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Les 5 projets fous que Google concocte dans son labo

Les 5 projets fous que Google concocte dans son labo
Le groupe promet des avancées scientifiques tous azimuts : cerveau électronique, voiture sans conducteur, réalité augmentée, transhumanisme, conquête spatiale... Elles semblent bien loin les années où Google n’était qu’un moteur de recherche. Le groupe est désormais partout, du téléphone aux systèmes d’exploitation en passant par la messagerie et les réseaux sociaux. Il deviendra même bientôt un fournisseur d’accès Internet haut débit aux ambitions mondiales. Google multiplie les projets, propose ses produits et services dans tous les rouages de l’économie numérique, avec plus ou moins de succès. Mais Google, c’est aussi l’entreprise qui a toujours un coup d’avance, qui flaire les technologies de demain et y investit massivement. En voici déjà cinq. Une Intelligence artificielle au rayon d’action planétaire La gestion des données passe, selon Google, par le développement d’une intelligence artificielle performante : les machines doivent apprendre de manière autonome.

Le monde en 2030 Tous les quatre ans, au début de chaque nouveau mandat présidentiel aux Etats-Unis, le National Intelligence Council (NIC), bureau d’analyse et d’anticipation géopolitique et économique de la Central Intelligence Agency (CIA), publie un rapport qui devient automatiquement une référence majeure pour toutes les chancelleries du monde. Bien qu’il s’agisse, évidemment, d’une vision très partielle (celle de Washington), élaborée par une agence (la CIA) dont la mission principale est de défendre les intérêts des Etats-Unis, le rapport stratégique du NIC présente un intérêt indiscutable : il résulte d’une mise en commun - révisée par toutes les agences d’intelligence américaines – d’études élaborées par des experts indépendants de plusieurs universités et de nombreux pays (Europe, Chine, Inde, Afrique, Amérique Latine, monde arabo-musulman, etc.). Le constat principal est : le déclin de l’Occident. Le futur est rarement prévisible.

Google investit dans un cable sous-marin capacité 60Tb/s de valeur de 300 millions de dollars, sur l'itinéraire Trans-Pacifique C'est sur son compte Google+ que Urs Hölzle, vice-président des infrastructures chez Google, a annoncé la nouvelle. Le géant du web a signé un contrat avec la société NEC pour l'installation d'un nouveau câble Trans-Pacifique qui reliera les principales villes de la côte ouest des Etats-Unis d'Amérique à deux villes du Japon, Chikura et Shima. « Le système de câble FASTER a une grande capacité de conception jamais construite sur la route Trans-Pacifique qui est l'une des plus longues routes au monde. L'accord annoncé aujourd'hui sera bénéfique à tous les internautes du monde » a déclaré Woohyong Choi, le Président du comité exécutif de FASTER. Le projet nommé FASTER est celui d'un consortium formé de 5 entreprises en plus de Google : China Mobile International, China Telecom Global, Global Transit, KDDI and SingTel. En s'alliant au consortium, Google veut fournir le meilleur de ses services dont ceux du cloud à ses plus d'un milliard d'utilisateurs d'Android. Source : Annonce NEC

Google rachète DeepMind, spécialiste de l'intelligece artificielle La start-up britannique DeepMind, spécialiste de l’intelligence artificielle, devrait bientôt exercer officiellement sous pavillon Google. Le groupe Internet aurait débloqué une enveloppe de 400 à 500 millions de dollars pour acquérir cette société fondée par le neuroscientifique Demis Hassabis, ancien champion d’échecs. D’après The Information (média dirigé par ancienne collaboratrice du Wall Street Journal), la jeune pousse compte environ 75 employés qui développent des algorithmes d’apprentissage automatique exploités dans le jeu vidéo, la simulation industrielle et le commerce électronique. Plusieurs sources dites « proches du dossier » ont confirmé à Re/code que DeepMind aurait levé « au moins 50 millions de dollars » en un peu plus de trois ans d’exercice. Parmi ses principaux investisseurs figureraient Founders Fund – le fonds privé de Peter Thiel, ancien CEO de PayPal – et Horizons Ventures – basé à Hong Kong. Yahoo s’intéresse lui aussi à l’intelligence artificielle.

d3.js Projet « Loon » : les ballons gonflables de Google décollent en Nouvelle-Zélande | Une Zapnet Rue89 « Deux tiers de la population mondiale n’ont toujours pas accès à une connexion rapide et bon marché, et il reste beaucoup de chemin à parcourir dans ce domaine », posait Google, en préambule de la présentation de « Loon » - diminutif de « Balloon », ballon ou synonyme de « fou », « dingue »-, la nouvelle expérience mondiale du géant américain. Trente gros ballons gonflés à l’hélium ont été lancés ce samedi depuis la Nouvelle-Zélande, afin de développer l’accès à l’Internet dans les zones les plus reculées de la planète. Les ballons dériveront au niveau de la stratosphère, équipés d’un système mélangeant énergies solaire et éolienne. Chaque ballon est sensé assurer la couverture internet d’une zone de 1200 km carré. Vidéo Google : à propos des technologies à l’œuvre sur le projet « Loon » (en anglais) Lors de sa présentation, Google déclarait :

