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Lycée Japonais vs Lycée Francais : Vision d’une japonaise

Lycée Japonais vs Lycée Francais : Vision d’une japonaise
em>Ce n’est pas souvent que que je propose des articles tirées d’autres sites mais je pense que cette interview est intéressante car elle retrace l’expérience d’une japonaise ayant effectué une année de lycée au Japon. Sur internet, il est assez facile de trouver des retours d’expériences de Français ayant été au Japon mais l’inverse est rare c’est pourquoi j’ai décidé de le reprendre ici. Après s’être penché de près sur les caractéristiques de la société japonaise («Personne ne peut comprendre»), Trois Quatorze choisit de s’attarder sur la question scolaire. La venue en France d’Aïmi, ancienne participante au programme d’une année scolaire, ancienne étudiante à Sciences Po et aujourd’hui à l’IHEID de Genève, nous donne l’occasion d’établir un parallèle intéressant entre le lycée et le «Kookoo» et de lever, du même coup, le voile sur ce qui sous-tend deux cultures aussi éloignées que la française et la japonaise. Trois quatorze — Comment as-tu interprété la chose? A lire absolument :

Compétition saine et malsaine : (2)Les ingrédients d'une saine compétition B. Les ingrédients essentiels de la saine compétition Nous allons maintenant examiner les ingrédients qu'on peut retrouver dans toute compétition saine. Ceci nous aidera ensuite à mieux comprendre comment les formes malsaines de compétition sont, en réalité, des évitements qui s'opposent à des caractéristiques de la vie elle- même. 1. Estime Toute compétition saine suppose une forme d'estime de l'adversaire. Cette estime prend une qualité différente selon le type de compétition. Dans l'émulation L'estime est essentielle à l'établissement de l'émulation. C'est plus précisément la comparaison entre mes qualités et les siennes qui permet l'émulation. Dans l'imitation Dans l'imitation, au contraire, c'est l'écart entre mes forces et celles de mon modèle qui donne à cette estime sa couleur particulière. Cette inégalité n'est pas nécessairement générale. Dans le combat Pour ce qui est des situations de carence, ce sont avant tout les ressources pour lesquelles on combat qu'on apprécie. 2. 3.

Japon : le bilan 2013 selon Enterbrain Fidèle au rendez-vous, Enterbrain vient de publier son bilan chiffré du marché japonais pour l'année écoulée, un moyen toujours fiable de jauger l'évolution de la demande sur l'un des principaux territoires en matière de jeu vidéo. Une fois encore, la tendance générale est à la baisse, avec un chiffre d'affaires global qui n'en finit plus de dégringoler. Pour l'ensemble de l'année 2013, celui-ci atteint 408,97 milliards de yens (2,87 milliards d'euros), contre 449,19 milliards l'année précédente. "Faute de nouvelle machine" susceptible de drainer les ventes, comme le signale la société éditrice de Famitsu, le CA Hardware comme Software sont à la baisse. CA du jeu vidéo japonais Données exprimées en milliards de yensSource : Enterbrain ; période du 31/12/12 au 29/12/13 C'est une fois encore la 3DS qui finit en première place sur la ligne d'arrivée, avec 4,93 millions de machines, en majorité des modèles XL, même si Enterbrain n'opère pas de distinction.

Arnaud Parienty » Blog Archive » Réduire la dépense publique d’éducation ? Chiche ! Le ministre de l’éducation n’a pas été déçu du sort réservé à son ballon d’essai. Hurlements, protestations indignées : le gel de l’avancement des enseignants est une machine à s’aliéner durablement un électorat stratégique, comme on pensait que seul Claude Allègre pouvait en inventer. Si vraiment le gouvernement est disposé à prendre un tel risque politique pour une mesure économisant moins d’un milliard d’euros par an, c’est que la situation est désespérée… ou que ce gouvernement est d’une nullité crasse. En effet, il est tout à fait possible de réduire la dépense publique d’éducation de plus de dix milliards d’euros par an sans toucher au salaire des enseignants. Réduire les heures de cours Commençons par une idée simple et relativement consensuelle : il est possible de réduire le nombre d’heures de cours des élèves. L’OCDE ne fournissant que le nombre d’heures de cours par enseignant, il est impossible de connaître le nombre d’heures de cours par élève au collège et au lycée.

Japon : du pesticide toxique dans des produits surgelés, plus de 350 personnes touchées Plus de 350 personnes de diverses régions du Japon disent avoir éprouvé des malaises après avoir ingéré des produits surgelés dans lesquels a été découvert un pesticide et qui font l'objet d'un rappel massif, selon la chaîne de TV NHK. A la fin du mois dernier, la filiale Aqlifoods du groupe japonais Maruha Nichiro Holdings a fait état de la présence inexpliquée d'un pesticide appelé malathion dans divers produits surgelés confectionnés dans une usine de la préfecture de Gunma, au nord-ouest de Tokyo.Une odeur étrange avait été détectée par plusieurs clients qui ont alerté l'entreprise. Les aliments concernés (des croquettes, des pizzas notamment) sont retirés des rayons, mais des personnes en ayant mangé auparavant ont fait état de malaise.

