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Protection des données personnelles au travail : les bonnes pratiques

Protection des données personnelles au travail : les bonnes pratiques
La protection des données à caractère personnel est devenue un sujet majeur dans les relations sociales sur les lieux de travail. Des outils comme la vidéosurveillance ou la géolocalisation sont largement mis en place. En effet, dans le cadre du recrutement ou de la gestion des carrières, les employeurs utilisent de plus en plus d'applications informatiques. En outre, les dispositifs de contrôle de l'activité des employés liés aux nouvelles technologies se multiplient : contrôle de l'usage d'internet, de la messagerie, géolocalisation, biométrie, vidéosurveillance, etc. Ces dispositifs enregistrent quantité de données personnelles sur les salariés et peuvent parfois porter atteinte à leurs droits ou à leur vie privée. A l'heure du développement de l'utilisation des smartphones, du télétravail et du bring your own device, il est nécessaire de maintenir de maintenir un équilibre entre le contrôle de l'activité des salariés et la protection de la vie privée.

Protection des données personnelles : un député européen ambitieux Le Parlement européen va commencer à examiner aujourd’hui le travail du rapporteur sur le dossier des données informatiques. Jan Philipp Albrecht souhaite un haut niveau de protection, quitte à réveiller les tensions avec les Etats-Unis. « Si vous voulez mes données, demandez mon consentement ! » a lancé le député européen allemand Jan Philipp Albrecht à la presse, mercredi 9 janvier. L’élu vert présentait son travail en tant que rapporteur de la commission des Libertés civiles sur la nouvelle législation en cours d’élaboration sur les données personnelles. En janvier 2012, la Commission européenne a lancé une vaste réforme alors que ces informations sont devenues capitales dans l’économie du web. Données personnelles: Reding redonne la main aux citoyens « Les dérogations aux règles devraient être strictement limitées à ce qui est nécessaire » à déclaré M. Craintes des entreprises A peine sorti, le rapport est déjà sous le feu des critiques de l’industrie numérique. « M.

Identité numérique (Internet) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'identité numérique ou IID (pour Internet Identity en anglais) peut être définie comme un lien technologique entre une entité réelle (personne, organisme ou entreprise) et des entités virtuelles (sa ou ses représentation(s) numériques). Le développement et l’évolution des moyens de communication, au travers notamment de la multiplication des blogs et des réseaux sociaux, changent le rapport de l’individu à autrui. Ainsi, l’identité numérique permet l’identification de l’individu en ligne et la mise en relation de celui-ci avec cet ensemble de communautés virtuelles qu’est Internet. Dès lors, l’identité numérique peut être divisée en trois catégories: Le décalage ou du moins les divergences qui peuvent subsister entre l’identité déclarative et l’identité agissante soulèvent une question majeure. La schématisation du concept de l’identité numérique a été abordée par plusieurs auteurs comme Fred Cavazza ou encore Leafar[2].

Données personnelles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Donnée. Les données personnelles correspondent à toute information relative à une personne physique identifiée ou qui peut être identifiée, directement ou indirectement, par référence à un numéro d'identification ou à un ou plusieurs éléments qui lui sont propres (article 2 de la loi informatique et liberté). Les données personnelles qui permettent l'identification (ou nominatives) correspondent aux noms, prénoms, adresses (physique et électronique), numéro de téléphone, lieu et date de naissance, numéro de sécurité sociale, numéro de carte de paiement, plaque d'immatriculation d'un véhicule, photo, empreinte digitale, ADN, etc. Selon une déclaration du Conseil des ministres du Conseil de l'Europe de 1997, les données personnelles incluent les données médicales et génétiques[1], ainsi que les empreintes digitales et, en général, toute caractéristique biométrique. En France[modifier | modifier le code]

La protection des données personnelles, un atout pour la France et l'Europe ! Car la ressource première de l'économie du numérique ce sont les données produites par des centaines de millions de citoyens et de consommateurs. De ce point de vue l'Europe est une mine, un gisement majeur puisque 10 pays européens figurent au top 20 du Web Index des pays les plus avancés dans leurs usages d'internet. Un gisement de ressources rares, avec un PIB par habitant de l'Union européenne parmi les plus hauts de la planète. Avec 500 millions de consommateurs européens éduqués, disposant des infrastructures et du pouvoir d'achat, l'Europe des données est un eldorado. Ce constat va au-delà de l'internet. Or le client s'inquiète. Cette conviction doit être partagée au moment où s'engage la révision de la directive de 1995 sur les données personnelles. La protection des données personnelles est entrée dans le débat public aujourd'hui ; elle concerne chacun d'entre nous.

