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La valeur ajoutée du tuteur dans l'intégration de la Génération Y

La valeur ajoutée du tuteur dans l'intégration de la Génération Y
Le tuteur joue un rôle décisif dans l'intégration réussie des membres de la génération Y. Nous vous proposons de découvrir les éléments clés de la réussite dans un contexte où ces jeunes parfaitement "câblés" pour répondre aux enjeux de l'entreprise rencontrent des difficultés à trouver leur place. L'intégration des jeunes de la Génération Y (nés après 1980) s'invite comme un enjeu majeur dans nos entreprises. Du constat des problèmes actuels aux évolutions à mettre en place. 1er constat : une difficulté à trouver leur place Les jeunes arrivent sur le marché du travail avec des atouts très intéressants pour l'entreprise : formation initiale de bon niveau, goût pour le travail spontané en réseau, appétence pour la technologie et les outils digitaux, pragmatisme.Et pourtant l'intégration n'a jamais été aussi difficile pour cette génération comparée à celles de ses devancières à tel point que se pose la question de leur adaptation au monde du travail. Identifions quelques éléments clés Related:  Les différences générationnelles

Etude : Génération Z, qui sont les nouveaux adolescents ? Plus connectée et diverse que jamais, la génération Z défie tous les stéréotypes. Il y a ceux qui emploient leur temps à récolter les likes sur Instagram et ceux qui veulent changer le monde à coups de hashtags sur Twitter. Ceux qui érigent Kylie Jenner en idole et ceux qui admirent les activistes engagés. Il n’y pas une mais des générations Z. Dans ce large éventail de personnalités, la Generation Me – génération du moi – s’oppose à la Generation We – génération du nous. Génération We : activisme, inclusivité et Tech for Good Pour la Génération We, moins visible mais tout aussi connectée, la compassion est bien plus cool que les dernières baskets de Kanye West. Amanda Southworth - TedTalk Les mots d’ordre de la Génération We sont body positivism et acceptation de soi. A la différence des « Me », les « We » accordent encore beaucoup d’importance aux études supérieurs même si les institutions doivent changer pour s’adapter à leurs valeurs. Crédit Image : Getty Images

ChEEk Sur Facebook et Instagram, on ne montre que les bons côtés de la vie, des morceaux choisis par nos soins. À quel point cette mise en scène peut-elle impacter négativement ceux qui en sont à la fois les spectateurs et les acteurs? Plages paradisiaques, hamburgers alléchants et soirées déjantées, voilà que ce l’on voit passer en quasi-permanence sur nos timelines Facebook et Instagram. Et pour cause, sur les réseaux sociaux, armes fatales du personal branding, on ne dévoile que ce l’on veut bien et en particulier ce qui est susceptible de faire saliver nos voisins virtuels. Ces mises en scène incessantes, celles des autres mais aussi les nôtres, peuvent-elles nous impacter négativement et nous rendre, au final, malheureux? “Face à des gens qui ont plein d’amis, plein d’activités, on dévalorise son propre capital social alors même qu’il était satisfaisant.” Si ça se trouve, cette jeune femme s’emmerde profondément Instagram/sinsuco Le sentiment de solitude du spectateur accentué … Et la sienne

Après la génération Z, la génération Alpha? On s’intéresse aujourd'hui à la génération Z, les enfants nés entre 1995 et 2010. Mais si on prend un peu d'avance, on pourrait aller voir ce qui attend la suivante... Elle n'a pas encore de nom officiel mais certains l'appellent déjà génération Alpha. C’est en tout cas ce qu’à proposé un démographe et sociologue australien du nom de Mark McCrindle's. Difficile de prédire le comportement de jeunes qui sont encore loin du marché du travail – les premiers arrivent tout juste à l'école – mais on a quelques indices. Contrairement aux Z, qui sont nés avec le numérique, les Alpha naissent DANS le numérique. McCrindle’s Les Alpha ne considèrent pas ces technologies comme des outils, mais les intègrent singulièrement à leur vie. Le clavier d’ordinateur, c’est fini, ils n’utilisent que des surfaces tactiles, demain des lunettes, peut-être des lentilles et même des tatouages connectés. Les Alpha seront donc les premiers à ne pas connaître ce qu’est la vie déconnectée…

La génération alpha est déjà là ! Dans le billet Nous sommes en Robotcène, j'expliquais comment nous sommes passés de l'ère où l'homme a dominé la nature à l'ère où la machine est dans la complémentarité intime de l'homme. Une génération regroupe des individus ayant vécu autour de leurs 20 ans des événements fédérateurs. On parle de la génération « Libération », née entre 1920 et 1930 ayant eu environ 20 ans à la Libération, en 1944. Ils vivent alors un événement fédérateur. La génération baby-boomer est née entre 1945 et 1955, élargie à 1960-1965, elle vit le début des Trente Glorieuses et l'emploi pour tous. Puis il y a eu la génération « crise », la génération X (1960-1965/1975-1980), la première génération confrontée au chômage de masse, coincée entre la génération des « boomers » et la génération Y, qui la bouscule. La génération qui suit, née après 2000, est celle des alphas. Cette génération parle le « Google ». L'enseignement s'inverse : apprendre à la maison, faire les exercices avec les enseignants en classe.

