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Dix conseils aux parents d'un enfant hyperactif

Dix conseils aux parents d'un enfant hyperactif

Bouger permet aux enfants hyperactifs (TDAH) d'être alertes et de se concentrer Les enfants avec et sans le TDAH restaient assis relativement tranquilles alors qu'ils regardaient le film Star Wars en même temps qu'ils coloriaient avec un logiciel de dessin. Mais tous les enfants devenaient plus actifs quand ils devaient retenir des lettres, des chiffres et des formes générées par ordinateur pour accomplir une tâche. Les enfants ayant le TDAH devenaient significativement plus actifs que les autres, bougeant leurs mains et leurs pieds et pivotant sur leurs chaises. Selon l'auteur, les enfants ayant le TDAH ont besoin de bouger plus pour maintenir le niveau requis de vigilance quand ils exécutent des tâches exigeantes pour la mémoire de travail, un type de mémoire à court terme (1). Les mouvements des enfants sont comparables à la tendance des adultes à bouger sur leur chaise pour demeurer alertes durant de longues réunions. (2) Menée par la psychologue Jackie Andrade de l'Université de Plymouth. Psychomédia avec source:Eurekalert Voyez également:

L’activité physique bénéfique aux enfants avec un TDAH Texte traduit et adapté de Exercise may lead to better school performance for kids with ADHD, publié sur EurekAlert Selon une étude menée aux Michigan (É.-U.), les enfants avec un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) qui feraient quelques minutes d’exercice avant un cours auraient de meilleurs résultats scolaires. Le chercheur Matthew Pontifex de la Michigan State University a réparti 40 élèves de 8 à 10 ans, dont la moitié étaient atteints d’un TDAH, dans deux groupes. Les résultats ont montré que les enfants qui avait fait de l’exercice ont mieux réussi aux tests. Selon le chercheur, cette étude suggère que l’exercice physique pourrait être utilisée dans le traitement non pharmaceutique du TDAH. Toutefois, d’autres chercheurs ont constaté que les enfants atteints d’un TDAH sont moins susceptibles d’être actifs physiquement ou de pratiquer un sport. [Consulter l’article]

Tests - Bilans Grilles d'évaluation des symptômes du TDA/H cliquez sur les liens pour consulter les pdf Pour tous - Trousse d'évaluation du TDA/H par la Canadian ADHD Ressource Alliance (CADDRA) : Consulter la trousse. - Cotation de la Clinical Global Impressions – Severity (CGI-S) et de la Clinical Global Impressions – Improvement (CGI-I) : Voir les échelles Enfants - Questionnaires de Conners : Questionnaires - Evaluation par les parents: Voir la grille d'évaluation - Echelle d'impulsivité fonctionnelle et dysfonctionnelle : Voir la grille d'évaluation - Questionnaire Test SNAP IV: Explications du test et grille d'évaluation - Cotation de l’Attention-Deficit with Hyperactivity Rating Scale IV (ADHD-RS) : Voir la grille d'évaluation - Strengths and Weaknessness of ADHD-symptoms and Normal-Behavior (SWAN) scale : Voir la grille d'évaluation - TDA/H : Critères diagnostiques : Voir Adultes - DIVA 2.0 entretien diagnostique pour le TDA/H chez l'adulte : cliquez ici - Auto-évaluation : Voir le questionnaire Sommeil

CO-MORBIDITES DANS LES TROUBLES DES APPRENTISSAGES — CLAP Principales co-morbidités des troubles spécifiques, cas de l'épilepsie fonctionnelle, cas de l'immaturité psycho-affective Parfois le trouble spécifique présente tous les critères cliniques nécessaires au diagnostic, mais il existe aussi une autre maladie ou anomalie : Epilepsie, trouble psycho-affectif (personnalité anxieuse), anomalie génétique dépistée, antécédents sociaux familiaux difficiles… Si cette deuxième maladie ou anomalie ne peut expliquer clairement, par ses symptômes reconnus, le trouble des apprentissages, il est prudent de ne pas faire de lien de causalité. On parle alors de co-morbidité, et on proposera à l’enfant en parallèle une prise en charge des deux troubles. Quand un enfant présente en association plusieurs troubles des apprentissages, sans qu’on retrouve une maladie connue, et qu’il n’y a pas non plus de déficit cognitif patent, on parle de trouble complexe des apprentissages. Une „crise convulsive“ peut être un événement unique.

HYPERACTIVITÉ (TDAH): Privé d'oxygène avant la naissance? HYPERACTIVITÉ (TDAH): Privé d'oxygène avant la naissance? Actualité publiée le 10-12-2012 Pediatrics Les enfants exposés in utero à des conditions hypoxiques ischémiques c’est-à-dire à des situations où le cerveau est privé d'oxygène, s’avèrent de 20 à 50% plus à risque de trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention (TDAH) plus tard dans la vie, révèle cette étude du Kaiser Permanente publiée dans la revue Pediatrics. Ces résultats confirment que des événements de la grossesse contribuent au développement du TDAH, au-delà de facteurs familiaux et génétiques déjà connus. Son étude a examiné l'association entre l’hypoxie-ischémie (HI) et le TDAH sur près de 82.000 dossiers de santé électroniques d’enfants, âgés de 5 ans, et constate que l'exposition prénatale à l'HI et particulièrement, l’asphyxie à la naissance, le syndrome de détresse respiratoire néonatale, et la pré-éclampsie sont des conditions associées à un risque accru de 16% de développer un TDAH. Plus précisément, Neuro

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