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Accueil - Bio cohérence

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Florissante industrie de l’agriculture biologique, par Philippe Baqué « Les écolos et les soixante-huitards ont laissé la place aux professionnels ! » Ainsi s’exprimait en juin 2009 un technicien de la coopérative Terres du Sud qui, dans le Lot-et-Garonne, organisait une journée « découverte » dans des élevages intensifs de… poulets biologiques. Les performances des installations livrées clés en main par la coopérative, les crédits et les aides publiques proposés étaient censés convertir les agriculteurs invités. En effet, pour approvisionner la grande distribution et la restauration collective. les puissantes coopératives agricoles, liées aux grandes firmes de l’industrie agroalimentaire, se livrent désormais une concurrence farouche dans l’élevage de ces poulets au-dessus de tout soupçon. Ces coopératives ont compris qu’elles pouvaient gagner beaucoup d’argent avec un type d’agriculture qu’elles ont longtemps dénigré. Toutefois, en 2009, malgré la progression des conversions, (...) Taille de l’article complet : 3 396 mots. Vous êtes abonné(e) ?

Label Demeter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La marque Demeter est une marque de certification de produits issus de l'agriculture biodynamique, selon les enseignements de Rudolf Steiner. Les produits Demeter respectent le cahier des charges du règlement européen sur l'agriculture biologique. Historique[modifier | modifier le code] Un sachet marqué par le label Demeter L´origine de Demeter est une coopérative de transformation pour les produits de l´agriculture biodynamique, fondée en septembre 1927 à Berlin. Suite à la liquidation de la Coopérative de transformation Demeter en 1930, on créa en 1932 l'Union économique Demeter qui avait son siège à Bad Saarow près de Berlin[1]. L'Union Demeter achetait aussi des céréales qu'elle faisait transformer par des moulins et des boulangeries et assurait la distribution aux représentations régionales qui les distribuaient aux magasins de diététique. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Label Rouge L’industrialisation du bio Avec un chiffre d’affaires qui a augmenté de 19% en 2009 pour les produits bio, le secteur a le vent en poupe. Longtemps délaissé par les supermarchés et les industriels car considéré comme marginal, le bio est devenu pour eux incontournable. Le problème est que nous sommes face à une industrialisation du bio. Il faut, à la manière des produits conventionnels, plaire au plus grand nombre en créant des produits aseptisés, bien emballés, au goût passe partout. La grande distribution ne se tourne pas vers les petits fabricants artisanaux, qui ne peuvent fournir assez de denrées et à un prix plancher, mais vers les grands groupes industriels qui se sont accaparés de ce marché juteux. Nous assistons ainsi à une perversion de l’idéologie « bio » d’origine de la petite paysannerie, qui cultivent des variétés anciennes avec des saveurs uniques dans le respect de la terre et de l’environnement. Une taille industrielle Importation : produits hors saison avec moins de goût Une règlementation arrangée

Produits bio Terra Madre : épicerie bio et commerce équitable Bio-Dynamique François Ruffin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ruffin. Biographie[modifier | modifier le code] En 2000, il entre au Centre de formation des journalistes dont il ressort diplômé en juillet 2002. Durant les années 2000, il participe comme reporter à plusieurs émissions radio de Là-bas si j'y suis. Publications[modifier | modifier le code] Livres[modifier | modifier le code] 2003 : Les petits soldats du journalisme (illustrations par Faujour, éditions Les Arènes) qui critique ledit CFJ et plus largement la formation des journalistes. Quelques articles[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Entretiens audio dans Là-bas si j'y suis : Portail de la presse écrite

Saveur Fruitée - Site d'information sur les fruits FPCE Fondée en 1997, la Plate-Forme pour le Commerce Equitable (PFCE) représente et fédère les principaux acteurs du commerce équitable en France. Défendre et promouvoir le commerce équitable sont nos principales missions. Instance de concertation et de mobilisation, la PFCE rassemble plus d’une trentaine d’entreprises et d’associations d’envergure nationale engagées dans le secteur : labels de commerce équitable, fabricants, importateurs, distributeurs, ONGs, mouvements d’éducation populaire, etc. Adhérant aux objectifs globaux du commerce équitable tels que définis par le réseau FINE en 2001, la PFCE a élaboré la Charte du Commerce Equitable qui explicite un ensemble d’engagements impératifs (travailler d’abord avec les producteurs les plus défavorisés, refus du travail forcé ou de l’exploitation des enfants…) et de critères de progrès du commerce équitable (prise de décision démocratique, valorisation des potentiels au niveau local, respect de l’environnement…). Pour en savoir plus :

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