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Bio et hyperproductive : la ferme magique d'un agriculteur québécois

Bio et hyperproductive : la ferme magique d'un agriculteur québécois
Jardinier-maraîcher ? Fermier de familles ? Jean-Martin Fortier lui même a du mal à qualifier son métier. Ce canadien de 35 ans exploite depuis 2005 la ferme des Jardins de la Grelinette, à Saint-Armand, à quelques kilomètres de Montréal, au Québec. Sa ferme est une micro-ferme. Elle mesure moins d’un hectare, loin de la taille moyenne d’une exploitation française qui est de 55 hectares. Avec sa compagne, ils appliquent des techniques découvertes en voyageant et travaillant dans des fermes notamment au Nouveau-Mexique et à Cuba. Terra eco : Pourquoi avez-vous souhaité travailler sur une très petite surface, ce que personne n’avait jamais fait au Québec ? Jean-Martin Fortier : Nous souhaitions démarrer notre production, mais nous n’avions pas les moyens d’investir beaucoup. Pouvez-vous résumer votre méthode de production, que vous appelez bio-intensive ? Puisque nous travaillons sur une petite surface, il nous a fallu intensifier au maximum notre production. Tout à fait.

Le jardinier-maraîcher. Manuel d'agriculture biologique sur petite surface L’agriculture biologique est un enjeu majeur pour notre santé et notre environnement. Mais cette agriculture est-elle viable ? Est-il possible de vivre de sa production de légumes biologiques en cultivant de manière artisanale une superficie d’un hectare ou moins? Jean-Martin Fortier, qui exploite depuis une dizaine d’années une microferme en Estrie, en fait la démonstration avec brio. Dans ce manuel de maraîchage biologique, il partage avec beaucoup de générosité et de transparence les principes, méthodes et astuces qui ont fait le succès de ses cultures et la rentabilité de son entreprise agricole. Véritable mine d’informations pratiques, cet ouvrage s’adresse autant au jardinier amateur qu’à une personne qui souhaiterait se lancer en agriculture écologique de proximité. En choisissant de nourrir les communautés locales avec des aliments sains, l’agriculture biologique sur petite surface incarne à merveille l’économie post-capitaliste qui pointe à l’horizon. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Les Principes de la Permaculture en Français L’agriculture urbaine boostée par le numérique « Les agriculteurs utilisent les nouvelles technologies depuis toujours, ils ont été les premiers à adopter les GPS pour mieux creuser leurs sillons plus efficacement. Aujourd’hui ils manient même des drones pour optimiser leur productivité », introduit Claire Gallon du collectif « Nantes ville comestible », lors de la première rencontre « hackgriculture » à Nantes. Une façon de rappeler qu’agriculture et technologie sont deux mondes déjà très complémentaires. Mais, bien loin d’exploiter le numérique au service d’une agriculture « productiviste », il s’agit aujourd’hui d’inviter les développeurs web et jardiniers en tout genre à proposer de nouveaux outils pour faciliter une agriculture urbaine durable et respectueuse des équilibres environnementaux. Fusionner les énergies d’un territoire L’agriculture urbaine existe sous diverses formes depuis longtemps (toits végétalisés, circuits courts, jardins ouvriers, AMAP, etc). Selon elle, des fossés se creusent entre les acteurs locaux.

Aux États-Unis, les vaches sont nourries aux bonbons Aux États-Unis, certains éleveurs bovins alimentent leur bétail avec des bonbons pour faire des économies et engraisser l'animal plus rapidement. C’est la nouvelle trouvaille de certains éleveurs de bovins américains pour faire des économies sur le fourrage destiné à nourrir les animaux. En réponse à la hausse des prix du maïs, les vaches de certaines exploitations sont désormais nourries de friandises bon marché à hauteur de 8%. Morceaux de bonbons, mix de chocolats ou encore miettes de biscuits industriels, non seulement les rebuts des usines de sucreries assurent d’importantes économies aux producteurs (160$ pour une tonne de pépites de bonbons contre 315$ pour une tonne de maïs), mais ils permettent aussi d’engraisser les vaches plus rapidement. “Ces aliments ont un ratio de graisse bien plus élevé que le maïs traditionnellement utilisé” explique Joseph Watson, éleveur dans le Kentucky. Plus inquiétant encore, certains bonbons seraient donnés aux vaches dans leur emballage.