Google rachète Boston Dynamics Google envisage t’il de créer une troupe de cylons afin de partir à la conquête du monde ? Difficile à dire, mais la firme s’intéresse de plus en plus à la robotique, c’est un fait. Au début du mois de décembre, nous avons ainsi appris la création d’un nouveau département entièrement dédié à la robotique, un département dirigé par un certain Andy Rubin. La division française de Google avait même annoncé, à l’époque, son attention de racheter plusieurs sociétés spécialisées du secteur pour rattraper son retard et acquérir les technologies qui lui font cruellement défaut. Boston Dynamics fait apparemment parti des heureux élus si l’on en croit le très vénérable New York Times. Boston Dynamics est né au MIT, sous l’impulsion d’un certain Marc Raibert. Je pense notamment au Big Dog, un robot quadrupède ressemblant à un grand chien sans tête. Et ainsi de suite. En mettant la main sur cette société, Google va gagner plusieurs années en terme de développement. On termine avec quelques vidéos.

Home | Santa Fe Institute Liste des sociétés rachetées par Google : date, montant, détails Voilà ma liste des rachats de Google, mise à jour le 27/09/2017, publiée initialement le 21/12/2005 Il est interdit de recopier ce tableau sur votre site web, fruit de centaines d’heures de veille technologique. Si vous souhaitez en reprendre un extrait, contactez l’auteur avant… A voir aussi : services détenus par Google Remarque : Il est interdit de recopier ce tableau sur votre site web. Liste complète des acquisitions de Google, par WebRankInfo Vous trouverez aussi une excellente liste sur cette infographie. Remarque : cette liste a été initialisée à partir de l’excellent travail publié dans l’article Google Acquisitions de William Slawski. Cet article vous a-t-il plu ?

Google Acquires Seven Robot Companies, Wants Big Role in Robotics A few months ago, we heard rumors that Google was planning something big in robotics. We also heard that Andy Rubin, the engineer who spearheaded the development of Android at Google, was leading this new robotics effort at the company. Rubin, we were told, is personally interested in robots, and now he wants Google to have a major role in making robotics happen. Not just robotic cars, but actual robots. Today, an article in the New York Times has revealed more about Google's plans: according to the article, the company is funding a major new robotics group, and that includes acquiring a bunch of robotics startups, quite a few of which we're familiar with. You'll definitely want to read the entire New York Times story, where Rubin talks a little bit too vaguely about what Google is actually planning on doing with these as-yet hypothetical robots that they're apparently working on over there, but here's the bit about the acquisitions: Mr. Some brief highlights: Via [ NYT ]

Innovation et information stratégique par Erwan NEAU Pourquoi Google s'offre les drones de Titan Aerospace Alors que la rumeur prêtait à Facebook l'intention d'acheter le fabricant de drones orbitaux, c'est finalement Google qui met la main sur Titan Aerospace. La firme de Mountain View a l'intention d'utiliser les drones à très longue autonomie pour accélérer le développement de Project Loon, son projet de création d'un réseau aérien de fourniture d'accès à internet dans les zones isolées ou sous-développées. Titan Aerospace dispose de deux types de drones en développement, dont la particularité est d'être équipés de larges panneaux solaires déployés sur les ailes, qui leur permettent de rester en orbite pendant de nombreux mois tout en continuant à alimenter des équipements électriques, tels que des routeurs WiFi à longue portée. Le lancement commercial des drones était prévu pour l'année prochaine. Mais le projet également partagé par Facebook avec l'initiative Internet.org ne fait pas l'unanimité.

Eric Schmidt Joins The New Advisory Board At Cloud Rendering Company OTOY OTOY, a company building rendering technology for running games and other applications in the browser, is announcing a new board of advisors, including Google executive chairman and former CEO Eric Schmidt. “Six years ago, in an interview with the New York Times, I predicted that 90 percent of computing would eventually reside in the web based cloud,” Schmidt said in an emailed statement. “OTOY has created a remarkable technology which moves that last 10 percent – high-end graphics processing – entirely to the cloud. This is a disruptive and important achievement. In my view, it marks the tipping point where the web replaces the PC as the dominant computing platform of the future.” OTOY co-founder and President Alissa Grainger said the board is being formed now to “guide us as we grow OTOY and enter the commercial phase of our business.” As far as I can tell, TechCrunch first wrote about OTOY way back in 2008, so it’s been a long road to commercial deployment.

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