Protéger son identité numérique Aujourd'hui, les usurpations d'identité se multiplient, notamment sur les réseaux sociaux, où chacun s'épanche sur soi en texte et en images. Endosser le patronyme d'un autre est devenu un sport assez fréquemment pratiqué, notamment sur les forums, sur Facebook, où foisonnent les Nicolas Sarkozy et autres Steve Jobs, sur eBay, où un voleur se présente comme un vendeur bien noté pour escroquer un acheteur... Et même, un ingénieur marocain de 27 ans s'est fait passer pour le prince Moulay Rachid, frère cadet du roi Mohammed VI, sur Facebook. Il a été condamné à trois ans de prison le 22 février 2008. Aujourd'hui, comment l'internaute utilisateur de multiples applications et services web qui demandent un login et un mot de passe, peut-il gérer ses identités, parfois multiples, sans être victime d'une usurpation d'identité ? Le projet OpenID Un nom revient souvent dès que l'on aborde la question de l'identité numérique : OpenID. À savoir Le projet Liberty Alliance MyID.is ClaimID Trufina MyOpenID

Extrait, Jugement, Tribunal correctionnel - L'«affaire Visionex» intrigue la justice Mais le 7 avril dernier, les juges du tribunal correctionnel de Carcassonne ont découvert le curieux et très épais dossier Visionex, du nom de bornes d'accès à Internet implantées dans quelque 700 bars-tabacs. [...] INNOCENT ou COUPABLE, pour l'instant, lire extrait du jugement Visionex Tribunal Correctionnel de Carcarssonne 07/04/2010 ci-après. [...] tous les prévenus renvoyés devant le tribunal correctionnel sont d'honnêtes commerçants ou gérant de société qui ont été convaincu au regard de ces courriers administratifs et de toute la documentation technique l'accompagnant de la légalité de cette machine. [...] Chirac : la justice se prononce aujourd'hui Le tribunal correctionnel de Paris doit rendre ce jeudi matin son jugement dans l'affaire dite des emplois fictifs de la Ville de Paris. [...] 000 ¬ d'amende, bien que le parquet ait requis la relaxe.

Protection des données personnelles au travail : les bonnes pratiques La protection des données à caractère personnel est devenue un sujet majeur dans les relations sociales sur les lieux de travail. Des outils comme la vidéosurveillance ou la géolocalisation sont largement mis en place. En effet, dans le cadre du recrutement ou de la gestion des carrières, les employeurs utilisent de plus en plus d'applications informatiques. En outre, les dispositifs de contrôle de l'activité des employés liés aux nouvelles technologies se multiplient : contrôle de l'usage d'internet, de la messagerie, géolocalisation, biométrie, vidéosurveillance, etc. Ces dispositifs enregistrent quantité de données personnelles sur les salariés et peuvent parfois porter atteinte à leurs droits ou à leur vie privée. A l'heure du développement de l'utilisation des smartphones, du télétravail et du bring your own device, il est nécessaire de maintenir de maintenir un équilibre entre le contrôle de l'activité des salariés et la protection de la vie privée.

