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Habitats autogérés et immeubles coopératifs, un remède à la crise immobilière - Logement

Habitats autogérés et immeubles coopératifs, un remède à la crise immobilière - Logement
David Scheller, 32 ans, en avait assez des « relations de pouvoir » avec ses propriétaires, du loyer doublé après le changement du système de chauffage, d’un mode de logement « où l’on ne peut rien déterminer soi-même ». Il s’est lancé dans un projet d’habitation autogérée avec un groupe d’amis et de connaissances. « Nous avons longtemps discuté pour savoir si nous voulions devenir propriétaires ou pas. La majorité s’est vite prononcée contre. Le principe ? Des crédits directs en guise d’apport Autre spécificité : le financement des projets. « Dans une coopérative classique, il faut toujours un capital de départ », regrette David Scheller. Reste que les immeubles vides sont de plus en plus rares à Berlin. « Ça devient vraiment difficile d’en trouver, surtout à l’intérieur des limites du périphérique. Un loyer bon marché Il a fallu six mois avant que le syndicat n’accepte le projet. « Il trouvait ça risqué », rapporte l’architecte. 20% de logements réservés à la location Rachel Knaebel

Un projet de coopérative d’habitation pour aînés est à l’étude à Saint-Sylvestre Les aînés de Saint-Sylvestre pourraient bientôt bénéficier d'une coopérative d'habitation. Le projet qui en est à sa phase préliminaire permettrait de fournir 15 logements à des aînés autonomes ou en légère perte d'autonomie. Le comité provisoire affecté au projet, tiendra une rencontre d'information, le 12 septembre, qui permettra de mesurer l'intérêt de la population envers ce projet de logement. Une rencontre similaire avait été tenue cet hiver et l'intérêt avait été important, confirme l'un des membres du comité, Michel Saint-Hilaire. «Nous avons déjà recueilli plus de 70 signatures de gens qui sont intéressés à s'installer dans la future résidence. Le projet est actuellement évalué à 2,250 M$, dont environ 145 000 $ qui proviendrait du milieu et de différents partenaires. Du même coup, il explique que le comité a ciblé quatre terrains qui pourraient accueillir l'édifice qui comprendra 15 unités d'habitation, dont 12 trois et demi et trois quatre et demi.

Pierre Rabhi et les Oasis en (...) - Passerelle Eco - Ecovillage Global et Permaculture L’objet des Oasis en Tous Lieux est d’être des oasis de convivialité, d’abondance et de bien-être. Les Oasis en tous lieux seront des graines d’espoir dans un monde désertifié par la rupture des liens sociaux et par la séparation d’avec le milieu naturel. Pierre Rabhi, paysan philosophe, est à l’origine du concept des Oasis en Tous Lieux dans les années 90. Nous présentons ici également quelques aspects de la pensée de Pierre Rabhi. Suivez l’actualité des écolieux, des Oasis en Tous Lieux, des projets d’écovillages, de l’habitat groupé et des alternatives écologiques dans la revue trimestrielle Passerelle Eco, et prenez part au réseau d’échanges éco qui vous donnera les moyens de faire avancer votre projet. Les Oasis en Tous Lieux Les Oasis sont des lieux de vie proposant des alternatives de mode de vie et visant une autonomie fondée sur la Terre nourricière, la pluriactivité et les échanges favorables à la reconstitution du lien social et à la coopération ville/campagne.

L'habitat coopératif reste à construire dans la région es organisateurs de la journée de réflexion sur les coopératives d'habitants souhaitaient mettre en avant les solutions apportées par cette forme différente d'accession ou de partage de propriétés. Ils ont mis dans le mille au regard du nombre de participants, jeudi dernier à Bordeaux, « la preuve que ces nouvelles formes d'habitat germent dans de nombreuses têtes », se félicite Martine Alcorta, la vice-présidente du Conseil régional, chargée de l'habitat. Mais de nombreux obstacles à l'émergence de ces projets demeurent. La barrière du foncier « On ne peut pas laisser penser que ces formes d'habitat loué ou acheté collectivement puissent un jour répondre aux besoins massifs de logements », estime Jean-Pierre Labroille, membre (CGT) du Comité régional du logement. Le premier obstacle sur lequel butent les candidats, souvent militants, à cette forme mutualisée d'accession à la propriété et de gestion, est le foncier. L'obstacle statutaire

Relier Les clés de l’accession sociale à la propriété Le saviez-vous ? L’accession sociale à la propriété permet, chaque année, à environ deux cents familles côte-d’oriennes de réaliser leur rêve : acheter un appartement ou une maison. L’achat d’un logement HLM par ses locataires n’est pas le seul moyen. Comme l’explique Marylène Graffin, secrétaire général de la Sacicap Bourgogne nord (Côte-d’Or/Yonne), société anonyme coopérative d’intérêt collectif pour l’accession à la propriété : « Seule une cinquantaine de transactions s’effectue dans ce domaine en Côte-d’Or. Originalité : l’aide à la sédentarisation des gens du voyage, avec un dossier en cours concernant trois familles à Châtillon-sur-Seine. « Le principe, c est d’aider les personnes habitant un logement précaire, comme une caravane. Des logements neufs Toutefois, l’essentiel des transactions annuelles d’accession sociale à la propriété s’effectue par le biais des programmes de construction en neuf des deux coopératives côte-d’oriennes le Toit Bourguignon, et Bourgogne Habitat.