Bienvenue dans l’agriculture de demain, libérée des pesticides et du pétrole, et créatrice de dizaines de milliers d’emplois Ce jour de printemps, Charles Hervé-Gruyer est accroupi au pied d’une butte de terre et repique des navets. Autour, une mare et un cours d’eau où viennent se réfléchir les rayons du soleil, de quoi augmenter légèrement la température de la butte cultivée. Nous sommes ici sur une petite île de la ferme du Bec Hellouin, à une cinquantaine de kilomètres de Rouen, dans l’Eure. Un peu plus loin, un jardin-forêt – entendez, des arbres et arbustes fruitiers mélangés à des plantes aromatiques et médicinales – abrite les cultures des vents dominants. « Nous avons créé des petits milieux qui interagissent entre eux, avec une circulation de la matière organique », explique Charles. « Un cocon de nature vivante, protégée. » Sur son île, Charles Hervé-Gruyer ressemble un peu à un aventurier… de l’alimentation de demain. Toutes les semaines, 65 paniers de légumes issus de 2 000 m2 dédiés au maraîchage vont régaler les habitants du coin, de la région de Rouen et de Paris. Une agriculture sans pétrole

Régie de l'eau, autonomie énergétique, zéro déchet : quand villages et villes moyennes montrent la voie - Basta ! Une petite canalisation à ciel ouvert longe les pavés de la « Grande gargouille », principale artère de la vieille ville fortifiée de Briançon. Longtemps alimentée par l’eau potable, elle l’est désormais par un canal. « Contrairement à ce qu’on pense, l’eau n’est pas quelque chose d’inépuisable. Avec le changement climatique, les réserves diminuent et il faut préserver la ressource », explique Joël Pruvot, président de la Régie briançonnaise de l’eau et de l’assainissement (RBEA). « Par exemple, toutes les fontaines sont maintenant équipées de bouton poussoir. » Histoire de ne pas gaspiller, même aux pieds des Alpes, dont les glaciers fondent à grande vitesse. Le passage en régie remonte à l’an 2000. Briançon est l’une des premières villes de France, avec Grenoble, à faire repasser son eau sous gestion publique grâce à la mobilisation citoyenne. L’exemple sera suivi par des dizaines de petites communes et des métropoles comme Paris, Rennes, Nice et Montpellier. « Ce n’est jamais gagné »

Jean-Martin Fortier Du nouveau dans le jardin-maraîcher cet été…. Voici un super article (voir l’hyperlien) qui décrit l’évolution et le perfectionnement d’outils manuels pour le maraîchage sur petite surface. Les changements que la compagnie Johhny’s selected seed a apportés à leur grelinette sont intéressants, mais je suis beaucoup plus excité par leur nouveau rouleau plombeur/marqueur. Johnny’s Hardpan Broadfork and Seedbed Roller En soit …... Continuer à lire » L’héritage retrouvé des maraîchers du XIXème À l’occasion du lancement du magnifique livre d’Eliot Coleman Des Légumes en hiver… J’ai le plaisir de vous annoncer que je donnerai une conférence en sa compagnie à AgroParisTech, la plus prestigieuse école agricole de France le jeudi 7 novembre 2013 à 20h30. Continuer à lire » Les Jardins de la Grelinette; des petits espaces et de grandes idées. Pourquoi faire grand lorsqu’on peut faire petit et prolifique ? Continuer à lire » Continuer à lire » Continuer à lire » Page FAQ sur le site Continuer à lire »

Les outils du réseau Un site Internet www.tela-botanica.org : l'outil privilégié d’accès au Réseau Créé en 2000, le site www.tela-botanica.org est devenu le portail d’information et d'échange privilégié des botanistes de langue française. Chaque jour, des amateurs passionnés, des enseignants et des professionnels échangent, s'informent et élaborent des projets. Des connaissances sur la flore sauvage à travers : Des outils pour échanger des forums de discussion sur des thématiques variés : détermination de plantes, ethnobotanique, orchidées, bryophytes, pédagogie... une cartographie et un annuaire pour rechercher d'autres Telabotanistes Des outils pour coopérer Une lettre d'actualité hebdomadaire : pour rester connecté Pour être tenu informé des actualités et des évènements publiés par Tela Botanica, vous pouvez vous abonner à la lettre d'information des actualités. S'inscrire à la lettre d'actualité Des projets : encourager et accompagner la création de projets collectifs L’index synonymique de la flore de France.

