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Au tour de Couchsurfing.org de piétiner votre vie privée

Au tour de Couchsurfing.org de piétiner votre vie privée
Utilisateurs de Couchsurfing.org, votre profil-canapé n’est plus vraiment privé. Le réseau social, qui permet de mettre en contact voyageurs en quête d’hébergement et propriétaires de divans vacants, a publié de nouvelles conditions d’utilisation. Et sa nouvelle politique de (non) confidentialité n’a rien à envier aux réseaux sociaux d’ordinaire décriés. Depuis le 21 septembre, le nouveau point de règlement 5.3, intitulé « Member Content License » a déclenché la fureur des membres, informés des modifications par e-mail et par message sur leur profil, à la fin du mois d’août : Collecte et partage de données privées Couchsurfing se réserve donc le droit d’utiliser toutes les informations de ses membres : noms, adresses, localisations, messages, photos, matériel utilisé, temps passé sur l’appli mobile... Le site va même plus loin. En deux modifications, Couchsurfing accroît sa collecte de données sur ses utilisateurs et élargit son champ d’action. Les « couchsurfers » en colère Flou juridique

Facebook jugé en France pour la fermeture d'un compte C'est un chamboulement juridique pour Facebook. Poursuivi par un internaute français dont le compte a été désactivé, le réseau social s'est défendu en invoquant ses conditions d'utilisation. Celles-ci affirment que seules les juridictions californiennes sont compétentes pour trancher un tel litige, et non pas la juridiction de proximité de Bayonne. Or, la cour d'appel de Pau a rejeté cette défense. Dans ses conditions d'utilisation, Facebook a prévu de régler l'ensemble des litiges qu'il pourrait avoir avec les membres du réseau social en appliquant le droit de l'État de Californie. Toute plainte afférente à cette déclaration ou à Facebook, toute action entre le service et l'utilisateur devra être réglée "exclusivement devant les tribunaux d'État et fédéraux sis dans le comté de Santa Clara", est-il écrit. Sauf que la compétence juridictionnelle des tribunaux du comté de Santa Clara a été remise en question par la justice française. La clause doit apparaître de façon très apparente

Peur du piratage ? 4 trucs pour effacer ses traces sur le Web Une figurine passe le balai sur un clavier d’ordinateur (Katerha/Flickr/CC). Afin d’échapper aux intrusions informatiques, espionnages numériques, filtrages et autres flicages, voici un guide qui donne des parades aux citoyens paranos ou ayant des choses à se reprocher. Et si la vidéo ci-dessous d’une heure vous semble trop longue, je vous ai fait un résumé par écrit. A voir dans la vidéo Ce qu’il faut savoir 0’00’’ Introduction2’44’’ La sécurité par couche (matériel, système d’exploitation, logiciel)16’19’ Cryptez vos données25’35’’ Adresses IP, mots de passe & cie : comment fonctionnent les réseaux informatiques Après la théorie, la pratique 34’27’’ Comment s’équiper pour démarrer43’36’’ Les outils de chiffrement46’58’’ Naviguer en proxy : utiliser le réseau Tor pour masquer son identité53’09’’ Chatter dans l’anonymat avec le réseau IRC55’38’’ Bitcoin, la monnaie privée du net56’57’’ Freenet, un réseau parallèle à l’Internet mondial Commençons par un peu de théorie.

La bulle Facebook va-t-elle crever ? (Entrée en Bourse de Facebook, vendredi - Richard Drew/AP/SIPA) Facebook n’est pas ami avec la Bourse. L’action de l’entreprise, lancée vendredi sur le Nasdaq, est passée de 42,05 à 38,23 dollars à la fin de la journée. De gros investisseurs comme Peter Thiel ou la banque Goldman Sachs ont cédé plus d’actions que prévu. Une vraie débandade. Pourtant, l’arrivée de Facebook en Bourse a été vue comme le symbole de la réussite d’une start-up du Web devenue en quelques années une multinationale avec 3500 salariés et un bénéfice net de 1 milliards de dollars en 2011. Mais les choses sont plus compliquées. Un modèle économique à trouver Du même auteur D’autre part, Facebook a un modèle économique encore fragile. Pour rassurer les investisseurs, Zuckerberg a du montrer qu’il était capable de se diversifier et de chercher de nouvelles sources de revenus. Plus récemment, Facebook a annoncé la future possibilité de publier des statuts payants pour toucher plus de monde. Une nouvelle bulle ?

Cellphone tracking: What happens when our smartphones can predict our every move? Jojje / Shutterstock.com Your cellphone knows where you’ve been. And new research shows it can take a pretty good guess at where you’re going next. A team of British researchers has developed an algorithm that uses tracking data on people’s phones to predict where they’ll be in 24 hours. The average error: just 20 meters. That’s far more accurate than past studies that have tried to predict people’s movements. The researchers solved that problem by combining tracking data from individual participants’ phones with tracking data from their friends—i.e., other people in their mobile phonebooks. For this innovation, the researchers—Mirco Musolesi, Manlio Domenico, and Antonio Lima of the University of Birmingham—won this year’s Nokia Mobile Data Challenge. In Forbes, Parmy Olson focused on the possible law enforcement applications. The problem is that this algorithm isn’t about aggregating a bunch of anonymous data and then picking out trends.

Comment les contenus générés par les utilisateurs menacent-ils le capitalisme La lecture de la semaine prolonge le texte d’il y a 15 jours, qui tentait de comprendre pourquoi Facebook était valorisé à 100 milliards de dollars. On se souvient que la réponse était que la valeur : c’est nous, les utilisateurs ! Le texte d’aujourd’hui est un entretien donné à Al-Jazeera par Michel Bauwens (Wikipédia, @mbauwens), le fondateur de la Peer-to-peer Fundation, qui cherche à analyser les effets à long terme de contenus générés par les utilisateurs sur le capitalisme. « Ce qui est important, explique Bauwens, c’est que Facebook n’est pas un phénomène isolé, mais participe à une tendance plus lourde de notre société : une croissance exponentielle de la valeur d’usage produite par le public. Il est important de comprendre que c’est là un énorme problème pour un système capitaliste, mais aussi pour le travail tel que nous le concevons traditionnellement. Image : Typography Power par Charis Tsevis. D’où une série de questions qu’il pose : Xavier de la Porte

Blue Ribbon Campaign Display the Blue Ribbon to support the essential human right of free speech, a fundamental building block of free society, affirmed by the U.S. Bill of Rights in 1791 and by the U.N. Declaration of Human Rights in 1948. Here at EFF, we continue to fight for the right to free speech. EFF is a donor-funded nonprofit group of passionate people—lawyers, technologists, volunteers, and visionaries - who depend on your support to continue successfully defending your digital rights. You Have the Right to Blog Anonymously. You Have the Right to Keep Sources Confidential. You Have the Right to Make Fair Use of Intellectual Property. You have the Right to Allow Reader's Comments Without Fear. You Have the Right to Protect Your Server from Government Seizure. You Have the Right to Freely Blog about Elections. You Have the Right to Blog about Your Workplace. You Have the Right to Access as Media. Know Your Rights and Prepare to Defend Them. Support EFF by Becoming a Member Today! Regional Campaigns:

Vie privée : le problème se situe entre la chaise et le clavier « Si vous voulez garantir la confidentialité de vos données, tout ce que vous avez à faire est de vous rendre dans notre village « Opt Out », et d’arrêter de parler avec ceux qui ont décidé de ne pas y habiter. C’est très simple ! Google ne risquera plus de lire vos emails : il n’y a aucun ordinateur dans le village. Et pas plus de risque d’être surveillé par ailleurs : on n’y trouve aucune banque, et pas plus d’électricité.Intéressés ? Cliquez donc sur le bouton « Opt Out » de la page d’accueil de Google, des employés de sa division vie privée viendront vous aider à déménager, et s’occuperont de détruire toute trace de votre vie passée. » Le reportage d’ONN (Onion News Network, site d’information satirique américain) a le mérite de la clarté : il est de plus en plus difficile de ne pas être indexé dans les bases de données de Google. Google, leader mondial du ciblage comportemental Notre vie privée est une monnaie Orwell ? Le problème est inhérent à l’informatique. Edgar J. « Merde.

Google m'a tuer Vous vous réveillez un matin et constatez la disparition de la totalité de votre vie numérique ! Plus de mails, plus de contacts, plus de photos, plus de vidéos, plus de documents, plus de calendrier, plus de blog, plus de favoris, plus de flux RSS… tout, absolument tout, s’est évanoui ! De la science-fiction ? Non, un simple compte Google désactivé unilatéralement et sans préavis par la société. En l’occurrence le compte de Dylan M. Et ce sont donc ici 7 années digitales qui partent en fumée d’un simple clic. Cette triste ou effroyable histoire vraie est malheureusement riche d’enseignements. Et il va sans dire que Facebook, Twitter ou Apple ont toutes le droit d’en faire autant. Exaspéré et désespéré, Dylan M. a conté sa mésaventure dans une longue lettre ouverte à Google, que vous trouverez traduite ci-dessous. De quoi faire réfléchir non seulement sur les pratiques du géant Google mais également sur le monde dans lequel nous avons choisi de vivre… Cher Google… Dear Google… Cher Google,

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