Réseau des Territoires pour l'Economie Solidaire L’intérêt pour le statut de sociétés coopératives d’intérêt collectif était manifeste pour la soixantaine de participants à la journée de formation co-organisée par le RTES et Idéal Connaissances le 27 septembre. Pour la première fois accessible également en webconférence (plus de 25 participants ont pu assister à la journée en direct depuis leur bureau), la journée a permis d’aborder de nombreuses questions : à quelles conditions une collectivité peut-elle participer au capital d’une SCIC ? Une SCIC peut-elle bénéfier de subventions ? Peut-elle répondre à un appel d’offres ? Si vous n’avez pas pu y assister, retrouvez la conférence ici Les Scic sont un sujet d’actualité. 200 sont en activité aujourd’hui et le statut soufflera sa dixième bougie en février 2012. Tout est possible… Alix Margado, délégué Innovation à la Confédération générale des Scop, a ouvert cette journée par un cadrage (cf ppt en PJ), notamment juridique, de ce qu’est une Scic, ses modalités de création,… .

bientôt un immeuble en colocation Lorsqu'elle emménagera en 2013 dans la Zac des Maisonneuves à Villeurbanne, Cécile Lacombe pourra enfin vivre dans un habitat en phase avec ses convictions. Hier, cette mère de famille de 37 ans a participé au lancement officiel de la construction du Village vertical, imaginé et porté depuis 2005 par la première coopérative d'habitants de France. Ecœurés par la flambée des prix de location et la spéculation immobilière, ces dix ménages ont fait le pari de créer une nouvelle forme d'habitat « alternatif, solidaire et écologique ». Les résidents, aidés par l'association Habicoop, seront tous propriétaires du bâtiment et locataires de leur logement. Pas question pour ces futurs voisins de tirer un trait sur leur intimité, mais bien « de vivre autrement, dans l'entraide et le partage », indique Cécile, qui avec son mari et leurs trois enfants fera terrasse, potager et buanderie commune avec les autres « villageois ». Elisa Frisullo Un habitat moins coûteux

ophec Réseau des Territoires pour l'Economie Solidaire Hausse des loyers, pression foncière, mixité sociale, la question du logement est une priorité forte des territoires. Largement répandues en Italie, en Suisse ou en Allemagne, les coopératives d’habitants rencontrent un intérêt grandissant auprès des groupes de familles et des territoires à la recherche de solutions innovantes entre habitat social et accession à la propriété. Rencontre avec Emmanuel Vivien, coordinateur d’Habicoop. Quel est l’intérêt de la coopérative d’habitants ? Habicoop accompagne le montage de projets de coopératives d’habitants sur le volet juridique et financier. Outre le logement, l’habitat coopératif répond-il à d’autres besoins des territoires ? Habicoop œuvre à faire avancer le droit français sur la création d’un statut juridique propre à ce type de projet. Visiter ici le site d’Habicoop Appel national lancé par Habicoop et la Fondation Abbé Pierre pour les coopératives d’habitants Photos HD de l’événement : stephaneperraud(arobase)yahoo.fr

L’habitat partagé intergénérationnel et solidaire L’association "Le temps pour toiT" organise le 26 avril 2012 un colloque qui promet d’être très intéressant. Accueil à partir de 8h30 9h : Introduction par Le temps pour toiT 9h30 : Intervention de Annie Dusset, sociologue chercheur : « Tous aidants : de l’invisibilité à la reconnaissance ? » 10h : Intervention de Michel Berger, médecin gérontologue : « Tous dépendants, tous inutiles ? interventions suivies d’un débat avec la salle puis d’une pause. 11h30 : table ronde suivie d’un débat avec la participation du CLIC d’Angers, d’Unis Cité Maine et Loire et des témoignages d’hébergeurs et d’hébergés de l’association Le temps pour toiT. 12h30 : conclusions et perspectives La matinée sera ponctuée par les interventions illustratives de la compagnie Myrtil d’Angers qui donnera une suite au portrait de duo commencé lors du premier colloque en 2011… Pour vous inscrire cliquez ici Like this: J'aime chargement…

L’habitat participatif, qu’est-ce que c’est ? Qui veut participer à des projets d'habitat participatif ? L’habitat participatif n’est pas une utopie. Il en existe des spécimens. Deux projets sont enregistrés à Tours. Est-ce pour autant que ce mode de vie va se généraliser ? Habitat groupé, habitat partagé, habitat auto-construit, éventuellement auto-géré. Deux projets à Tours Il se trouve que la ville de Tours a enregistré deux projets d’habitat participatif, comme le signale Alain Devineau, adjoint au maire délégué à l’urbanisme et au patrimoine. Mais éco-quartier ne rime pas forcément avec habitat participatif. Il est difficile de repérer tous les projets d’habitat participatif en France, et donc en région Centre, car ils peuvent être publics et privés, malgré le travail de recensement et de cartographie entrepris notamment par François Desrues, membre de la coordination nationale de l’habitat participatif, auteur d’un « livre blanc sur l’habitat participatif ». Les pouvoirs publics peuvent avoir un rôle déterminant Lundi 12 mars, salle des mariages à la mairie de Tours. Un risque caché ?

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