Mon métier : traducteur Sophie Désir et Stéphanie Ponchon sont toutes deux traductrices travaillant dans l’audiovisuel. L’une a travaillé sur Dr House et l’autre sur Modern Family… Il faut traduire le cynisme, mais respecter les charges du service public dans un cas et se pencher sur le vocabulaire familier et contemporain dans l’autre. Les séries déferlent des États-Unis avec l’arrivée de Netflix récemment, si bien que Sophie et Stéphanie sont parfois obligées de refuser du travail en plein été, pourtant une période de creux. « Il faut aimer l’anglais, mais adorer le français, car c’est lui que l’on va manier » On doit respecter le cahier des charges des chaînes publiques, même si celui-ci peut conduire à des traductions absurdes. Un travail numérisé Doublage à l’ancienne Avant l’apparition des logiciels de doublage, les traducteurs adaptateurs écrivaient manuellement les sur-titrages* sur une bande. Avec logiciel de doublage S’entourer quand on travaille chez soi Lexique du traducteur adaptateur :
Devenir traducteur indépendant en auto-entreprise Il faut bien l'avouer, les traducteurs nouvellement formés ou les personnes se lançant dans cette activité après avoir exercé un autre métier sont souvent perplexes devant le nombre de statuts et de régimes possibles pour créer leur entreprise en France : micro-entreprise, auto-entreprise, EIRL ? Micro-social simplifié ? Mini-réel ? Petite précision avant de commencer : il ne faut pas confondre le régime et la forme juridique d'une entreprise. À la fois simple à comprendre et à mettre en place, il a pour objectif d'alléger au maximum les démarches nécessaires à la création et à la gestion d'une micro-entreprise (c'est à dire d'une entreprise individuelle réalisant moins de 32 600 € de chiffres d'affaires annuel dans le cadre des prestations de services relevant de la catégorie des bénéfices non commerciaux ou BNC, telles que les activités de traduction), mais comme souvent lorsqu'il s'agit de simplifier, il faut en contrepartie renoncer à certains avantages. Vous êtes décidé ?
Comment devenir auto-entrepreneur ? Comme tout créateur d'entreprise, le micro-entrepreneur bénéficie d'une exonération de cotisation foncière des entreprises (CFE) pour l'année du début de son activité. Il doit déposer une déclaration de CFE avant la fin de cette première année. Les micro-entrepreneurs sans chiffre d'affaires sont exonérés de CFE à leur demande, selon les modalités précisées par une actualité de l'administration fiscale du 16 décembre 2014. À compter de 2019, les indépendants imposés sur une base minimum et dont le chiffre d’affaires est inférieur à 5 000 euros seront exonérés de CFE, selon l'article 97 de la loi de finances 2018, commenté par une actualité de la base Bofip-Impôts du 5 septembre 2018. Depuis le 1er janvier 2013, les taux de cotisations et contributions sociales des auto-entrepreneurs sont alignés sur ceux des autres travailleurs indépendants. Le micro-entrepreneur est tenu de déclarer son chiffre d'affaires à la fin de chaque mois ou de chaque trimestre. Déclaration d'impôt sur le revenu
Liste des formations 42 formations trouvées Niveau d'étude : Après le Bac | Domaine de formation : lettres, langues - enseignement | Mot clé : traduction Nombre de résultats par page:10 - 25 - 50 Haut de page Traducteur ou interprète, choisir sa formation Vous souhaitez devenir interprète ou traducteur ? Plusieurs formations permettent d’accéder à ces métiers. Université ou école, voici les pistes à suivre après le bac. © Brigitte Gilles de la Londe / Onisep Plusieurs formations permettent d’accéder aux métiers d'interprète ou traducteur. Master traduction à l’université : LLCE ou LEA ? Á l’université, deux filières sont proposées pour se former en langues vivantes : LEA (langues étrangères appliquées) ou LLCE (langues, littératures et civilisations étrangères). La licence LEA, tournée vers le monde de l’entreprise, est la plus appropriée, avec, dès la deuxième ou la troisième année de licence (L2 ou L3), la possibilité de suivre un parcours en traduction spécialisée. Les écoles de traduction : ESIT ou ISIT ? Les écoles formant aux métiers des langues étrangères sont peu nombreuses. L’ESIT propose trois cursus en 2 ans menant chacun à un master : traduction ; interprétation ; interprétation en LSF (langue des signes française).
Devenir Traducteur technique – Fiche métier Traducteur technique Quand des documents d'ordre commercial, scientifique ou plus généralement technique doivent être traduits, on fait appel aux talents du traducteur technique. Comment devenir Traducteur technique ? Retrouvez ici les missions, formation nécessaire, rémunération... Mission du métier : Traducteur technique Des documents en langue étrangère qui n'existent pas en français, sinon des documents français à traduire pour l'étranger, voilà une mission adaptée au traducteur technique. Devenir Traducteur technique : Qualités requises Le profil du traducteur technique est double. Traducteur technique : carrière / possibilité d’évolution : Le traducteur technique n'a pas véritablement de possibilités d'évolution. Salaire brut mensuel d'un débutant : Devenir Traducteur technique : formation nécessaire Le secteur concerné étant celui des langues, on a tendance à penser qu'un bac L est nécessaire à l'aspirant traducteur technique. Situation du métier / contexte pour devenir Traducteur technique
Traduction, interprétation : pour les forts en langues Vous aimez les langues étrangères… le secteur de la traduction et de l’interprétation peut vous intéresser. On y dénombre pas moins de 800 000 employés. Si les entreprises recrutent, elles ont des attentes fortes en termes de qualification. © iStockphoto - 26 septembre : journée européenne des langues Langues ou international : des places à prendre À l’heure où les frontières tombent, le contexte est favorable aux professionnels des langues étrangères… L’interprétation offre des débouchés aux jeunes diplômés. De son côté, la traduction a été révolutionnée par l’irruption des nouvelles technologies. 80 % des traducteurs et des interprètes sont des travailleurs indépendants. Traducteur, guide interprète, commercial… des métiers variés Les jeunes diplômés, dotés d’un haut niveau de qualification en langues étrangères (bac+5), peuvent viser des emplois de traducteur ou d’interprète de conférences. Témoignages de deux traductrices Formations en langues : viser un niveau bac+5