. La lettre définit aussi les conditions de rémunération sur les œuvres futures. Bayard : « Il ne s’agit pas de gruger l’auteur » Elle ajoute :