Violation de la protection des données personnelles "Le danger d'une surveillance permanente des citoyens s'accroît", affirme l'Association des commissaires suisses à la protection des données (Privatim) dans une prise de position publiée lundi. Avec l'interconnexion croissante entre les diverses administrations et autorités (cyberadministration ou cybersanté), les possibilités techniques de regrouper des informations et des données peuvent permettre à l'administration de créer de véritables profils de la personnalité. Cela peut conduire à vider de son sens le droit constitutionnel à l'autodétermination informationnelle. Les préposés dépassés Les préposés cantonaux et communaux à la protection des données sont confrontés aujourd'hui déjà à des projets toujours plus complexes, qu'ils ne peuvent accompagner de manière satisfaisante et contrôler quant à leur conformité à la loi, affirme Privatim. Les droits des citoyens remis en question sipa/hend

Sécurité informatique La sécurité informatique est un domaine qui relie diverses techniques, applications et dispositifs en charge d’assurer l’intégrité et la confidentialité de l’information d’un système informatique et de ses utilisateurs. Place dans l'entreprise Aujourd’hui, l’entreprise peut mettre en œuvre des mesures de sécurité afin de réduire les risques d’attaque et d’intrusion.- Sécurité par rapport à la menaceIl existe deux types de sécurité dépendant de la nature de la menace : Sécurité logique : des logiciels de sécurité, des outils informatiques, etc.Sécurité physique : maintenance électrique, anti-incendie, humidité, etc. - Menaces à un système informatiqueLes menaces peuvent être liées soit à la sécurité d’un système informatique soit à celle d’un individu : Malware : des logiciels tels que des virus, trojans, Worms, le phishing, le spamming, etc. Les applications de l'IE - Organiser la recherche d'information et en connaître les limites - Anticiper et gérer les risques informatiques :

Données personnelles: l'Europe va prendre des sanctions contre Google Les 27 autorités européennes de protection des données sont favorables à une "action répressive" à l'encontre du géant Google, qui n'a apporté "aucune réponse" à leur sommation de modifier ses règles de confidentialité, a annoncé lundi la Cnil française. En octobre dernier, les 27 autorités avaient donné 4 mois à Google pour "prendre des mesures effectives et publiques pour se mettre en conformité rapidement" avec la Directive européenne Informatique et Libertés, qui vise à protéger le droit à la vie privée, lui demandant notamment des règles plus claires pour l'utilisateur. "Google n'a pas apporté de réponse précise et opérationnelle" "A l'expiration du délai accordé à Google pour se mettre en conformité et s'engager sur la mise en oeuvre de ces recommandations, aucune réponse n'a été apportée par la société", indique dans son communiqué la Commission nationale de l'informatique et des libertés. Un groupe de travail européen pour coordonner la riposte Google affirme respecter la loi

Protection des données : un projet de réforme européen déjà dépassée par les usages À l'ère numérique, la collecte et la conservation d'informations à caractère personnel sont devenues essentielles. Ces données sont utilisées par toutes les entreprises, et leur transfert, souvent entre différents pays, est devenu un acte quotidien. Il n'existe aucune frontière "en ligne". De plus, le Cloud computing est passé par là. Aujourd’hui, des données peuvent être saisies à Berlin, puis traitées à Boston et stockées à Bangalore. La technologie change et évolue bien trop vite pour être encadrée dans les limites strictes de la loi. Les règles européennes en la matière visent à garantir le droit à la protection des informations personnelles, tout en assurant la libre circulation de ces données. Pour rester conformes à la réglementation, les entreprises doivent se pencher sur la cause principale de pertes de données – et s’organiser pour assurer et conserver le contrôle de ces dernières - en particulier quand il s'agit d'applications déployées dans le Cloud.

Juridictions pénales Les juridictions pénales, tribunaux et cours, sont compétentes pour juger et sanctionner les auteurs d'une infraction (crimes, délits, contraventions), c'est-à-dire, ceux qui commettent une action ou ont un comportement interdit par la loi pénale comme infraction au Code de la route, vol, escroquerie, meurtre, etc. Elles examinent les demandes de réparation des victimes. Le tribunal compétent dépend de la gravité de l'infraction: légère (tribunal de police), grave (tribunal correctionnel) ou très grave (la Cour d'assise). Le juge d'instruction, selon la gravité, dirige les enquêtes. Si des mineurs sont en cause, alors le juge pour enfant , au sein du tribunal pour enfants (voire Cour d'assise des mineurs) est compétent. Des juridictions spéciales sont prévues pour le Chef de l'Etat (la Haute Cour de justice) et les membres du Gouvernement (la Cour de justice de la République). Le Tribunal de police est compétent pour juger de certaines contraventions.

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