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Du Web aux wikis : une histoire des outils collaboratifs

Du Web aux wikis : une histoire des outils collaboratifs
Les outils collaboratifs répondent aux besoins des utilisateurs de travailler en groupe, par exemple, faciliter l'écriture collaborative de documents. Nés de la croisée de technologies indépendantes (messagerie, forum, workflow...), ils ont permis de mutualiser les ressources. C'est ce qui explique pourquoi ils se sont progressivement généralisés auprès des utilisateurs. Les applications à but collaboratif sont à peu près aussi anciennes que l’Internet et indissociables de l'idée de communauté. Dès 1968, Joseph Carl Robnett Licklider et Robert W. Taylor, deux des fondateurs d’Arpanet — le prédecesseur d'Internet —, pressentent l’apparition des communautés qu'ils définissent alors comme des communautés de partage d’intérêt par opposition aux communautés de proximité géographique classiques. 1. L'histoire des outils collaboratifs commence avec la « libéralisation » de l’Internet vers la fin des années 80. Les moyens de collaborer sur le Web Toutefois, de nombreux défauts persistent. 2.

OpenOffice.org est mort !!! Vive LibreOffice !!! Par Fred T le Oracle, le propriétaire de la marque OpenOffice.Org développera une nouvelle suite bureautique, Cloud Office, exclusivement propriétaire. Comme on pouvait le craindre, le schisme est donc consommé entre la communauté de développeurs et Oracle. Le projet libre continuera sous un autre nom LibreOffice 3. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour le monde du libre, le développement d’OpenOffice a beaucoup de retard par rapport à Microsoft Office (ergonomie) et l’avenir de cette suite pourtant pleine de promesses s’assombrit d’un coup d’un seul ! Pour le grand public, ce changement impromptu n’est vraiment pas de nature à favoriser l’adoption du libre !!!! Le nouveau projet peut être suivi à ce jour il n’y a aucune version internationale. via Developpez.com et Clubic Like this: J'aime chargement…

Petite Poucette : la douteuse fable de Michel Serres Philippe Lévy - Sainte Marie aux mines (2007) Depuis un an, le petit livre de M. Serres, Petite poucette[1], fait partie des essais les plus vendus en librairie et les plus relayés dans les medias, où son auteur est très régulièrement invité. Dans cet opuscule, issu d’un discours prononcé à l’Académie française, Serres porte un regard résolument optimiste sur le monde numérique et sur les nouvelles générations qui le portent – les petit(e)s poucet(te)s du titre -, promises selon l’auteur à une libération sans précédent, cognitive et politique, grâce aux vertus d’un monde numérisé et librement connecté. C’est bien une sorte de conte, une histoire fabuleuse, comme le suggère le titre du livre, que Michel Serres nous propose, et c’est ce qui rend tout d’abord ce petit livre sympathique et enthousiasmant, et explique sans doute son succès : on aimerait y croire, alors que tant d’autres essais et débats ne cessent de nous annoncer au contraire le déclin, la catastrophe, la crise, etc. [2]A.

untitled Usages et mode de navigation 75% d'entre vous vont une à plusieurs fois par jour sur Internet un quart des Collégiens interrogés passe plus de 2h par jour sur internet les jours d'école; ce taux grimpe à 66% le week-end et pendant les vacances (dont 30% qui y passent plus de 4h). Réseaux sociaux, présence sur internet et contrôle parental Expériences désagréables vécues sur Internet plus de la moitié des Collégiens a reçu des messages publicitaires (spams) par mail non désirés (56%), et a été soumis à des publicités et à l’ouverture de fenêtres (pop-up) non sollicitées (53%) un peu plus d'un tiers est déjà tombé sur un site avec du contenu ‘adulte’ sans l’intention d’y aller (39%) un pourcentage non négligeable d'entre vous a vu une photo choquante d’un(e) ami(e) (21%), une photo de lui-même affichée sans son accord (21%) ou un commentaire à son sujet qui était insultant (15%) Vos réprésentations du web Vos productions et compétences techniques Différences de pratiques selon le sexe?

Le CNNum et l'école: "L'école numérique n'est pas l'école des tablettes" Le Conseil national du numérique (CNNum) a rendu public ce vendredi Jules Ferry 3.0, le rapport du groupe de travail sur l'école de demain, "créative et juste". Sophie Pène, qui l'a "piloté", et Ludovic Blecher, l'un des ses membres et directeur du Fonds pour l'Innovation Numérique de la Presse Google, s'expliquent sur son contenu. Et taclent en passant François Hollande: des tablettes pour tous, oui, mais pourquoi faire? Pourquoi le Conseil national du numérique s'intéresse-t-il à l'école? Ludovic Blecher: Le conseil s'est auto-saisi parce que c'est son rôle de porter un regard, des idées, de proposer, de se pencher sur ces questions. Votre rapport dépasse largement les seules questions d'apprentissage des langages informatiques ou de l'équipement des écoles... LB: Quand on parle numérique, la plupart des gens voient un ordinateur. Sophie Pène: L'école numérique n'est pas une école des tablettes, c'est l'école des nouveaux rapports sociaux, et notamment d'une société en réseau.

