background preloader

La méthode « lean », le retour du pire du travail à la chaîne

La méthode « lean », le retour du pire du travail à la chaîne

Infobésité - Surcharge informationnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La surcharge informationnelle (en anglais information overload), ou surinformation[1] ou encore infobésité (néologisme québécois[2]), est un concept désignant l'excès d'informations qu'une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité. Cette notion, également évoquée par le sociologue Edgar Morin sous l'appellation de « nuage informationnel », est quelque peu différente du brouillard informationnel en temps de guerre[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Bien que ce concept soit au début du XXIe siècle étroitement lié au développement des chaînes de télévision d'information en continu, à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication et, en particulier, les nouvelles technologies de l'information représentées par Internet, il a fait son apparition dès le début des années 1960 comme l'une des sources de dysfonctionnement des organisations[4]. Citations[modifier | modifier le code]

How to Become a Great Finisher - Heidi Grant Halvorson by Heidi Grant Halvorson | 10:01 AM June 22, 2011 The road to hell may or may not be paved with good intentions, but the road to failure surely is. Take a good look at the people you work with, and you’ll find lots of Good Starters — individuals who want to succeed, and have promising ideas for how to make that happen. They begin each new pursuit with enthusiasm, or at the very least, a commitment to getting the job done. And then something happens. Does all this sound familiar? More than anything else, becoming a Great Finisher is about staying motivated from a project’s beginning to its end. In their studies, University of Chicago psychologists Minjung Koo and Ayelet Fishbach examined how people pursuing goals were affected by focusing on either how far they had already come (to-date thinking) or what was left to be accomplished (to-go thinking). Intuitively, both approaches have their appeal.

FOMO, nouveau mal du siècle La scène se passe chez un géant de l’internet américain dans ses bureaux à San Francisco, un nouveau directeur très capé prend la parole devant les employés. Personne ne lève les yeux, les têtes sont courbés sur les pc portables qui cliquettent à tout va. Rejet des millenials ? Non, dans cette société où l’information circule à la vitesse de la lumière, l’employé classique est interrompu en moyenne plus de 40 fois par heure sur plus de trois écrans et souffre comme dans de nombreuses entreprises d’un nouveau mal, le FOMO. Fomo Privé Fomo public Rejeton terrible de l’infobésité, le syndrôme de Fomo (Fear of Missing Out), phénomène très connu en psychologie boursière est le nouveau mal des employés hyper connectés. Facteur aggravant, Il ne se limite pas à la sphère professionnelle et envahit également la sphère privée, décuplé par les réseaux sociaux et l’usage mobile : suis-je dans le bon restaurant, au bon concert, à la bonne soirée ? Triple Booking No FOMO FOMO Detox Pour combien de temps ?

Why Some People Have All the Luck - Anthony Tjan by Anthony K. Tjan | 11:42 AM July 6, 2011 Some business builders just seem to have more luck than others. In fact, many of the entrepreneurs and business builders I know say luck is a driving factor in their success. But luck in business isn’t entirely, well, luck. There’s a popular saying that “you make your own luck.” Over the course of now hundreds of interviews, collaborations and interactions with entrepreneurs, my co-authors Richard Harrington and Tsun-yan Hsieh and I found that, while there are certain types of luck which you cannot affect (deterministic or probabilistic or elements such as where you were born, or which card you draw from a deck of 52), there is absolutely a lot of luck that you can meaningfully influence. How? We have found in our research that people who self-describe themselves as lucky in their entrepreneurial profile with us tend to be luckier because they have the right attitude. 1. 2. 3.

Canicule : short, tongs... au boulot, les mecs souffrent du code vestimentaire Pieds de collègues qui passent l'été 2012 dans leur entreprise : chaussures fermées pour les hommes ! (Tumblr Mon été de merde) Si personne ne l’avait encore remarqué, l’été est enfin arrivé. Il fait chaud, voire très chaud. Toutes les précautions doivent être prises et surtout surveillez bien votre pépé et mémé. Sauf que la chaleur ne frappe pas de la même manière hommes et femmes où les inégalités persistent. On se réjouit à chaque fois à la venue de la belle saison du fait de voir les femmes découvrir un peu plus leur corps, à coup de jupes et manches courtes. Au travail, l’été (oui, car il y a quand même des pigeons courageux qui travaillent l’été), la gent masculine n’a pas le choix : chemise, pantalon et chaussures fermées (quand on a la chance de ne pas avoir à porter en plus une veste de costard). Et pourtant, quel serait le problème d’ajuster sa tenue vestimentaire à la météo, qui plus est quand le thermomètre s’approche des 40 degrés ?!? Sécurité, hygiène et image Autocensure