The Barn, un marché bio nouvelle génération à Etterbeek - Brusselslife Créé le 05/05/2017 - Dernière mise à jour le 05/05/2017 The Barn, un espace de 500m² proposant des produits 100% bio provenant directement de producteurs locaux ouvre aujourd'hui sur la place Saint-Pierre à Etterbeek. Son principe: une seule marque, des produits en vrac et un véritable espace de rencontre autour de l'alimentation biologique. C'est un tout nouveau magasin bio qui ouvre ses portes aujourd'hui au n°38 de la Place Saint-Pierre à Etterbeek. "La qualité se montre elle ne s'emballe pas" Chez The Barn, la vente en vrac des principaux produits permet de les rendre encore plus visibles et accessibles tout en réduisant au minium les emballages, le tout pour un meilleur respect de l'environnement. Barn comme Bio, Accessible, Respecteux et Novateur Julien et Quentin, garantissent tous les efforts possibles pour offrir à leurs clients les prix les plus bas et rendre donc le bio accessible. Des ateliers culinaires et un espace de restauration

Permaculture La permaculture est, à l'origine, une conception de l'agriculture et de l'horticulture durable fondée sur l'observation minutieuse des écosystèmes et des cycles naturels et leur imitation. C'est un mot-valise anglais formé à partir de « permanent (agri)culture » ; en français : « agriculture durable » ou « culture permanente ». Cependant l'expression « agriculture durable » a aujourd'hui pris un sens plus large. Elle a été élaborée dans les années 1970 par le biologiste australien Bill Mollison et son élève David Holmgren. En 1981, Mollison reçoit le Right Livelihood Award pour son travail. La notion de permaculture a progressivement été étendue à une conception systématique de l'environnement et à une éthique normative définissant des modes de vie et un fonctionnement de la société souhaitables. En Europe, la permaculture est pratiquée aussi bien dans des jardins privés que dans des fermes de taille moyenne. Définition[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code]

Notre magasin – dépôt de Faulx-les-Tombes - Semailles Horaire De février jusque fin avril : Jeudi, vendredi et samedi de 9h à 17h Attention, changement d'horaire! Etant donné les nombreux jours fériés de mai, nous vous proposons un horaire intermédiaire jusqu'au 13 mai. Nous seront ouverts toute la journée, les jours suivants : Mardi 28 et mercredi 29 avril : de 9h à 12h et de 13h à 16h.Jeudi 30 avril : de 9h à 17h.Les 5-6-7-8-12 et 13 mai : de 9h à 12h et de 13h à 16h. Fermeture le 1 mai et les 14 et 15 mai. Du 19 mai à décembre : Du mardi au vendredi de 9h à 12h.

Permaculture et construction naturelle : la terre crue de A à Z | Une importante partie du sous sol français est composé de terre argileuse, une aubaine en permaculture car il s’agit d’un des meilleurs matériaux de construction, durable et naturel. La terre est composée de sable, de limons et d’argile. Il faut généralement creuser à 20 ou 30 cm de la surface, sous la terre végétale, pour trouver de la terre utile à la construction. On note la différence de terre par un changement de couleur net. Pour faire une analyse basique de la terre dont on dispose, on utilise un bocal. Le taux d’argile dans une terre va donner la technique la plus adaptée à utiliser car toutes les terres ne sont pas adaptées à toutes les techniques. Pour stocker la terre, le mieux est de la mettre sous un toit avec des courants d’air (un hangar). La bauge La bauge se trouve traditionnellement en Normandie. L’adobe L’adobe est d’origine arabe. Après 2 semaines, on peut les entasser selon une disposition précise avant de les bâcher pour les protéger de la pluie. Le pisé Le torchis

Sur 1ha, cette micro ferme bio génère 130000€ de chiffre d'affaires On nous a longtemps fait croire que les réalités économiques rendaient l’agriculture bio totalement utopique. Pourtant, de plus en plus d’exemples tendent désormais à prouver le contraire : une petite ferme à taille humaine peut parfaitement cultiver une nourriture saine et sans pesticides tout en gagnant l’argent nécessaire à sa survie. Démonstration dans le sud du Québec où, sur moins d’un hectare, une micro-ferme parvient à générer 150 000$ de chiffre d’affaires annuel (environ 130 000€)… L’homme en charge de cette exploitation, c’est Jean-Martin Fortier (auteur de Le jardinier-maraîcher : Manuel d’agriculture biologique sur petite surface). Ses méthodes (et ses résultats) ont suscité tellement de curiosité que sa mini-ferme a fait l’objet d’un documentaire révélant tous ses secrets. « C’est le moment ou jamais de remplacer la production de masse de l’agriculture industrielle par une production par la masse de petites fermes à échelle humaine. » Ce jour viendra.

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