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Les blogueuses sont-elles achetées? Les internautes répondent

Les blogueuses sont-elles achetées? Les internautes répondent
Depuis cinq ans, l'influence des blogs de mode ne cesse de croître. Très intéressées par ce nouveau pouvoir de prescription, les marques tissent des liens de plus en plus étroits avec leurs auteurs, n'hésitant plus à les inviter à leurs défilés, à leur envoyer des produits ou à leur demander des billets sponsorisés via des agences. Déroutés, les internautes ont de plus en plus de mal à distinguer les authentiques coups de cœur des blogueuses de la publicité déguisée. Perte de fraîcheur "Je préférais nettement la blogosphère du temps où les filles se prenaient en photo dans leur miroir et bidouillaient des looks avec trois fois rien" écrit Claire Poipoi, résumant ainsi le ras-le-bol de nombreuses lectrices de blogs féminins. Dès lors, plusieurs décrochent, comme Valérie S, qui a décidé de ne plus lire certains blogs "très connus parce qu'ils n'avaient plus la fraîcheur de leurs débuts. Personne n'est dupe Haro sur les billets sponsorisés Transparence et cohérence Amalgame

Quand les blogs de mode se font piller par les grandes marques | Rue89 Eco Le T-shirt de Zara et la photo de Betty qui l’a inspirée (DR) Betty, blogueuse, l’a vite remarqué : la marque Zara a imprimé une de ses photos sur un T-shirt... sans lui demander son autorisation. Les enseignes de vêtements ont pris l’habitude de puiser des idées dans les blogs de mode. Le 22 mai, une amie ramène à Betty Autier un T-shirt Zara acheté en d’Asie. Sur son site, elle s’empresse de déclarer : « Zara, nous avons un problème ! « Violation des droits à l’image » Pourtant, Pierre Lautier, avocat spécialisé dans les droits à l’image et droit d’auteur, pense qu’un procès pourrait être profitable à la jeune femme : « Il y a, apparemment, une violation des droits à l’image. Toute personne représentée sur un objet doit donc d’abord donner son accord. « Il y a d’abord contrefaçon du travail du photographe [ici, son petit ami, ndlr], une atteinte à ses droits qui passe par la reproduction de l’objet. « Ils ont parié sur le fait que la blogueuse ne poursuivrait pas » Sa seule erreur ?

Influence des blogueurs de mode on Strikingly To blog or not to blog: La place des blogues dans l’industrie de la mode | Ma vision du web social Aujourd’hui, le commun des mortels peut devenir un influenceur dans son domaine par le simple fait de tenir un blogue qui intéresse, qui ose, qui est à l’affût des tendances et qui se démarque auprès d’un nombre suffisant d’individus pour être considéré comme crédible. Le domaine de la mode est certainement l’un des plus touchés par ce phénomène, domaine explicitement destiné aux publics qui a comme raison d’être d’attirer l’attention et de susciter l’adhésion. Bien qu’il y ait encore une forte présence des spécialistes, chroniqueurs et journalistes affiliés aux grands titres (Vogue, Elle, etc.), les blogueurs ont sans contredit fait leur place aux premiers rangs des défilés et tendances. Bien que les blogueurs aient commencé leur ascension dans l’industrie de la mode depuis quelques années déjà, la tendance est loin de s’essouffler! Like this: J'aime chargement…

6 Reasons Why Influencer Marketing is a Dying Niche Influencer marketing is now at an all time high, a quick Google Trends search shows an extremely high volume the search volume, so much so that a lot of companies (who’ve already taken the plunge and embraced it) are starting to realize this one important fact: “This shit doesn’t work!” Influencer Marketing is based on the idea that you can borrow or rent or “leverage”(are we still using that word?) someone’s version of what’s trending or “cool” for a price. For starters: 1) There’s No Guarantee Of Any ROI In WWD magazine, Jennifer Powell, head of Next Model Management’s influencer division mentioned how “at this stage of the game, the campaigns are mostly successful.” What does it take to be an influencer? The truth is that you cannot put a numerical value on anyone in the internet age, unless they have been proven to create those sought after conversions, even without being paid, but I’ll get into that a little later… 2) Digital Influencers are Becoming Really Expensive Sound far-fetched?