Stop Trusting Your Instincts - Ted Cadsby by Ted Cadsby | 1:16 PM June 30, 2011 Flying on a clear day, a pilot can see everything out of the cockpit: the visual cues match the instrument readings so there is no ambiguity about what the plane is doing. But piloting at night is completely different: you are flying blind so you are entirely dependent on the instrument readings. In fact, you should rely exclusively on the instruments because your internal instincts will lead you astray. Without visual cues, our brains try to makes sense of position and direction by relying on a sense of balance created by mechanisms in our inner ears. The inner sense of balance is such a strong instinct that a pilot will be tempted to disbelieve the instruments when they contradict gut feelings. John F. In the course of our daily lives, we humans are skilled day-time pilots. The financial meltdown of 2008 is a quintessential example of how oversimplified our assessment of a complex problem can be.

Une fille en jupe = aguicheuse = pute : le sexisme a encore de beaux jours devant lui une femme en jupe dans la rue (Jason Verwey/Flickr en cc) Avec le printemps qui montre (enfin) son visage, les femmes commencent à dévoiler leurs jambes. Les jupes et robes sortent de leur placard, et avec elles les clichés et instincts de machos ayant (un peu) hiberné pendant ces longs mois frisquets. "une fille en jupe = aguicheuse = elle aime ça = pute" est bien plus partagée qu’on ne le pense et devrait susciter notre indignation chaque jour. En effet, les attitudes sexistes perdurent dans toutes les civilisations. Un Egyptien se déguise en femme pour expérimenter le harcèlement sexuel : extrait de la caméra cachée Vêtu "d’une jupe longue et d’un haut vert" puis une seconde fois carrément voilé pour faire taire les critiques selon lesquelles les femmes provoqueraient les hommes, l’homme-travesti a été interpellé et a reçu plusieurs propositions déplacées. Non, "t'es bonne" n'est pas un compliment Sauf qu’il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Caricature ?

Building a Resilient Organizational Culture - George S. Everly, Jr. by George S. Everly, Jr. | 8:43 AM June 24, 2011 Current events teach us that crisis and even disaster occur far more frequently than previously anticipated. Japan’s post-tsunami crisis and repeated tornadoes of the Southern and Midwestern US demonstrate the vulnerability of modern infrastructures to the forces of nature. Wall Street’s meltdown, the subsequent recession, and the consequent demise of discretionary spending remind us that human-made disasters can be devastating in other ways. The key to not only surviving such events, but to prospering during such upheavals, we argue, is human resilience. My colleagues and I have observed human resilience in individuals ranging from accountants to law enforcement personnel, and even former US Navy SEALs. Our observations have led us to believe that, just as individuals can learn to develop personal traits of resilience, so too can organizations develop a culture of resilience. All of these can be learned.

Infographie : l'entrepreneur... The Best Investment You Can Make - Umair Haque It’s the burning question many of you have been hurling at me recently: “So instead of idly waiting around for the so-called mysteriously reluctant non-recovering recovery, what should we do to survive this never-ending raging crisis?” Here’s a tiny suggestion. The “best” investment you can make isn’t gold. It’s the people you love, the dreams you have, and living a life that matters. Now, some among you will probably roll your eyes and snicker: “Hey, bro, want fries with that hopelessly naive idealism?” But you’re probably willing to entertain the idea that maybe the great systems of human organization, whether political, social, or economic, aren’t creating a meaningful prosperity as well as they could. So allow me to explain. If we all invest in gold, the price of gold skyrockets. The same’s doubly true for investing in the people you love: spending your resources to spark their talents or to create meaningful life experiences with them — instead of just buying stuff for them.

Un nouveau syndrome: le Fomo, ou Fear Of Missing Out Eprouvez-vous la crainte d’être passé à côté de quelque chose d’important? Les réseaux sociaux seraient à l’origine de ce syndrome Fomo. Et si vous étiez concerné? Elle est longue, la liste des options à prendre au fil d’une journée. Pourquoi cette remise en question de décisions sur lesquelles, il y a quelques années encore, vous ne seriez pas revenu? Se connecter à la Toile, c’est découvrir que nos «amis» vivent des moments tellement plus intenses que les nôtres. «Les autres me donnent l’impression de s’éclater en permanence, alors que moi, franchement, je glandouille», confie Pauline, jeune fille toujours à l’affût des dernières tendances. Ce nouveau tourment naît à la pensée que chaque choix nous prive d’une myriade d’autres possibilités, qu’on ferme la porte à ce qui aurait pu s’avérer mieux. Censé épanouir l’individu, l’excès de choix semble souvent le perturber.

Don't Mix Business with Pleasure - Management Tip of the Day - June 10, 2011 June 10, 2011 Working with friends can be fun. But to keep these relationships smooth, you need to follow a few rules. Adapted from "Stop Mixing Business with Pleasure" by Jodi Glickman.

Related: