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Système Tutoriel Intelligent

Système Tutoriel Intelligent
Emmanuel G. BLANCHARD, Claude FRASSON Laboratoire HERON, Département d’Informatique et Recherche Opérationnelle, Université de Montréal 1. 1. Depuis maintenant près de trente ans, la recherche sur les Systèmes Tutoriels Intelligents (STI) s’est portée sur des moyens de créer des systèmes informatiques adaptatifs pour enseigner, de manière efficace, une multitude de domaines. Cet article est organisé de la manière suivante : dans la partie qui suit, nous présentons des travaux récents liés aux STI et ayant porté sur la motivation. 2. 3. Dans ce qui suit, nous décrivons plus en détail ces deux principes. 3.1. Les recherches distinguent motivation intrinsèque et extrinsèque. La SDT précise ces types de motivation : elle considère l’amotivation (l’absence totale de motivation), et elle segmente la motivation extrinsèque en quatre sous-catégories. Tableau 1. Selon la SDT, les quatre types de régulation de la motivation extrinsèque sont : 3.2. 3.2.1. 3.2.2. 3.2.3. 4. 4.1.

Conférence de Fabien Fenouillet Pourquoi les lycéens décrochent-ils ? Mercredi 5 janvier 2011 Confé­rence « La mas­si­fi­ca­tion de l’ac­cès au ly­cée, entre dé­mo­cra­ti­sa­tion et sé­gré­ga­tion » par Jean-Yves Ro­chex Du­rée de la vi­déo : 1 h 10 mn. La vi­déo est réa­li­sée par l'équipe de res­sources et de pro­duc­tions au­dio­vi­suelles du CRDP de l’aca­dé­mie de Cré­teil. Mercredi 12 janvier 2011 Confé­rence « Le dé­cro­chage sco­laire en ly­cée pro­fes­sion­nel : réa­li­tés et en­jeux pour une école dé­mo­cra­tique » par Aziz Jel­lab Du­rée de la vi­déo : 1 h 28 mn. Mercredi 19 janvier 2011 Confé­rence « À pro­pos d’une pé­da­go­gie de la mo­ti­va­tion » par Fa­bien Fe­nouillet Du­rée de la vi­déo : 60 mn. Mercredi 26 janvier 2011 Confé­rence « Dé­cro­chage et cli­mat sco­laire : des es­paces d'ac­cro­chages pour l’école » par Ben­ja­min Moi­gnard Du­rée de la vi­déo : 69 mn. Mercredi 2 février 2011 Du­rée de la vi­déo : 49 mn. Mercredi 9 février 2011 Du­rée de la vi­déo : 1 h 11 mn. Contraste Im­pri­mer Par­ta­ger Texte -/+

Les facteurs de motivation du personnel La motivation est ce qui incite un employé ou un groupe d'employés, ayant des besoins et des aspirations distinctes, à travailler en vue d'atteindre les buts de l'organisation avec plus de satisfaction. I/ L'analyse des facteurs de motivation La motivation des salariés étant un facteur déterminant pour augmenter la productivité du personnel, de nombreux auteurs ont essayé de cerner les facteurs de motivations qui pouvaient la favoriser. A) L'analyse de Taylor Taylor est l'un des premiers à analyser les rapports entre l'homme et son travail. B) L'analyse de Mayo Mayo réagit contre la conception rationnelle de Taylor qui oublie la dimension humaine du travailleur. C) L'apport de l'analyse Maslow Maslow complète l'analyse de Mayo par une pyramide des besoins à cinq niveaux. Besoin de réalisation --> Besoin d'estime et de considération--> Besoin d'appartenance--> Besoin de sécurité--> Besoin physiologique. II/ Les techniques de motivation A) Les mesures de motivation financières 1. 2. 3.

Grille de BLAKE et MOUTON Le modèle de Blake et Mouton est un outil qui permet de cartographier rapidement et cerner les styles génériques de management. Cette matrice s'articule autour de 2 axes : l'intérêt pour la production (ou les résultats) en abscisses, et l’intérêt pour l'élément humain en ordonnées. La grille est découpée en 9 valeurs pour chaque axe. Le résultat de cette analyse est la mise en valeur de 5 styles prédominants de manager (le premier chiffre donne la valeur pour le degré d'orientation "production", le second pour l'humain) : (1-1) "Laisser faire" : le partisan du management laxiste. (1-9) "Social" : les collaborateurs sont au centre de ses préoccupations. (5-5) "Intermédiaire" : la voie de l'équilibre entre orientation vers l'humain (prise en compte des besoins psychologiques) et résultats. (9-1) "Centré sur la tâche" : un style autoritaire centré sur la production au détriment de la prise en compte de l'humain. A lire sur le web Articles La grille de Blake et Mouton Keyros Commentaires

L’intérêt de la négociation raisonnée en situation difficile et complexe I. Qu’est-ce que la négociation raisonnée La négociation raisonnée, ou méthode gagnant/gagnant est fondée sur la coopération. Ne pas confondre le différend à résoudre (provenant des écarts de besoins, de valeurs) et les personnalités face à face pour encourager les acteurs à traiter le problème, à faire preuve de compréhension ; Se concentrer sur les intérêts (divergents et communs) et les besoins ; Chercher des options c’est-à-dire des solutions pouvant apporter aux parties prenantes un bénéfice mutuel, une satisfaction de leurs besoins ; Retenir des critères de décision objectifs, non soumis aux influences des parties, faciles à mettre en œuvre, clairs, acceptés Un processus à suivre. 1. Il va s’agir de : Ainsi, il devient déjà possible d’augmenter la valeur totale de ce qui pourra être gagné. Pour minimiser les risques de dérives, blocages immédiats, préciser le périmètre de la discussion, ses modalités, le planning est une précaution à prendre. 2. 3. 4. 5. 6. II. 1. 2. III. IV. A. 1. 2.