Folksonomies Le terme de folksonomie est apparu récemment sur le web pour désigner le phénomène d’indexation des documents numériques par l’usager. On rencontre également fréquemment le mot tag qui désigne en quelque sorte un mot-clé. Le terme de folknologie est aussi employé, mais plus rarement. L’usage du mot folksonomie semble donc plus opportun. L’architecte de l’information Thomas Vander Wal a forgé ce terme en combinant la taxinomie (règles de classification, taxonomy en anglais) et les usagers (folk). Ce phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur avec l’avènement des nouvelles technologies du web, dites « web 2.0 », qui donnent plus de possibilités d’expression à l’internaute. Le phénomène est-il durable ou n’est-ce qu’un effet de mode ? Caractéristiques Les folksonomies constituent la possibilité pour l’usager d’indexer des documents afin qu’il puisse plus aisément les retrouver grâce à un système de mots-clés. L’ouverture d’esprit caractérise la folksonomie, comme le web 2.0. Conclusion

Les avantages pédagogiques de la tablette numérique | La Tablette Numérique à l'Ecole Malgré l’apparition extrêmement récente de ce nouvel outil, il existe déjà un bon nombre d’expériences, à travers le monde, qui tentent de montrer que la tablette numérique est tout à fait à sa place au sein d’une salle de classe. Comme nous l’avons vu précédemment, la tablette présente un ensemble d’éléments qui jouent en sa faveur et qui permettent de faciliter son entrée dans le monde scolaire. Le fait est que cet outil ne vise pas que les étudiants mais aussi les plus jeunes. Dès l’école élémentaire, cet instrument offre une multitude de possibilités de créer un nouveau contexte dans la relation enseignement-apprentissage. S’ils existent tant d’enseignants qui acceptent volontiers de jouer les cobayes, c’est qu’évidemment, ils y trouvent leur compte. La tablette a des atouts pédagogiques qu’il est difficile de nier. Bien que cela reste encore très nouveau, de nombreux témoignages attestent des bienfaits de la tablette dans leur classe, tant pour les élèves que pour les enseignants.

Site de formation de Céline Dunoyer - Ecrire avec les Tice - Outils d'écriture collaborative Ecrire de façon collaborative Des comptes rendus d'usages De l'intérêt d'Etherpad (l'ancêtre de Framapad) pour écrire ensemble : Traduire avec un logiciel d'écriture collaborative: Un exemple de travail filmé autour de la comparaison entre les Ménines de Vélasquez et de Picasso (les vidéos sont en bas; regardez bien, le prof intervient pendant la discussion) Contribuer à un projet en cours avec la technologie du wiki Vikidia: C'est une sorte de Wikipédia mais pour pré-ados (8-13 ans): intéressant pour nous afin de motiver les travaux de recherche documentaires et les travaux de réécriture qui s'ensuivent... notamment parce qu'on a là un horizon de public très sérieux et très motivant. Dans les deux cas, comme pour Wikipédia, les enfants sont invités à écrire eux-mêmes l’encyclopédie. .

ATAWAD : risques et opportunités Brève (Intelligence Economique) Les TIC et le numérique impactent notre vie quotidienne dans sa dimension privée mais aussi professionnelle. Le travail et le monde de l'entreprise en général sont eux aussi touchés, avec de nouvelles pratiques comme l'ATAWAD pour Any Time, Any Where et Any Device. Cet acronyme désigne la possibilité de se connecter au système d'information de son entreprise à n'importe quel moment (Any Time), de n'importe quel endroit, qu'on soit connecté à un réseau sans fil ou non (Any Where) et quel que soit le matériel utilisé, de l'ordinateur à la tablette (Any Device). Bien que ces avancées technologiques regorgent d'opportunités pour l'entreprise notamment en terme de productivité, les risques concernant plus particulièrement la sécurité des systèmes d'information sont non négligeables (fuite d'information, failles techniques, etc.).

Generationcyb.net "Mobiquité" ou "ATAWADAC" ? - Auto Net ATAWADAC (où ATAWAD en version courte ..), c’est un très vilain acronyme qui vient se rajouter à la liste des historiques URL, HTTP, HTML et des plus récents WYSIWYG (What You See Is What You Get, ce qui illustre que ce que vous voyez est ce que vous obtiendrez. Ainsi, le document affiché à l’écran est censé correspondre au document final, imprimé ou envoyé), et SoLoMo (Social, Local, Mobile) dont je vous parlais ici récemment. Si j’ai choisi d’évoquer celui-ci aujourd’hui c’est parce qu’il apparaît de plus en plus souvent dans des blogs spécialisés et sur des pages techniques de sites ou de compte rendus de conférences Internet. Une autre bonne raison c’est que son contenu nous concerne. Que signifient les lettres de ATAWADAC : Any Time, Any Where, Any Device, Any Content. Cela est censé décrire comment les mobinautes ont accès à des contenus dans des contextes variables. Dis-le-moi et je l’oublie Montre-le-moi et je le retiens Implique-moi et je comprends

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