27 ans, en CDI, 2700E/mois mais je quitte mon job. Marketing : quelle stratégie digitale pour parler à la génération Z ? Déjà entrée dans la consommation, la Gen Z a des besoins et des usages différents de ses aînés. À la fois discrète et militante, cette génération biberonnée au web est difficile à capter. Transparence et engagement sont ses maîtres-mots. Et vous, parlez-vous Zillennials ? Pour la génération Z, un contenu imposé non désiré fait perdre des points à la marque. Comme les Millennials, les Zillennials ont besoin d’interaction. #1 - Le Zillennial n’existe pas Considérer les Zillennials comme une seule et même cible serait une erreur. La génération Z se réalise en communauté. Montrer une facette de sa personnalité complexe ne peut se faire qu’en privé, en cercle très restreint. Un exemple concret ? #2 - Laisser chaque talent s’exprimer La génération Z se compose de jeunes qui ont confiance en leurs talents et qu’ils considèrent mal jugés par le monde extérieur. #3 - Etre transparent (vraiment) #4 - Être présent sans être intrusif #5 - Encourager la confiance en soi

Les millennials, des salariés pas si compliqués à appréhender Le bien être au travail. Tout le monde a sa petite idée. Qu'en pensent les millennials ? Sont-ils à part encore une fois ? La relation au travail en entreprise, voilà encore un sujet où les millennials appelés aussi les générations Y et Z ou ceux nés après 1986 -comme vous voulez- trouvent le moyen de se distinguer. Toutefois ne les idéalisons pas trop vite. Les millennials, des gens comme les autres y compris au travail... Un principe qui se vérifie dans pas mal d’autres thèmes abordés. De même, la diversité, les relations intergénérationnelles ou les enjeux organisationnels liés au digital (flexibilité, moins de hiérarchie...) sont des qualités moins attendues, y compris parmi les moins de 30 ans. ... et qui ne veulent pas d'un traitement spécifique Un attendu : un mode de management plus engageant sur fond de digitalisation Quels défis pour les entreprises dans les années à venir ? Premier challenge : manager dans un monde dématérialisé donc se transformer pour s'adapter.

Les Z, ces esthètes décomplexés Comment évolue la génération Z au quotidien et quelles sont ses grandes aspirations ? Radioscopie du phénomène avec une série d’articles sur la mode, le numérique et les relations au travail. Avec les Z, c’est tout ou rien. Le style, expression identitaire par excellence Une culture de l’esthétique Pour tous les ados, la mode -et le style en général- tient une place importante dans leur quotidien. Une multiplicité de looks Fini le total look, place au jeu sur les marques et les époques. Ces fashionistas modernes sont capables de combiner du vintage chiné aux puces avec des pièces en série limitée de jeunes créateurs ou avec des basiques Primark; l’important étant pour eux de sortir des cases et de se définir dans une multipicité de styles de vie. Simplicité, neutralité et discrétion Besoin de rien ou presque Ne voulant surtout pas être stigmatisés par des étiquettes, les Z s’émancipent des codes vestimentaires de leurs prédecesseurs. Ni fille, ni garçon Une tendance à préférer le « no logo »

La génération Y à l'épreuve des clichés Propos recueillis par Emmanuel Vaillant | Publié le , mis à jour le La génération Y existe-t-elle vraiment ? Myriam Levain. Julia Tissier. De tous les clichés, l’individualisme semble être celui qui vous agace le plus. ML. JT. Pour nous, le chômage n’est pas une honte, il permet de rebondir Vous insistez aussi sur la crise, le chômage, la précarité… Est-ce ce qui a construit en partie cette génération ? JT. ML. Vous voulez dire que la génération sacrifiée, c’est plutôt la génération X ? JT. ML. Dans l’entreprise, nous sommes dans le respect de la compétence plus que de la hiérarchie Avez-vous vraiment un comportement si différent que celui de vos aînés dans l’entreprise ? JT. ML. JT. Diriez-vous que la place des jeunes est en train de changer ? ML. JT. (1) La Génération Y par elle-même, Myriam Levain et Julia Tissier (éd.

La génération X friande d'outils virtuels pour communiquer Naviguer d'un média à un autre pour communiquer est loin d'être le privilège de la génération Y : leurs aînés ont aussi complètement assimilé le fait de passer de l'un à l'autre en permanence pour dialoguer. Les jeunes générations sont loin d'être les seules à avoir complètement assimilé les modes de communication virtuelle à leur quotidien. D'après une étude menée chaque année par l'université du Michigan, les adultes de la génération X, tout du moins ceux en fin de trentaine, entrent autant en contact avec leurs proches, leur famille ou leurs collègues et contacts professionnels via des modes de communication électroniques, comme le mail, les médias sociaux, les messageries instantanées, les webcam... Pour les chiffres, en un mois, les plus de 3000 adultes ayant répondu au sondage* ont annoncé avoir entamé une moyenne de 75 contacts ou discussions en face-à-face, contre 74 via des solutions virtuelles. Une question d'habitudes socio-professionnelles

Génération Z : la définir et la manager Nés à partir de 1995, les successeurs de la génération Y ne vont pas tarder à débouler dans les bureaux… et à chambouler pas mal d'habitudes. Rythmes plus souples, hiérarchie pyramidale dynamitée, dématérialisation des postes... Les premiers Z nés en 1995 arrivent en stage et changent déjà les règles du jeu dans l'entreprise. Comment se préparer à les accueillir pour réussir à les intégrer ? "Il vaut mieux leur donner des objectifs et les laisser travailler par eux-mêmes" Règle numéro un : ne cherchez pas à les canaliser. Alexandra Gaudin, DRH de l'agence de communication Australie, qui a signé quatre contrats professionnels de Z, confirme : "Ils sont dans l'attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi. "Ils sont dans l'attente de nouveaux défis : je leur confie régulièrement des missions ponctuelles en plus de leurs objectifs à tenir sur un an et demi" Mais pourquoi un tel besoin ?

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