Influence en ligne : Petit florilège (non exhaustif) des dérives et des précautions à intégrer Jetez en pâture le vocable « influenceur » dans un débat entre communicants, médias et marketeurs et vous pouvez être certains de faire aussitôt dresser des sourcils attentifs. A l’heure où les réseaux sociaux sont accusés de tous bords d’avoir biaisé l’élection présidentielle américaine à coups de bots et de trolls en ligne, la bataille de l’influence digitale s’est imposée comme une obsession pour nombre d’acteurs. Qu’ils s’agissent de marques, de dirigeants ou d’entreprises ayant besoin de reprendre pied au sein de leurs communautés ou d’experts et consultants plus ou moins oiseux à l’affût d’un juteux filon business, contenus et métriques sont regardés comme des leviers fascinants pour qui veut incurver le pouls de l’opinion publique. Masarah Paquet-Clouston est chercheuse en criminologie à l’université de Montréal. Des résultats époustouflants … et inquiétants Les résultats mis en exergue par l’équipe de recherche canadienne ont de quoi donner le vertige. Qui, pourquoi et comment ?

The micro-influencer bubble is about to burst Micro-influencers are having a moment in the spotlight, as focus shifts from big-name (and big-cost) social media influencers. A recent survey of 2,500 micro-influencers by Bloglovin’ found 84 percent of small-scale influencers charge under $250 for a branded post on Instagram. By contrast, the same post would set brands back $75,000 on an Instagram channel with an audience in the low millions. And with engagement floundering among higher follower counts, brands like Nestlé and Neutrogena have been wooed with the prospect of reaching a more engaged audience for less money. But not everyone agrees that good things come in small packages. Advertisement Excerpts lightly edited for clarity. How do you define a micro-influencer? Isn’t the idea that it’s more authentic? Lots of companies tout micro-influencers as effective. Where do you see this headed? You mentioned bad content. Do brands still care about follower counts? What should they focus on instead? Related

Why Fake Followers On Instagram Are A HUGE Problem. Subscribe to our industry digest for the latest news and trends on top Instagrammers, YouTubers, bloggers, & Snapchatters! Partnering with top Instagrammers is one of the best ways brands can increase visibility and gain access to large and/or untapped audiences. However, a new trend of social media stars purchasing fake followers on Instagram to make their accounts seem more popular or influential than they actually are (i.e. manipulating their "vanity metrics" to exaggerate how many people will actually see their posts and/or the sponsored content they publish) is becoming a big problem for brands. To ensure campaign success and help companies avoid falling victim to this scourge of fraudulent fans, we've outlined everything brands need to know about fake followers on Instagram, including how to identify them and steps businesses can take to find the right social media influencer for their Instagram marketing collaborations. Marketing On Instagram With Top Influencers

How To Spot Fake Followers on Instagram Subscribe to our industry digest for the latest news and trends on top Instagrammers, YouTubers, bloggers, & Snapchatters! Instagram's massive network of over 400 million engaged users makes it an ideal platform for brand sponsorship opportunities and digital influencer partnerships. As investing in influencer marketing continues to surge, however, some digital stars are purchasing fake followers on Instagram to artificially inflate their perceived reach and boost their appeal to companies. According to recent findings by a group of Italian security researchers, as many as 8% of Instagram accounts are fake ("spam-bots" to use industry jargon), while up to 30% of Instagram accounts may actually be inactive. These findings raise pressing questions for marketers, chief among them: Are my Instagram marketing efforts reaching real customers or spam-bots, and how can I differentiate between fake followers on Instagram and real ones? What Are Fake Instagram Followers? Also See Our Posts On:

Influencers Are People, Not Media Outlets | DigitalNext - AdAge Twelve years ago I started an influencer agency. I was told I was out of my mind. Leaving a lucrative on-camera position at MTV to move behind-the-scenes seemed mad to most. To me, it was the opportunity of a lifetime. It was abundantly clear that, in a rapidly splintering communications ecosystem, marketers were going to need to wield the power of alpha-consumers if they wanted their messages to resonate. Brands would no longer influence people, people would. It took about a decade, but influencer marketing has finally graduated to the big leagues -- endorsed from the CPG industry to automotive, from tremendous PR shops to historically digital agencies, from the streets to corporate boardrooms and everywhere in between. And this is bad for brands, consumers and influencers alike. Earlier this summer, two media and PR behemoths announced a new joint venture designed to ignite "global influencer and brand partnerships that are authentic, measurable and built for long-term engagement."

