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Paul Jorion le « prophète » contre les sceptiques de France Culture

Paul Jorion le « prophète » contre les sceptiques de France Culture
Les auditeurs de la matinale de France Culture ont eu droit, ce mercredi, à un moment de radio réussi, un échange musclé sur un sujet majeur. D’un côté, Paul Jorion, l’anthropologue, économiste et blogueur, l’« homme-qui-avait-prédit-la-crise » ; de l’autre, Brice Couturier, chroniqueur maison, sceptique et goguenard conformiste devant l’éternel. La matinale de Marc Voinchet avait commencé gentiment, avec une interview intéressante mais classique de Paul Jorion sur la crise actuelle. Un peu comme le prophète de Tintin que @delaigue, le blogueur Econoclaste, m’envoie sur Twitter en illustration du débat de ce matin. Tintin, « L’Etoile mystérieuse », 1942 (Hergé/Casterman) Cette description a de quoi faire sortir Paul Jorion de ses gonds et a donné lieu à un superbe échange, qui nous secoue assurément plus sur les enjeux du moment qu’une primaire socialiste ou un colloque du CNRS. Brice Couturier, puis Paul Jorion, invité de la matinale de France culture, mercredi Ou en vidéo :

AU SOLEIL D’AUSTERLITZ. Une conversation entre Bernard Stiegler et Paul Jorion, le 14 mars 2011 La transcription de cette conversation, le 14 mars, a un peu tardé. La voici enfin. Paul Jorion : Pour moi, le motif de notre rencontre tient essentiellement à un intérêt ancien pour vos idées dont je sens qu’elles sont proches des miennes. Nous nous sommes rencontrés il y a pas mal de temps, je crois qu’il est important maintenant, dans cette période, pour tout le monde, de totale hésitation, que les gens qui ont des idées, et des idées qui sont conciliables entre elles, qui permettent de faire quelque chose où le tout est plus grand que l’ensemble des parties, se rencontrent. J’ai rencontré cette semaine et dans ce type de perspective, Susan George, et nous avons décidé de nous revoir immédiatement, pour continuer à réfléchir sur ce genre de choses. Ce point de vue, qui est issu du travail collectif mené par l’association, qui a maintenant six ans, défend la nécessité de mettre en place une économie de la contribution. L’investissement est pour nous la question fondamentale.

Grève Aujourd'hui, il y a eu grève, une vraie grève, pas une intersyndicale-interprofessionnelle à deux balles et à date fixe décidée au-dessus de nos têtes, non, une vraie grève spontanée. Le motif est tellement minable que ça fout limite la honte. On ne réclamait pas une augmentation de salaire, on ne réclamait pas des moyens supplémentaires, nan, rien de tout ça. Contexte : Je travaille depuis près d'un an dans une bibliothèque universitaire en tant que magasinière contractuelle. Comme toute BU, notre bibliothèque est rattachée à une université, qui est notre employeur officiel. Ok les mecs. Il est bientôt 10h, un collègue propose de ne pas ouvrir la bibliothèque au public tant qu'il n'est pas payé. Re-contexte : La BU en question est au cœur du quartier latin à Paris, et elle est sur-fréquentée (victime de son succès), il y a fréquemment une file d'attente pour pouvoir y entrer. A midi, on apprend que la DRH arrivera à 14h pour nous « expliquer la situation ». On a la rage, le ton monte.

Paul Jorion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Jorion[1], né le 22 juillet 1946[2] à Bruxelles, est un chercheur en sciences sociales, de nationalité belge, ayant fait usage des mathématiques dans de nombreux champs disciplinaires : anthropologie, sciences cognitives, et économie[3]. Anthropologie[modifier | modifier le code] Modélisation algébrique des systèmes de parenté[modifier | modifier le code] Élève de Claude Lévi-Strauss et du mathématicien Georges-Théodule Guilbaud, Paul Jorion a fait progresser la modélisation algébrique de systèmes de parenté, résolvant en particulier le système matrimonial des Pendé du Congo (en collaboration avec Gisèle de Meur et Trudeke Vuyk), et réconciliant plusieurs interprétations contradictoires du système de parenté des Murngin d'Australie (à partir d’une recherche menée en commun avec Edmund Leach, son professeur à l’université de Cambridge[réf. nécessaire]). Il est coauteur avec Douglas R. Sciences cognitives[modifier | modifier le code]

