background preloader

Nicolas Le Pen

Nicolas Le Pen

« Nicolas Le Pen » Ce titre provocateur n'est pas de moi mais du Wall Street Journal qui dans un article de ce jour fustige le comportement cynique du candidat président qui joue de la xénophobie. Le Wall Street Journal est la quintessence du conservatisme et l'on peut dire qu'il a tout naturellement choisi son camp pour les élections françaises en la personne de Nicolas Sarkozy. Qu'un tel journal, dont les idées sont à ce point ancrées à droite, qui est l'un des plus sérieux journaux du monde, fustige en termes aussi durs le comportement du candidat président en dit long sur la perception de sa campagne à l'étranger. Quelques phrases de cet article choc méritent d'être citées : « Even by local standards, the french president burst of xenophobia is cynical », « This is an ugly thought, not only for the ugly sentiments on which it plays but also as a textbook exemple of economic illiteracy ».

Sarkozy conquiert Internet Nous avons cartographié le réseau d'influence sur Internet du Président de la République - le plus puissant comparé aux autres partis. Initialement, Nicolas Sarkozy avait découvert une terre hostile. Au cours de son mandat, il a cherché à contrôler l'archipel du numérique. Avec quelques succès. Entrez et cliquez sur notre carte interactive. “Vous avez changé le monde.” Ce butin protégé, le Château s’est mis à écouter les plaintes du peuple des dunes de l’Industrie. La peuplade industrielle a eu son totem. La fin du quinquennat numérique approchant, d’autres lieutenants se font le relais politique de cette bienveillance culturo-sarkozyste. Sur cet isolat, où chacun tente de s’attirer les bonnes grâces du Château, le bon peuple du réseau se fait rarement entendre. Et aux internautes de préparer le débarquement pour se réapproprier leur lande. Disponible également sur Amazon, et l’iBookstore.

Sarkozy-Jésus et ses journalistes-apôtres [INTERACTIF] Temps de lecture: 6 min Sarkozy l'air extatique au milieu d'un groupe de journalistes, un petit village nivernais devant lequel pose Mitterrand, Giscard avec sa fille Jacinthe, les Guignols qui «grillent» avant l'heure le résultat le 21 avril 2002... Ces images ont marqué l'histoire des élections présidentielles mais quels souvenirs en conservent aujourd'hui ceux qui les ont fabriquées ou qui y ont participé? Pour répondre à ces questions, Slate.fr s'est associé à l'Ecole de journalisme de Sciences-Po pour élaborer la série «Photos de campagne». Sur le premier cliché que nous proposons, Sarkozy et la presse, en septembre 2006 à Marseille. Thomas Clément n’est pas près d’oublier sa première conférence de presse «off» avec Nicolas Sarkozy, le 2 septembre 2006. Ce qu’il voit dans la petite salle du parc Chanot le surprend. «Mais cela ne m’a pas choqué. [...] Pourtant, lorsque cette photo paraît dans Paris Match le jeudi suivant, elle suscite un certain malaise. «Un peu mensongère»

2 grandes idées pour les 5 ans à venir Capture d'écran du film Little Miss Sunshine Ce dimanche, nous irons voter en essayant de faire fi des sondages, médias, et de la tante Huguette qui bougonne contre ces xxx d’abstentionnistes/de socialos/de coco/de facho/de sarkozyste/d’écolo (supprimer les mentions inutiles). C’est comme ça le dimanche midi au repas de famille. - « Eva Joly, je comprends rien à ce qu’elle dit » - « Sarkozy, j’en peux plus. - « Hollande, c’est le seul à pouvoir virer Sarko mais… » - « Il est bon Mélenchon mais tu sais qu’il trouve que cuba n’est pas une dictature ? - « Nicolas Dupont-Aignan ? - « Jacques Cheminade, lui on sait qu’il vient de Mars mais sa femme, elle vient de Vénus ? - « Poutou, il est LOL » - « T’as vu Arthaud, comment elle dit Laguhillier au lieu de Laguiller ? - « Bayrou ? - « Le Pen ? Autant vous dire que vous parlerez de la présidentielle et que la discussion ne volera pas très haut. - Oui, ok tu vas voter pour untel mais c’est quoi ces deux grandes idées pour les 5 ans à venir ?

