background preloader

L’autosuffisance alimentaire est en marche !

L’autosuffisance alimentaire est en marche !
Comme Leeds, voulez-vous rejoindre le calendrier 2018 de Todmorden ? Oui, vous avez bien lu, la ville de Leeds, du comté du Yorkshire de l’Ouest, dans le nord de l’Angleterre se lance avec ses 700.000 habitants, ils s’engagent tous azimuts pour être autonomes et vont réussir, c’est déjà bien parti comme pour plus de 50 communes en Angleterre. L’autosuffisance alimentaire est en marche ! Toutes les écoles participent, de la maternelle au collège et au lycée, jusqu’à l’université. Cinq ans pour atteindre l’autosuffisance alimentaire, avec les Incroyables Comestibles, c’est aujourd’hui possible. En transformant l’espace public en jardin potager GÉANT et gratuit, la nourriture à partager devient une ressource ABONDANTE alimentée par TOUS et accessible à CHACUN. Avec les INCROYABLES comestibles, si chacun fait un geste, on change la VILLE. Quand tout le monde s’y met, ça change tout. Le lien vers la Parade Festive se trouve ICI. Like this: J'aime chargement…

Quand la "green guerilla" inspire les villes Sur une portion de la rue Ordener du 18e arrondissement de Paris, les fleurs ont fait une soudaine apparition depuis le mois de mai 2013. Autour des arbres, la nature reprend ses droits grâce à l’initiative d’un regroupement de riverains qui a intitulé l’opération "Jardin de la rue extra-Ordener". L’action vise à refleurir la rue de manière bénévole et en dehors de toute autorisation. Paris plus tolérante que New York Ici, on n’agit pas à coup de "bombes végétales", utilisées par les "green guerilleros" dont les premières opérations à New York consistèrent à jeter des ballots de graines et de terre à travers les grillages et à transformer des terrains à l’abandon en jardins communautaires. A Paris, la "green guérilla" a au contraire séduit la municipalité. Un cadre légal aux jardins partagés "A l’époque, nous sommes allés à la rencontre des guerilleros américains. Le Jardin du Ruisseau dans le 18ème arrondissement de Paris fête cette année ses dis ans d'existence.

Produits ménagers toxiques : quelles alternatives ? | Vivre mieux avec moins Les rayons des supermarchés regorgent de produits ménagers de toutes sortes, sensés nous simplifier la vie, en nous permettant d’avoir sans efforts une maison parfaitement propre et parfumée, débarrassée de tous les vilains microbes, un linge plus blanc que blanc, etc. Génial, mais à quel prix ? Les produits ménagers « classiques » Utiliser ces produits n’est pas sans conséquences, sur la planète, mais aussi sur les hommes… Sur la planète d’abord, car ce que nous utilisons est ensuite rejeté dans les eaux usées, qui vont donc finir dans nos nappes phréatiques, cours d’eau, lacs, tout ne pouvant pas être filtré au niveau des stations d’épuration. D’autant plus que les micro-organismes des stations d’épuration sont très efficaces pour dégrader les polluants naturels, mais beaucoup moins contre les produits chimiques. Des produits qui font du bien à la planète ;) Source : Communauté de Communes – Pays de Lunel A lire à ce sujet cet article très instructif : Mais alors on ne nettoie plus ?

Quelles solutions pour changer de modèle agricole ? Dans le dernier article, repris par le site Terra Eco, j'expliquais pourquoi la lutte pour la sauvegarde du modèle agricole actuel était une mauvaise option. Comme promis, voici maintenant quelques pistes pour envisager un système alimentaire plus durable et plus résilient. Un champ de permaculture - source: 3min30.com Les intrants Concernant les consommations d’énergie fossile liées à la fabrication des engrais, les pratiques biologiques semblent parfaitement adaptées puisqu’elles limitent au maximum les intrants de synthèse. Ferme Saute-Mouton à Tigy (45) en polyculture-élevage Le phosphate L’exportation en dehors de la ferme des produits agricoles entraîne un déficit en phosphore de l’ordre de 0,4 kg/ha/an. Il est également possible d’utiliser de la poudre d’os, des arêtes de poisson ou des scories de déphosphoration. Par ailleurs, le phosphore est normalement absorbé par les plantes grâce aux mycorhizes, un champignon qui le solubilise et le rend assimilable. La force mécanique Conclusion

Urine de chat : vinaigre et bicarbonate. Finition. Consommer Durable Le 19/02/13 par Vincent.F Hier, j’ai tenté de traiter mon canapé souillé par de l’urine de chat avec de la terre de Sommières, réputée pour ses pouvoirs absorbants. L’odeur du pipi de chat est très tenace néanmoins, et même si le résultat fut au delà de mes espérances (l’odeur est quasi estompée), on peut encore déceler quelques émanations en s’approchant de l’endroit lourdement ciblé par l’animal… Le vinaigre d’alcool est potentiellement un bon désodorisant. Voici ce que je vais donc tenter, en espérant venir définitivement à bout de cette odeur sur le canapé : mélanger 2 cuillères à soupe de vinaigre blanc à 4 cuillères d’eauappliquer cette solution en frottant avec un torchon/linge propre sur la surface à traitersaupoudrer de bicarbonate de soudelaisser agir plusieurs heures (3 ou 4, minimum) frotter le canapé avec un torchon imbibé de vinaigre et d'eau. Bon à savoir : l'odeur du vinaigre blanc ne restera pas, mais elle n'attirera pas les chats non plus pendant le traitement.

pdf Aliments pour les villes Une tasse à café comestible USA / / Amérique du nord Une bonne tasse de café le matin est un de ces plaisirs simples qui nous mettent de bonne humeur pour le restant de la journée. Maintenant, prolongez le plaisir en mangeant son contenant, après avoir bu son contenu ! Tass à café comestible ©Lavazza Croquez dans votre tasse Un petit café pour démarrer la journée… Quel plaisir ! Cette nouvelle tasse en biscuit comestible est fabriquée à partir d’une pâte légère (mais robuste) plongée dans du sucre pour la rendre imperméable. Jetable mais durable Le café terminé ? De plus, dites bye-bye à la tâche souvent pénible de faire la vaisselle et aidez ainsi à sauver la planète. "La construction des villes durables n'arrivera ni d'en haut, ni d'un coup d'Etat" Youphil.com: quelle serait votre définition de la ville durable? Riel Miller: Je pense qu’une ville durable est un écosystème capable d’évoluer grâce à une volonté forte. Mais être "durable" ne signifie pas être "stable" et que tout soit plannifié sur le long terme. Ma conviction est qu’il faut s’interroger sur la notion de "durable". Au niveau international, cette interrogation existe, comme a pu le montrer la conférence internationale Rio+20 en septembre 2012. A quoi ressemblera la ville du futur, en 2050? C’est une réaction peu commune pour un prospectiviste, mais je n’en ai pas la moindre idée! Également, les banlieues sont apparues et le nombre de bidonvilles a diminué dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Quelles sont les conditions (ou obstacles) au développement des villes durables? Il faut être très prudent et ne pas avoir une approche colonisatrice du futur. Cela se joue sur deux échelles différentes.

Peut-on anticiper une crise alimentaire? "Aucune pénurie alimentaire ne tombe du ciel. Au contraire, elles mettent des mois à s'installer". Tel est le constat que dresse Sylvie Brunel*, géographe, économiste et spécialiste des questions de développement. Alors que 13 millions de personnes souffrent, selon les chiffres officiels, de la famine dans la Corne de l'Afrique, des milliers de vie auraient pu être épargnées d'après les acteurs de l'aide. En effet, en octobre 2010, les ONG ont envoyé des signaux d'alerte, en raison de mauvaises saisons des pluies consécutives et ont anticipé le risque de sécheresse qui allait frapper la région quelques mois plus tard. Or, malgré les appels récurrents des ONG et de l'ONU, les gouvernements, mais également les médias, ont tardé à réagir et ont préféré ignorer les signes annonciateurs. Les indicateurs Actuellement, grâce à de nombreux indicateurs, les organisations humanitaires ont la capacité de prévoir une crise alimentaire et d'anticiper les risques de précipitations et de sécheresse.

How do we organise to create a new local economy? You are here: Home » News & Blogs » How do we organise to create a new local economy? One of the biggest challenges to human beings living sustainably on the planet is not so much about the technology or lack of resources- its more about how we can work together and organise ourselves to respond to the collective challenges we face. So many of the challenges of today require us to work things out together to find a shared response- in groups, teams, organisations, communities, nations…. And that’s fine working in groups, teams or organisations- except that they are full of people! So many social change groups and organisations who try and do things like create a more sustainable, resilient and equitable local economic system come up against the challenges of working together. But this is very often paid little attention, as people are so keen to just get on with it. It was Winston Churchill who said ‘”Democracy is the worst form of government, except for all the others”.

Related: