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Présidentielle : les programmes des candidats, thème par thème

Présidentielle : les programmes des candidats, thème par thème
Nucléaire, cannabis, TVA sociale, homosexuels, institutions... : sur les grands thèmes de la campagne, Rue89 compare les propositions des six principaux prétendants. L’annonce officielle de la candidature de Nicolas Sarkozy a sonné le véritable coup d’envoi de la campagne présidentielle. Une campagne qui va être difficile à suivre : l’entourage de Nicolas Sarkozy a révélé qu’il s’apprêtait à lancer « une idée hebdomadaire ». A Rue89, on trouvait important de proposer un lieu où les riverains, souvent noyés dans le flux d’informations sur les candidats et leurs programmes, peuvent retrouver les principales propositions des candidats, éditorialisées et sélectionnées par les journalistes. Un comparatif qui évolue avec la campagne Nous avons choisi – et c’est hautement contestable – de ne considérer que les six « principaux » candidats (les programmes de Nicolas Dupont-Aignan, Corinne Lepage, Philippe Poutou et Nathalie Arthaud sont disponibles sur Internet).

L'obsession du « lobby gay » : les précédents dérapages de Christian Vanneste - Actualité Région Avec ses déclarations, Christian Vanneste a en quelque sorte commis le dérapage de trop. La goutte d'eau... Parce que le futur ex-député UMP n'en est pas à son coup d'essai. > Sa première déclaration-choc remonte à janvier 2005. Il avait alors jugé l’homosexualité « inférieure à l’hétérosexualité ». « Je n'ai pas dit que l'homosexualité était dangereuse, j'ai dit qu'elle était inférieure à l'hétérosexualité. > Mais fin 2008, la Cour de cassation avait annulé la condamnation du tribunal correctionnel de Lille, confirmée par la cour d’appel de Douai. > En avril 2010, il avait écrit, sur son blog, que « l’opposition outrancière entre pédophilie et homosexualité n’est pas fondée », affichant ainsi son soutien au numéro 2 du Vatican, Tarcisio Bertone, qui avait choqué en faisant l'amalgame entre pédophilie et homosexualité. > En octobre 2010, il refait parler de lui en se déclarant ouvertement favorable à des alliances avec le FN.

Christine Boutin en visite au Refuge: «Je ne suis pas une homophobe» Aucune autre visite d'un politique à l'association Le Refuge (qui propose un hébergement temporaire aux jeunes LGBT en rupture familiale) n'a été plus controversée que celle, le 29 février dernier, de Christine Boutin . Vivement critiquée pour avoir sollicité la pasionaria anti-pacs de 1999, l'association a pourtant tenu à la recevoir, tout comme elle avait reçu Hervé Morin ou les représentants de François Hollande . CONTRADICTIONS Son combat contre l'homophobie, Christine Boutin va jusqu’à le revendiquer et affirme même que son engagement n'est pas neuf: «Je dénonce l'exclusion et la rupture familiale pour cause d'homosexualité en particulier, ce n'est pas du tout nouveau, je l'ai dit même en 1999 au moment du pacs.» La présidente du Parti chrétien-démocrate n'apporte finalement aucune proposition concrète, en terme, par exemple, de lutte contre l'homophobie, notamment en milieu scolaire. Sur le même sujet: Laisser un commentaire Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.

Les drames intimes de l'homosexualit Les gays et lesbiennes découvrent leur homosexualité à 15 ans en moyenne contre 17 ans en 1984, date de la première étude en France. Mais ils font leur coming out (le fait de se déclarer homosexuel) plus tard qu'il y a trente ans, entre 20 et 22 ans en moyenne. C'est le premier constat d'une récente enquête sociologique publiée sous l'égide du Refuge, une association française venant en aide aux jeunes victimes d'homophobie. Surtout, le parcours de l'homosexuel reste difficile, voire chaotique: 30% des personnes qui ont répondu à l'enquête déclarent avoir déjà fait une tentative de suicide. En poussant les portes de l'antenne parisienne du Refuge, dans le 12e arrondisssement de Paris, on entrevoit ce qui a pu les y pousser. Menaces de mort Ce Tunisien en terminale n'a qu'un objectif, trouver un travail pour être vite indépendant. Lucie Romano * Les prénoms ont été modifiés.

Homophobie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’homophobie est l'hostilité, explicite ou implicite, envers des individus dont les préférences amoureuses ou sexuelles concernent des individus de même sexe[1]. L’homophobie englobe donc les préjugés sur l'homosexualité et les discriminations (emploi, logement, services) envers ceux qui la pratiquent. L'homophobie peut être de différentes origines : issue de positions religieuses, de considérations cliniques (en médecine, en particulier en psychiatrie, et en psychologie)[3], anthropologiques (au nom de la différenciation des sexes), idéologiques (le nazisme, le stalinisme), ou issue de désirs homosexuels refoulés. Étymologie[modifier | modifier le code] Naissance du terme[modifier | modifier le code] Pour se définir, certains, dans les années 1950, préféraient éviter le trop sexuel et médical homosexuel, et utilisaient homophile[4]. Polémiques sémantiques[modifier | modifier le code] Hétérosexisme[modifier | modifier le code]

France 2 a dévoilé l'homosexualité d'un jeune homme en prime time Il m’est souvent reproché de violer la vie privée des gens dont nous relatons les faits et gestes dans "Voici". Ma réponse est toujours la même : oui, il arrive que les tribunaux appliquent aveuglément l’article 9 du code civil et nous condamnent à verser régulièrement des dommages et intérêts, assortis ou non de publications judiciaires en couverture pour des photos volées de célébrités. Non, ça ne me pose pas de problème, puisque ces gens sont des personnes publiques qui ont choisi d’être connues. Émission "Histoires en série" sur France 2, présentée par Béatrice Schönberg (capture d'écran) Ce 28 février, France 2 s’est un peu laissé aller en prime time avec le numéro d’"Histoires en série", une émission de société présentée par Béatrice Schönberg. Ce genre d’affaire impliquant des majeurs est délicate ; il faut jongler entre le droit de quiconque à se volatiliser volontairement et l’inquiétude de parents, persuadés qu’il est arrivé le pire.

Ces jeunes homos rejetés par leurs parents "Tu m'écoeures." C'est tout ce que la mère de Benoît a su dire lorsque son enfant lui a annoncé qu'il aimait les garçons. Dix jours plus tard, le fils indigne se retrouvait à la porte, avec ses 20 ans en bandoulière et ses affaires sur le palier. Refuge: lieu où l'on se met en sûreté, dit le dictionnaire. Les locataires ont entre 18 et 25 ans. "La famille est un milieu où l'homophobie ne recule pas" Indicible, dévastateur, ce visage intime de l'homophobie fait peu parler de lui ; pourtant 11 % des plaintes reçues par SOS Homophobie en 2008 concernaient des insultes et des agressions commises dans le cercle familial. "Le plus souvent, ces jeunes ont déjà, avant l'annonce de leur homosexualité, des rapports conflictuels avec leur famille, explique Benoît de Baecque, psychologue référent du Refuge. Pourquoi devient-on homo? Le Refuge ne peut héberger que neuf personnes à Montpellier et six dans son antenne parisienne.

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