background preloader

Comment peut-on influencer la croissance d'une plante grâce à la musique ?

Comment peut-on influencer la croissance d'une plante grâce à la musique ?
Il y a une trentaine d’années, Joël Sternheimer, physicien de formation, élève du prix Nobel de physique de 1929 Louis de Broglie, poursuivait ses recherches sur la physique des particules aux États-Unis. Joël Sternheimer prédit et mit indirectement en évidence l’existence de ce qu’il appelle des ondes d’échelle ou protéodies, qui seraient émises par des particules et notamment, dans les cellules vivantes, par les acides aminés, à des fréquences inaudibles. La présence de ces ondes, dont il calcule les fréquences, expliquerait certaines interactions et comportements des molécules entre elles. Que sont les protéodies ? Des signaux quantiques à l’échelle des acides aminés Suivant les théories et les calculs de Joël Sternheimer, considérons que les vingt acides aminés, véritables piliers de l’organisation métabolique, émettent chacun une onde dont on peut calculer la fréquence. La musique et les Plantesenvoyé par La_musique_et_les_plantes. - Merci ! Mais Joël Sternheimer va plus loin.

des ondes sonores émises par le fenouil? Ceux qui, comme moi, aiment Franquin, ont probablement le souvenir de cette planche savoureuse où Gaston Lagaffe, pensant que les plantes sont sensibles à la musique et désireux d’accroître le bien-être d’un pied de lierre, veut lui jouer un petit air. Mais aux premières notes affreuses émises par le tristement célèbre gaffophone, la plante tente de s’échapper par la fenêtre ouverte… Ce que dit le gag, c’est que le son de cet instrument générateur de catastrophes doit vraiment être horrible si « même un végétal » ne le supporte pas. Encore faut-il que les plantes ne soient pas sourdes comme leurs pots et qu’elles puissent percevoir les vibrations sonores. La notion de communication dans le monde végétal a longtemps été tenue pour marginale (voire inexistante) quand elle n’a pas été raillée. Dans une nouvelle étude publiée le 22 mai par PLoS ONE, une équipe italo-australienne a voulu explorer tous les modes de communication possibles entre deux plantes, le piment et le fenouil.

Sauvages de ma Rue Rio+20 : La perte de biodiversité est-elle une perte pour l'homme? bein évidement Martin-pêcheur, espèce protégée United Nations Photo©via Filckr CC En 1992, lors du premier sommet de la Terre qui s’est tenu à Rio de Janeiro, la diversité biologique avait fait l’objet d’une convention spéciale dont l’un des buts principaux était la conservation de la biodiversité. Cette convention, signée par 168 pays en 1993, est le premier document qui reconnaît, en termes de droit international, que la conservation de la diversité biologique est une préoccupation commune pour l’ensemble de l’humanité. En 2010, année internationale de la biodiversité, le protocole de Nagoya prévoyait l’adoption d’un plan stratégique 2011-2020 visant, entre autres, la création d’espaces protégés couvrant 17% de la surface de la Terre et 10% de celle des mers. On trouvait également, dans ce protocole, un accord pour la création d’une plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques, l’ IPBES, équivalent du GIEC pour la biodiversité.

Related: