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How Do YOU Define Yourself Lizzie Velasquez at TEDxAustinWomen

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Stuff, Things... (iamdarthvader: cleophatracominatya: ...) Boîte à outils Par où commencer pour réfléchir sur le film que l’on vient de voir au cinéma ou chez soi ? Quelles questions peut-on se poser ? Comment savoir ce qu’est une représentation normée, un axe de domination, un trope ? Parfois des choses nous sautent aux yeux, et parfois on sent de manière diffuse que des choses sont problématiques sans arriver à mettre le doigt dessus. D’autres fois encore, on passe totalement à côté. Il existe de nombreux concepts pour appréhender l’analyse des rapports de pouvoir et des représentations. Nous avons choisi de présenter 4 étapes de réflexions. De la même manière, nous avons choisi de garder un format court afin que le texte reste digeste, et de renvoyer plutôt vers quelques ressources qui nous semblent pertinentes pour celleux qui souhaitent quelques pistes de départ pour développer leur réflexion avec des apports extérieurs. Voici donc les outils de notre boîte : 1. Compter : représentations et invisibilisations À croiser avec : Ressources : 2. À croiser avec :

Sexisme et images : une étude d’observation En matière de discrimination entre les hommes et les femmes, on s’accorde souvent à penser qu’au-delà des lois, le problème s’ancre dans l’imaginaire collectif, sur le terrain du symbolique. Le sexisme se manifeste par des images, des signes, à la fois sources et reflets de l’imaginaire collectif. Travaillant moi-même sur le terrain du symbolique dans une optique d’ artiste chercheur, j’ai souhaité enrichir mon point de vue sur l’état actuel des représentations hommes-femmes à l’aide d’observations pour une fois « générales », sans m’arrêter sur les cas particuliers. Les images aussi dessinent des statistiques… Mais quelles images observer ? Le corpus Il s’agit des bandes annonces des cinq films les plus vus chaque semaine au cinéma, en France, sur une période de six mois, de novembre 2013 à mai 2014 (cliquez ici pour en récupérer la liste). Trois observations pour établir la proportion d’hommes et de femmes 1ère observation Les personnages : Hommes : 70% Femmes : 30% 2ème observation

Audre Lorde Audre Lorde, en 1980. Audre Lorde, Meridel Lesueur, Adrienne Rich 1980. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et adolescence[modifier | modifier le code] L'indépendance[modifier | modifier le code] Avec l'argent économisé, Lorde finance son voyage au Mexique en 1954. De retour à New York, elle publie la nouvelle La Llorona dans la revue Venture sous le pseudonyme de Rey Domini. continue à exercer des petits boulots (notamment secrétaire médicale et bibliothécaire), tout en étudiant les sciences des bibliothèques au Hunter College. Écrire et lutter[modifier | modifier le code] À partir des années 1960, Lorde est régulièrement publiée, que ce soit dans des magazines littéraires noirs, des anthologies de poésie ou dans une anthologie de poésie Noire, éditée par Langston Hughes, New Negro Poets, USA (1962)[7]. Berlin[modifier | modifier le code] Entre 1984 et 1992, elle passe beaucoup de temps à Berlin. Les dernières années[modifier | modifier le code] Poésie[modifier | modifier le code]

Ces pauvres hommes injustement accusés, ou la résurgence d’une vieille rengaine masculiniste La sortie de Taken 3 au début de l’année a confirmé une tendance masculiniste à l’œuvre au moins depuis le début de la décennie, à savoir la multiplication des figures d’hommes injustement accusés d’avoir commis des crimes sur des femmes et/ou des enfants. On trouve notamment un certain nombre de maris accusés d’avoir tué leur femme dans des films tels que Inception (2010), Gone Girl (2014), Hercule (2014), ou dans la série Flash (2014-…). On peut aussi penser à Dark Places (2015), film adapté d’un roman de Gillian Flynn (l’auteure de Gone Girl, qui a visiblement de la suite dans les idées…) dans lequel Charlize Theron joue une femme ayant, lorsqu’elle était enfant, accusé son frère d’avoir tué sa mère et sa sœur alors que le malheureux n’y était pour rien ; ou encore à l’ignoble Effets Secondaires (2013) de Steven Soderberg qui, en plus de sa misogynie et de son masculinisme, est un très bon candidat pour la palme du film le plus lesbophobe de la décennie. L’homme souffre Paul Rigouste

Violence des échanges en milieu militant - Lacets rouges et vernis noir Tant que j'en suis à parler de ce qui se passe sur les réseaux sociaux... (promis, après j'arrête). Un certain nombre de textes sont sortis récemment pour parler de la violence dans les milieux « militants » sur Internet. J'en oublie sans doute un certain nombre, mais parmi ceux dont je me souviens, il y a eu : Signalons aussi le texte Féminisme et terrorisme, sur Suck My Glock!, qui s'amuse à reprendre des morceaux de la brochure de Léon Trotsky (et de sa préface), Terrorisme et communisme, avec un résultat assez... frontal : Ivresse sanguinaire ! Cela dit, c'est des autres textes dont je vais parler. Pour en finir avec ce piment du chaos La première chose assez surprenante dans ce texte, c'est qu'il nous explique que dans le milieu des « miiltants SJW » (dont je ne sais pas, au juste, ce qu'il est censé désigner exactement), grosso-modo les rapports d'oppression sont à peu près inversés : Mais qu'est-ce exactement qu'être privilégié selon ses critères ? De la violence en milieu militant

Colère Militante — À propos de la toxicité et des abus en milieu... RETURNTHEGAYZE | original writing by alok vaid-menon Avec les mères qui regrettent d’avoir eu leurs enfants | VICE | France Capture de la série 'Mad Men' (Photo via IMDB/Lionsgate Television) Sur le papier, la maternité moderne semble être à double tranchant. Les soins aux nourrissons coûteraient plus cher que les frais de scolarité, les mamans sont régulièrement humiliées dans les médias pour avoir l'air trop enceintes ou pas assez, et l'Amérique ne propose toujours pas de congé maternité payé. Pourtant, malgré les obstacles économiques, émotionnels et physiques associés au fait de mettre des enfants au monde, peu de mères seraient capables d'admettre qu'elles regrettent la chair de leur chair. « Avouer que vous regrettez d'avoir eu vos enfants reviendrait à violer la norme », explique Robin Simon, professeure de sociologie et spécialiste des effets de la parentalité sur la santé mentale. « Je pense que peu de parents regrettent leurs enfants, notamment à cause de l'idéologie, qui est très puissante. Ils ne regrettent pas. « R » fait partie de ces mères pour qui la maternité n'est pas synonyme de joie.

Beauty Is Broken — Matter I was 11 years old when I first recognized that men’s perception of beauty revolves around possession. I was walking home from school when a group of teenage boys started following me in their car. They were catcalling me, so I ran into a bank until they drove off. Beauty, like monstrous ugliness, comes with a hunt. I wonder how perceptions of beauty color the world for men, if it seems as glittering and dark and fragile as it does to me, someone assumed to be a woman. For as long as there have been men and women on this earth, the answer has been no. Other philosophers warned and regulated and mansplained the techniques women ought to use for beauty if they wanted to be desirable; this later extended to royal regulations on wigs, blushes, and perfumes. Beauty was always used as a tool of critique for all genders. Men’s opinions of and approaches to beauty have always been laced with this kind of paradoxical judgement and masculine showmanship.

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