Pessimisme français : la faute à l’école ? Dans tous les classements internationaux, les Français voient la vie en gris. Croyant moins en l’avenir que leurs voisins, ils sont convaincus que pour eux-mêmes aussi, "demain" rime avec "moins bien". Mais pourquoi le pays de Rabelais et Coluche fait-il tant la gueule ? Les Français sont-ils vraiment moins heureux que leurs voisins européens ? - Claudia Senik Quand on leur pose la question, ils déclarent un niveau de bonheur en effet moins élevé. A propos de vos travaux, le "New Yorker" écrit que les Français sont "heureux d'être malheureux". - Je dirais plutôt qu'il est culturellement mal considéré en France de paraître trop optimiste : on se moque beaucoup des Américains souriants et de leurs "That's great ! Vous émettez l'hypothèse que le spleen français viendrait de notre système scolaire... - C'est une interprétation possible. Propos recueillis par Arnaud Gonzague - Le Nouvel Observateur

Tokyo : un incendie bloque le trafic ferroviaire Un incendie qui s'est déclaré dans des salles de jeu près d'une gare du centre de Tokyo a fortement perturbé, vendredi 3 janvier dans la matinée, le trafic des trains au départ et à l'arrivée de la capitale nippone, selon la compagnie de chemins de fer Japan Railways et les médias. Aucun blessé n'a été déploré, mais des dizaines de milliers de personnes ont été affectées par les arrêts temporaires de trains alors que beaucoup de familles rentrent chez elles ce vendredi après les traditionnelles fêtes du Nouvel An. Le sinistre s'est déclaré vers 6 h 30, pour une raison encore inconnue dans une salle de jeux et s'est propagé à d'autres établissements contigus du quartier de Yurakucho, un lieu très commercial non loin des boutiques de luxe de Ginza. Une bonne cinquantaine de camions de pompiers se sont rendus sur place, selon les chaînes de télévision, et le feu aurait été quasiment éteint dans la matinée.

François Dubet : « L'école est en péril » Au classement PISA qui évalue les systèmes éducatifs au sein de l'OCDE, la France ne cesse de dégringoler. Elle apparaît au 19e rang, et même au 23e rang en compétences scientifiques, et elle est l'un des pays qui affiche le plus haut niveau d'inégalités en matière de connaissances. Par ailleurs, en 1997, le ministre ad hoc Claude Allègre qualifiait l'Education nationale de "mammouth". Le terme désignait des emplois pléthoriques, un fonctionnement sclérosé, une organisation obsolète, un immobilisme et un radicalisme idéologiques qui entravaient toute réforme. De quoi le système éducatif français et "l'entreprise" Education nationale sont-ils malades ? Qu'il s'agisse de performance, d'égalité et de climat scolaire, ce que révèlent les enquêtes internationales n'est pas flatteur pour la France. A quelles responsabilités historiques, sociales, syndicales, politiques, sociétales, attribuez-vous cette incapacité à réformer ? Le système a échappé aux politiques. Absolument. ... Tout à fait.

La Chine enrôle Harry Potter pour dénoncer le « militarisme » japonais L'ambassadeur de Chine en Grande-Bretagne a puisé dans la saga locale Harry Potter en invoquant le maléfique Voldemort pour dénoncer les penchants militaristes du premier ministre japonais. L'ambassadeur de Chine en Grande-Bretagne a puisé dans la saga locale Harry Potter et invoqué le maléfique Lord Voldemort pour dénoncer les penchants militaristes du premier ministre japonais Shinzo Abe, dont la récente visite au sanctuaire Yasukuni a outré Pékin. « Dans la série Harry Potter, le mage noir Voldemort expire car les sept horcruxes, où sont dissimulées des parties de son âme, ont été détruits », a écrit l'ambassadeur Liu Xiaoming dans le quotidien britannique Daily Telegraph. « Si on compare le militarisme à un Voldemort hantant le Japon, alors le sanctuaire Yasukuni de Tokyo est un genre de horcruxe, abritant la face la plus sombre de l'âme de cette nation », a poursuivi le diplomate dans cette tribune publiée mercredi 1er janvier.

Chroniques en innovation et en formation » Blog Archive » 2/10- le changement, c’est la perception du changement Dans un format qui correspond mieux à la lecture comme aux publics des Cahiers, je pourrais proposer dix phrases et dix outils pour accompagner le changement -(avec les images et les graphiques en plus °) 2- le changement, c’est la perception du changement Aborder le changement en établissement, c’est accorder de l’importance à la représentation que chacun, et plus collectivement, une équipe se fait de sa propre situation. Les idées sur les choses ont un effet sur les choses elles-mêmes ; les études sont documentées à présent pour dire que l’optimisme, l’espoir et l’engagement des enseignants projetés sur leur établissement ont un impact sur la plus grande réussite de leurs élèves. Une situation pédagogique ou collective où le sentiment insécure peut apparaître témoigne d’une conscience plus explicite d’un dépassement des compétences à l’œuvre ; c’est le début du changement. Consultez vos élèves ! Qu’avez-vous appris au collège ?

Les Américains auraient testé des armes biologiques au Japon L'armée américaine aurait testé des armes biologiques « au moins une douzaine de fois » au début des années 1960 dans la préfecture japonaise d'Okinawa, occupée par les Etats-Unis depuis la seconde guerre mondiale jusqu'en 1972. C'est ce que rapporte le Japan Times, qui s'appuie sur des documents des autorités américaines obtenus par l'agence de presse japonaise Kyodo News. Un champignon dévastateur qui provoque des lésions sur les plants – le Magnaporthe grisea, donnant la maladie de la pyriculariose – aurait ainsi été diffusé sur les rizières pour évaluer son impact sur la production de cette denrée alimentaire de base. « On estime que ce champignon, dont l'existence est connue dans 85 pays, détruit une quantité de riz qui pourrait nourrir 60 millions de personnes par an », note le quotidien anglophone. Le gouvernement américain a déjà dévoilé des programmes d'expérimentation d'armes chimiques et biologiques à Puerto Rico, Hawaï et dans l'Utah, avance aussi le Japan Times.

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