6 styles de leadership et leurs effets | Coaching de dirigeant Le leadership, ce qui fait un bon leader, c’est un ensemble de qualités personnelles et de compétences relationnelles. Nous avons vu celles répertoriées par Goleman, Boyatzis et McKee dans l’article Leadership : quelles sont vos qualités de leader. Restons avec Daniel Goleman pour voir quels styles de leadership il a identifiés, et décrits dans la Harvard Business Review*. Cet article inaugure une série sur le Leadership. Voici ces 6 styles de leadership, 6 approches différentes : Leader Directif (Coercive) Leader Chef de file (Pacesetting) Leader Visionnaire (Authoritative) Leader Collaboratif (Affiliative) Leader Participatif (Democratic) Leader « Coach » (Coaching) Précisons d’emblée que ces styles ne sont pas des types exclusifs, mais au contraire des tendances à combiner pour être un bon leader. Leader Directif (Coercive) C’est le style le plus autoritaire. Le leader directif laisse peu de place aux initiatives : il impose les actions à mener, sans expliquer la vision globale. A vous !

Le digital maintenant présent dans toutes les étapes de l'expérience d’achat 90% des consommateurs français interrogés par Digitas se rendent désormais sur Internet avant d’effectuer leur choix en magasin, pour consulter des comparateurs de prix ou des avis des consommateurs. Même si le magasin physique demeure le deuxième canal pour l’information produit, il est de plus en plus utilisé comme simple showroom par les consommateurs. C'est ce que dévoile Digitas France, en collaboration avec VivaKi Advance, dans son second baromètre de l’Expérience Marchande Connectée, qui met en lumière les évolutions des comportements des consommateurs et de leurs attentes concernant leur expérience d’achat. L’étude révèle en effet que l’augmentation du taux d’équipement d’appareils connectés incite de plus en plus le consommateur à comparer les offres en ligne et hors ligne, avant de prendre sa décision. Internet consulté avant et pendant l’achat en magasin Intégrer davantage d’outils technologiques in-store

bouhmouch à cor et écrit: LE MODELE EKB DU COMPORTEMENT D’ACHAT ET SES LIMITES Un individu a l’intention d’acheter un micro-ordinateur afin de se connecter à internet. Loin de se lancer sur un coup de tête, il consulte les sites internet spécialisés, fait le tour des magasins, compare les prix, interroge les vendeurs. Finalement, il opte pour un modèle assez cher de marque Sony… Mais à l'utilisation, il a l’impression d’avoir fait un mauvais choix. De là, ces questions : le consommateur a-t-il un comportement rationnel ? Processus de décision d’achat L'étude du comportement du consommateur est vitale pour l'entreprise en raison de son impact sur toutes les décisions marketing (stratégie, mix). Par comportement du consommateur, en effet, on entend « toutes les actions visant l'obtention et l'utilisation des produits, ainsi que les processus qui précèdent et suivent ces actions ». (2) Il s’agit d’un processus – qui doit être étudié en tant que tel, un processus de résolution d'un problème. Ce processus est schématisé grâce à des modèles. Limites du modèle EKB (4) R.

Le vendeur connecté : 2 compétences clés|Le blog du Manager commercial Julie Herman nous parle du point de vente connecté sur le blog de la stratégie marketing Qui dit point de vente connecté dit vendeur connecté. Quelles sont les compétences clés du vendeur connecté ? Si le point de vente se doit avant tout d’être un lieu d’expérience forte pour le client, si la théâtralisation de l’espace, la mise à disposition des outils digitaux y participent grandement, c’est l’expérience vécue par le client avec le vendeur qui va faire la différence. Le vendeur connecté devra maitriser deux dimensions. Le vendeur connecté est un expert C’est la condition sine qua non de sa crédibilité. Expert de son offre Replongeons-nous quelques années en arrière : il suffisait au vendeur de maitriser les principaux points techniques de son technique, parfois même de relire rapidement la fiche technique du produit, pour faire illusion auprès d’un client profane, facilement impressionné par quelques termes techniques débités avec assurance. Expert de l’offre concurrente Ecoute du client

Le CROSS CANAL, c’est une révolution ! Que ce soit sur son ordinateur, sa tablette ou son smartphone, un consommateur prépare aujourd’hui 8 fois sur 10 son achat en ligne avant de se rendre en magasin. A priori, on pourrait penser que les grandes enseignes de distribution qui possèdent, pour la quasi-totalité d’entre elles, quel que soit leur secteur d’activité (habillement, alimentation, etc.), un réseau de distribution physique et un réseau de distribution virtuel (un site Internet marchand sur lequel il est possible d’acheter tout ou partie de ce qui est disponible en magasin), sont bien préparées à ce nouveau comportement mais seuls 17% des consommateurs trouvent à l’heure actuelle qu’elles rendent, dans les faits, agréable le passage d’un canal à un autre (1). Pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, elles doivent par conséquent changer en profondeur leur stratégie de distribution et penser désormais CROSS CANAL ! Qu’est-ce qu’un consommateur cross-canal ? Xavier Schneider (Illustration par Eric Taccone) Notes

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