Égocasting et influenceuratis : Des tendances fortes chez la génération Y Par Raymond Morin (Publié en avril 2016) Au début avril, j’ai participé à différentes activités organisées dans le cadre de la Semaine du Numérique de la Ville de Québec. J’ai fais une présentation – éclair au Webinaire International de l’Observatoire des médias sociaux en relations publiques (OMSRP) de l’Université Laval, et j’ai couvert la 5ième édition de l’événement Web à Québec (WAQ) pour Isarta Infos. La notion d’¨influenceuratis¨ et l’illusion de la majorité Durant ma propre présentation au Webinaire de l’OMSRP, je me suis appuyé sur différentes recherches (Augure, Edelman) et quelques exemples de cas en entreprise, pour dresser le portrait actuel des relations avec les influenceurs, et soulever quelques défis qui attendent les dirigeants. J’y ai notamment fais mention de l’émergence de nouveaux ¨influenceuratis¨ des médias sociaux, qui sont devenus les nouvelles célébrités des plateformes de partages comme YouTube, Instagram et Snapchat. Qu’en pensez-vous ?

Mon blog mode, mon empire Souvenez-vous. Au milieu des années 2000, les mots Instagram ou Snapchat ne faisaient pas encore partie de notre vocabulaire. Les Smartphone n’étaient pas une extension de nous-mêmes, et les blogs mode étaient perçus comme un hobby innocent créé par une poignée de filles bien sapées. Un journal intime du style, ouvert à tous et sans prétentions mercantiles. En une courte décennie, la donne a bien changé, et ces filles partageant leur quotidien ont, pour la plupart, fait de leur passion une activité professionnelle avec statuts d’entreprise, salariés et pause-café. « Certaines ont progressivement transformé leur blog en un média à part entière, à l’image de Leandra Medine de Man Repeller, ou ont monté leur agence de contenus, à l’instar de Garance Doré », explique Éric Briones, pionnier français avec son blog Darkplanneur et coauteur du livre « Luxe et Digital » (éd. Dunod). Mais alors quid du contrat de lecture axé sur l’intime et la confidence ? La suite ?

Influenceur tu ne m’influences plus L‘influence est un terme utilisé à tort et à travers sur les réseaux. On l’utilise pour des classements d’influence qui n’ont pas de réelle valeur, sauf pour celui qui est dedans ou pour citer des blogueurs dans des stratégies RP 2.0. Quelles sont les limites de l’influence ? Effet de mode, tentative de manipulation de masse ? L’influence entre besoin d’existence et d’estime Pouvons-nous vraiment parler d’influence aujourd’hui sur les réseaux ? C’est une question que je me pose depuis quelques temps déjà avec l’envie d’écrire cet article, comme une réflexion et non un jugement arrêté. Sur les Internets, le terme « d’influenceur 2.0 » est arrivé en même temps que les réseaux sociaux. Cette influence était massive et vraie. Avec les réseaux sociaux, l’influence communautaire s’est transformée en une influence d’égo, je m’explique. Auparavant les communautés étaient constituées de pseudonymes. Le premier concerné est l’appartenance : je dois appartenir à un groupe pour exister à travers lui.

Vers une nouvelle mesure de l'influence sur Twitter Avec plus de 300 millions d’utilisateurs, Twitter est l’un des plus importants réseaux sociaux au monde. 500 millions de tweets de 140 caractères y sont échangés tous les jours. Twitter puise sa force dans la puissance des interactions entre ses membres. Deux grands types d’interactions y sont d’ailleurs possibles : suivre un compte et retweeter / mentionner. Nombreux sont les utilisateurs qui aspirent à être influents sur Twitter. Le Larousse définit l’influence comme “l’ascendant d’un individu sur d’autres individus” ou encore le “Pouvoir social (…) de quelqu’un, d’un groupe, qui leur permet d’agir sur le cours des événements, des décisions prises, peu importe leur nombre”. Certains outils proposent à l’heure actuelle de mesurer l’influence sur Twitter : Klout, Kred, Tweet Grader ou encore Twitalyzer fournissent un score d’influence après analyse du compte Twitter d’une personne. Pour étayer ces études, Dugué, Perez (Université d’Orléans) et Danisch (Univ. Pourquoi ? Comment ?

The model who quit Instagram explains the lies behind her most popular photo

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