Among the dinosaurs BLISS is it in a financial crisis to be a socialist. Or so it ought to be. In speculators and ratings agencies, Europe's left has a ready cast of villains and rogues. The oddity is that almost everywhere the European left is in decline. For a hint of French Socialist thinking, consider recent comments from some of the candidates who will contest a primary vote in October. Ms Royal, believe it or not, is considered a moderate. Next to such patent nonsense, promises by the two front-running candidates, Martine Aubry and François Hollande, seem merely frozen in time, circa 1981. The party is not out of tune with public opinion. The causes of French left-wingery are various, but a potent one is the lingering hold of Marxist thinking. Given such a tradition, it is possible that today's Socialist leaders believe what they say. In truth, France's Socialists have often had to be pragmatic in power. Please allow us a moment of madness

Edito : Sarkozy, champion d’échecs Qu’est-ce que ce cirque ? Nicolas Sarkozy nous fait à Villepinte un meeting péplum : une estrade interminable, trente mille plébéiens excités, assez pour qu’ils croient être le double, des cris permanents, des oriflammes partout. On peut jouer à la Rome antique, les prétoriens, les clients, la claque mais les imperators célébraient des triomphes : c’était après la victoire et non avant. Il y avait des absents à Villepinte. Mal préparé ? Comment même peut-il y croire ? Bernard Zekri, MAB

ACTA: pourquoi la commission a voté contre la saisine de la Cour de justice? Le coordinateur du groupe PPE, Daniel Caspary (DE), a expliqué que les députés du PPE ont voté contre la saisine de la Cour européenne de justice pour l'ACTA car "à l'heure actuelle, il n'est pas nécessaire d'agir en ce sens, vu que le dossier sera de toute manière soumis à la Cour - selon les intentions annoncées par la Commission européenne". "Nous souhaitons également que le Parlement ait plus de flexibilité dans les mois à venir, lorsqu'il tiendra ses débats politiques et évaluera si l'ACTA est l'outil adéquat pour mettre un terme aux problèmes qu'il est censé résoudre, sans en créer de nouveaux. Si le Parlement soumet l'ACTA à la Cour, il ne pourra plus se prononcer sur le dossier", a ajouté M. Caspary. Le porte-parole en charge des échanges commerciaux pour le groupe S&D, Bernd Lange (DE), a déclaré que le S&D souhaite que le Parlement rejette immédiatement l'ACTA plutôt que de repousser sa décision en saisissant la Cour. Prochaines étapes

Verhofstadt : "Un leader politique n'est pas là pour suivre l'opinion publique" Guy Verhofstadt. © Frédéric Pauwels Le Vif/L'Express : A Bruxelles, le 9 décembre, le Premier ministre britannique David Cameron a mis son veto à un nouveau traité européen destiné à réformer les institutions de l'Union et à sauver l'euro. Cela vous a surpris ? Guy Verhofstadt : Non, on pouvait s'y attendre. En août dernier, le ministre wallon Jean-Claude Marcourt (PS) déclarait au Vif/L'Express : "L'erreur fondamentale, dans la construction européenne, reste d'avoir accepté les Anglo-Saxons, parce qu'ils sont venus avec une conception radicalement différente des continentaux." Non, à condition qu'on ne laisse pas les Britanniques nous freiner. L'agence de notation Standard & Poor's demande à l'Europe de faire avancer l'idée européenne, avez-vous déclaré récemment à Matin Première (RTBF). Je l'ai dit exprès. Cela ne vous gêne pas de considérer les agences de notation comme le moteur de l'intégration européenne ? Il faut être réaliste. Voilà, exactement. Les marchés. Mais non ! Oui. Oui.

Related: