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Je loue ta voiture, tu loues mon costume, on sauve la planète

Je loue ta voiture, tu loues mon costume, on sauve la planète
Basée sur l’idée de partage, la « consommation collaborative » est une pratique qui se développe de plus en plus. « Chèvre pour tondre votre pelouse de manière écologique – location à la journée par couple de deux – 10 euros. » Ceci n’est pas une blague, mais une annonce trouvée sur le site e-loue, où les particuliers pratiquent la « consommation collaborative ». Le concept s’applique à tous les objets que l’on possède et que l’on n’utilise pas tout le temps, ou que l’on n’a pas besoin d’acheter. Comme l’expliquait déjà en 2000 Jeremy Rifkin dans son livre sur l’économie de l’accès ( « The Age of Access »), on n’est « pas toujours heureux d’hyperconsommer ». Du coup : « La notion de propriété et la barrière entre vous et ce dont vous avez besoin sont dépassées. » Un brin révolutionnaire, le site « Collaborative consumption » proclame ainsi comme slogan : « Ce qui est à moi est à toi. » (Voir la vidéo de présentation, en anglais) « Des produits plus chers mais plus solides »

Mobilité partagée : bienvenue dans "l'âge de l'accès" | Consommation Collaborative Il y a dix ans était publié l’âge de l’accès de Jérémie Rifkin, dans lequel l’auteur Américain annonçait l’arrivée imminente d’un nouvel âge du capitalisme et d’une société fondée sur l’accès aux biens : « Le rôle de la propriété est en train de subir une transformation radicale. Les conséquences de cette révolution sont d’une conséquence et d’une portée fondamentales pour notre société. […] D’ici à 25 ans, l’idée même de propriété paraîtra singulièrement limitée, voire complètement démodée. […] C’est de l’accès plus que de la propriété que dépendra désormais notre statut social. » Symbole de ce mouvement : la mobilité partagée Parmi les statistiques les plus marquantes de cette nouvelle économie, la mobilité tient le haut du pavé. Le vélo partagé est aujourd’hui la forme de transport qui connait la plus forte croissance dans le monde et la voiture partagée devrait rapidement lui emboiter le pas. «Un million d’utilisateurs, c’est très peu par rapport à leur nombre potentiel.

Collaborative Consumption explodes in Latin America At the end of 2010 a Spanish Google search for “consumo colaborativo” only rendered few results, among them this note from the Discovery Channel Latin America and an article on Argentina’s Rolling Stone website (2011), which were mostly focused on American examples. We are now in 2012 and I am pleased to report that collaborative consumption projects in Latin America have exploded. Would you like to learn more about some of these interesting projects? The truth is that several countries in Latin America (Chile, Brazil, Argentina, Mexico, etc.) are among the few in the world that are currently “growing” (detailed report UN ), ie: apart from consumption and mass access to monetized goods/services. It is often argued that collaborative consumption is only a reaction to the current economic crisis, and therefore, people will return to their “normal” habits of hyperconsumption (as it happened in Argentina after the 2001 crisis). Mobility as a driver of change Mobility does not end with cars.

Connecting through “Collaborative Consumption” In April of 2000, on the spur of the moment, Casey Fenton bought a cheap airplane ticket to Reykjavik, Iceland, for a long weekend. At the time, Fenton was 22 years old and had no place to stay in Reykjavik. Undeterred, Fenton searched the online student database at the University of Iceland, extracted names and email addresses of 1,500 students, and sent messages like “Hey Bjorn, I am coming to Iceland. Can I stay on your couch and hang out with you for the weekend?” Within 24 hours, he received 50 invitations saying, “Hang out with me.” CouchSurfing co-founder Casey Fenton. After that trip, Fenton decided he wanted to keep traveling this way. CouchSurfing is just one example of “collaborative consumption,” a rapid explosion in swapping, sharing, bartering, trading, and renting, facilitated by the latest online technologies and peer-to-peer marketplaces. But collaborative consumption is more than just a cost-saving ploy. The strength of weak ties In the web we trust kizilkayaphotos

Viens chez moi, j'habite dans un deux-pièces ultra écolo La rénovation écolo d’un deux pièces parisien, ça donne quoi ? Sébastien, ancien chargé de com au World Wildlife Fund (WWF), s’est beaucoup pris la tête, a fait quelques trouvailles, et a mis ses amis au boulot. Visite guidée. Lorsqu’il touche un petit héritage au décès de son père, Sébastien décide d’investir pour « faire un cocon à [son] image ». Parce qu’il en a assez de raconter à longueur de journée qu’il faut réduire son empreinte écologique et de voir les gens « en rester à la théorie ». Deux ans après, Sébastien vient de revendre son bien, dépassé par l’ampleur des charges de rénovation de l’immeuble. Pour tenir son budget serré, Sébastien a du mettre les mains dans le chanvre. Il a aussi soudé son groupe d’amis : « Pour la démolition, ils se pointaient à 9 heures le samedi, et le midi, je payais ma tournée. Les contraintes de départ En 2008, Sébastien investit dans ce deux-pièces en duplex de 33 mètres carrés situé dans le quartier des Epinettes, XVIIe arrondissement de Paris.