EXCLUSIF S&P pourrait placer le triple A (AAA) français "sous perspective négative" d'ici 10 jours Nouvelle rumeur de marché, pour faire décaler les taux avant la dernière adjudication d'obligations OAT de l'année, ce jeudi ? Ou bien préparation des esprits à l'inéluctable ? Selon plusieurs sources concordantes, Standard & Poor's (S&P) pourrait bien annoncer "sous peu" le placement de la note AAA de la France sous "perspective négative". Ce serait la première étape avant l'abaissement de cette note, la plus haute, dont jouit l'Hexagone. Menaces des autres agences Une autre source glisse même que cette annonce de S&P aurait dû être rendue publique dès vendredi, mais que, pour des raisons inconnues, elle a été repoussée. Pour éviter qu'une éventuelle perspective négative ne se traduise par une perte du triple A, deux possibilités. Capacité d'emprunt du Fonds européen réduite De son côté, Fitch a mis en avant les "risques" pesant sur le AAA français qu'il a néanmoins réaffirmé. L'agence de notation Standard & Poor's a refusé de commenter ce mardi l'article de La Tribune.

Fillon : "La Tribune dit n'importe quoi !" "Je peux vous dire que La Tribune raconte n'importe quoi", a dit le Premier ministre à Reuters en marge d'un séminaire consacré à la Révision générales des politiques publiques. Standard & Poor's a refusé de commenter notre article (lire ici). "S&P ne commente pas les rumeurs sur ses notations", a dit à Reuters une porte-parole du bureau parisien de S&P. L'agence pourrait annoncer sous peu le placement de la note AAA de la France sous perspective négative, rapporte mardi La Tribune, qui cite des "sources concordantes". "Cela pourrait intervenir sous une semaine, ou peut-être 10 jours", dit une source diplomatique citée par la Tribune, qui évoque une intense réflexion en ce sens au sein de l'agence. Le placement sous perspective négative serait une première étape vers une possible dégradation de la note maximale dont jouit la France et qui lui permet d'emprunter à des taux avantageux.

La preuve par Bruce Willis On finit par s'y perdre, dans le minute par minute du désastre. Sur France Inter ce matin, François Hollande brocardait le nième accord définitif Sarkozy-Merkel, annoncé hier à la mi-journée, et qui n'a pas empêché Standard and Poor's de placer "sous perspective négative" la note de 13 pays européens, dont la France et l'Allemagne. Mais la chronologie n'est pas celle-là. Comme l'a expliqué Juppé chez Aphatie, les deux dirigeants étaient prévenus avant. C'est donc en toute connaissance de cette menace, qu'ils ont adopté le plan annoncé hier, le fameux plan (beaucoup de) discipline, contre (un peu de) solidarité. Vous me direz: les deux gouvernements auraient pu être au courant plus tôt, s'ils avaient lu La Tribune. Tout ceci, à propos, a-t-il encore une quelconque importance ? Abonnez-vous !

AVANT-PAPIER-Sommet clé sur une nouvelle architecture de l'euro * Propositions détaillées de Paris, Berlin et Van Rompuy * De nombreux points de désaccord subsistent sur l'euro * Réforme à 27 ou nouveau traité à 17, les jeux sont ouverts * Pas d'action de la BCE sans résultats concrets par Julien Toyer BRUXELLES, 7 décembre (Reuters) - De nombreux désaccords subsistent entre les dirigeants de l'Union européenne sur le détail de la future architecture de la zone euro, à la veille d'un sommet européen dont les résultats devront convaincre la BCE de faire plus pour soutenir les pays en difficulté et assurer la pérennité de la monnaie unique. Sur la forme, les jeux restent également ouverts entre une réforme des traités européens à 27 et en bonne et due forme et la signature d'un nouveau traité entre les seuls 17 pays qui partagent l'euro, jugé plus rapide à mettre en oeuvre.

The G20 and Global Policy Paralysis Ilene Grabel: There's neither the political will nor the courage to take on the austerity and privatization policies pushed by finance - Bio Ilene Grabel, PhD, is an Economist, Professor at the Josef Korbel School of International Studies at the University of Denver, and serves as Co-Director of the MA program in Global Trade, Finance and Economic Integration at Korbel. She was designated the University Scholar/Teacher of the Year in 2005-2006. Grabel has lectured at the Cambridge University Advanced Programme on Rethinking Development Economics since its founding. She has been a Research Scholar at the Political Economy Research Institute of the University of Massachusetts since 2007. Grabel has published widely on financial policy and crises, the political economy of international capital flows to the developing world, the relationship between financial liberalization and macroeconomic performance in developing countries, central banking, and exchange rate regimes. Transcript Comments

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