Coût d'un avocat Si vous faites appel à un avocat, vous devrez le rémunérer. Toutefois, si vos ressources sont inférieures à un certain plafond, vous pourrez sous certaines conditions bénéficier de l'aide juridictionnelle. Le coût de l'intervention de votre avocat n'est pas un sujet tabou et votre avocat a vis à vis de vous un devoir d'information et de transparence sur ses honoraires. (en savoir plus sur la relation avec votre avocat ) SOMMAIRE Honoraires, frais, dépens... comment s'y retrouver ? Honoraires, frais, dépens... comment s'y retrouver ? Les frais et dépens sont les frais engagés au cours d’un procès qui ne constituent pas la rémunération des avocats. Les honoraires de l' avocat sont libres et fixés en accord avec son client Cet accord peut être verbal. Combien cela va-t-il me coûter ? Il est souvent difficile de déterminer à l’avance quel sera le coût d’une affaire, beaucoup d’éléments qui influeront sur son déroulement étant inconnus. 1. 2. 3. 4. Les provisions

Partage, P2P… bienvenue dans l’économie collaborative! Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire. De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances. Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. Alors que plus de 3 millions de personnes dans 235 pays ont déjà « couchsurfé », ce sont plus de 2,2 millions de trajets en vélo libre-service (tels que le Velib’ à Paris) qui sont effectués chaque mois dans le monde. Tandis qu’Airbnb annonçait il y a quelques mois avoir dépassé le million de nuits réservées sur son site, en France, c’est covoiturage.fr qui a récemment franchi la barre du million de membres inscrits. On se rend compte que ce mouvement n’est pas qu’une tendance passagère. Du bien au lien Sterneck ;

Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine Le gratuivorisme, pour une société sans argent, gagne l'Argentine BUENOS AIRES (Argentine) - La recherche d'une société sans consumérisme et sans argent, un mode de vie alternatif né aux Etats-Unis où il est appelé freeganisme, autrement dit gratuivorisme, gagne de nouveaux adeptes parmi les jeunes en Argentine. J'essaye de vivre sans argent, dit à l'AFP Ariel Rodriguez Bosio, 34 ans, qui se veut gratuivore ou freegano. J'essaye d'encourager une nouvelle société et de ne plus soutenir cette vieille société injuste, ajoute-t-il. Ariel, l'allure sportive et le regard perçant, fondateur de l'ONG Arco Iris universal (Arc-en-ciel universel), a renoncé au téléphone portable et à la télévision, porte des vêtements sans marque et préfère le citron au déodorant. Le gratuivorisme consiste à consommer ce qui est gratuit en créant des réseaux d'entraide afin de dénoncer le gaspillage alimentaire et la pollution générés par les déchets dans la société occidentale.

La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? | Consommation Collaborative Bon ok le titre est un peu vendeur…mais de vraies raisons d’être aussi optimiste, il y en a, à la fois pour ce qu’il se trame outre-Atlantique mais aussi en France… Des signes avant-coureurs en provenance des Etats-Unis Selon les secteurs de l’Internet et du e-commerce, il faut un délai plus ou moins long pour que les usages de l’Internet à l’œuvre aux Etats-Unis se traduisent en Europe. C’est le cas par exemple pour le secteur de la réservation de restaurants en ligne : un marché déjà mâture outre-Atlantique et qui n’en est encore qu’à ses débuts en Europe (1 % du total des réservations en 2010 en France ont été effectuées sur Internet). Zipcar, leader du car-sharing (autopartage traditionnel) aux Etats-Unis continue de s’étendre. Logo du tout nouveau Collabfund En France, nous ne sommes pas en reste… Il existe aujourd’hui en France une certaine émulation autour des projets de consommation collaborative et d’innovation sociale. Mais, une question se pose : pourquoi maintenant ?

Comment câbler sa maison ou son appartement... J'ai conçu et réalisé le câblage d'un immeuble de bureaux en 1985. C'était l'époque des "immeubles intelligents". 20 ans plus tard, ce câblage est toujours en service malgré l'évolution des terminaux, des débits et des technologies. En 1990, à l'occasion d'une rénovation, j'ai refait l'installation électrique et j'ai câblé mon appartement. Installer des fils au fur et à mesure des besoins n'est pas possible pour des raisons de coût et d'esthétique. Principe et architecture d'un pré-câblage Le principe est très simple à énoncer, un peu moins simple à réaliser. Le pré-câblage est simple et peu coûteux lors de la construction ou de la rénovation d'une maison ou d'un appartement, puisque c'est simplement la bonne manière d'organiser les fils qui seront nécessairement installés. Local de répartition Ce local technique est l'élément de base du système de câblage puisque c'est vers lui que convergent toutes les liaisons. -Fermes de répartition et modules -Câblage RJ45 Distribution des prises

10 Ways Our World is Becoming More Shareable by Neal Gorenflo and Jeremy Adam Smith We’re sharing more things, more deeply, with more people. Why sharing is the answer to some of today’s biggest questions. posted Jun 22, 2010 Members of the community gather to break ground at the London Ferrill Community Garden. Our world is inherently shareable, though it’s easy to take that for granted. Sharing as a Lifestyle. There’s carsharing, ridesharing, bikesharing, yardsharing, coworking, cohousing, tool libraries, all kinds of cooperatives—it goes on, trust us. There are also scores of new websites—like Divvy, Neighborgoods, ShareSomeSugar, Relay Rides, Rentalic, hyperlocavore, and many more—designed to help us share real stuff. Shareable Cities. University of Denver opened its bike sharing library in September 2009. In the past, we tended to see cities as dirty, unnatural, and isolating places; today, citizens and urban planners alike are starting to see their potential for generating widespread well-being at low financial and environmental cost. The Nonprofit Sector.

Partager plus pour consommer moins ! Si des services mercantiles comme Communauto ou même Bixi — où les gens peuvent «emprunter» un moyen de transport plutôt que d’acheter le véhicule en question — prennent leur envol, les adeptes de consommation collaborative, eux, opteront plutôt pour une location de vélo ou de voiture entre individus. D’autres iront jusqu’à faire du troc d’objets, de la cuisine collaborative (achats groupés d’aliments pour réduire les coûts — et le gaspillage), de l’artisanat et autres moyens. Une question de sous Bien que l’idée d’une communauté axée sur le partage et la collaboration soit très louable, les gens, lorsqu’interrogés, admettent volontiers qu’il s’agit d’abord et avant tout d’une question de coût: il y a des économies à faire. Le fait que ce mouvement soit surnommé «économie de partage» ne signifie pas toutefois que les biens ou services soient gratuits. La puissance des réseaux sociaux Mais il ne s’agit pas seulement de confiance. Mode passagère ou mode de vie? Exemples de sites collaboratifs

Comment l’économie du partage crée du lien social Alors que les échanges marchands créent de plus en plus d'exclusion sociale et de défiance, l'économie du partage, par le don, transforme les relations grâce à la reconnaissance et l'inter-dépendance. Le XXème siècle aura été incontestablement celui de l’échange marchand. Jamais l’humanité n’avait autant commercé, exporté, importé. Jamais les transactions n’avaient été aussi simples et rapides. Bizarrement, alors que les hommes entraient toujours plus en interaction et devenaient toujours plus dépendants les uns des autres, ce XXème siècle aura connu un immense délitement des structures sociales traditionnelles sans création d’autres structures alternatives efficaces. Ce paradoxe bizarre entre l’accroissement des relations humaines et la diminution du lien social pourrait-il trouver une explication dans la nature trompeuse de l’échange marchand ? Quand l’échange marchand abolit la relation Frédéric Laupiès, Leçon philosophique sur l’échange Don et contre-don Photos flickr stevendepolo

Partageux, mais bien marketés Auriez-vous l'idée de vous inviter chez un parfait inconnu pour partager son déjeuner? D'emprunter la première voiture venue en bas de chez vous pour une course impromptue? De rester dormir sur un canapé autochtone à l'autre bout du monde? Et de laisser le touriste de passage squatter le vôtre? Non? Rien de bien neuf là dedans: jusqu'à la célébrité de l'adjudant Chanal l'autostop permettait d'utiliser les sièges vides des voitures croisées sur la route (et de partager le prix du plein) sans appeler ça covoiturage. Rachel Botsman: The case for collaborative consumption © TED Peut-être que le raccourcissement du trajet entre le producteur et le consommateur – démesurément allongé par la mondialisation et l'aplatissement du globe – permet-il à la planète de respirer à nouveau. L'un de ces usages oubliés est le partage des ressources, des équipements, des espaces, du temps privatisés. Plus de renseignements sur: Partage Recyclage Collaboration

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