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Fac similé Chanson de Craonne

Fac similé Chanson de Craonne
Voir aussi: une chanson antimilitariste de 1917 Ecouter une version libre de droits de la Chanson de Craonne, au format mp3 (enregistrement par la classe de CM2 de l'école Madame de Sévigné de Dieppe durant l'année scolaire 2008-2009, en cours de musique avec Régis Delcroix, musicien intervenant en milieu scolaire.) La Chanson de Craonne est depuis longtemps un élément central dans la mémoire de la Première guerre mondiale. Chantée notamment par Marc Ogeret et Maxime Leforestier, elle est également présente dans plusieurs films dont Un long dimanche de fiançailles (J.-P. Jeunet, 2004). Donnons d'abord le texte stabilisé tel qu'il a s'est imposé dans l'après-guerre, d'abord publié sous le titre "Chanson de Lorette" par l'écrivain et militant communiste Paul Vaillant-Couturier en 1919, titre transformé à partir des années 1920 en "Chanson de Craonne", et qui est aujourd'hui la version que chacun connaît : Refrain : Adieu la vie, adieu l’amour, Adieu toutes les femmes. Adieu, m'amour!

Anne Frank au pays du Manga - ARTE Introduction du dossier « Les fusillés de la Grande Guerre » - Pour mémoire - CNDP Nous proposons dans ce dossier de revenir sur un phénomène tragique qui a traversé la Grande Guerre de part en part, touché tous les États belligérants, tous les fronts, dès les premiers jours de la guerre et posé aux autorités tant militaires que politiques des questions portant sur leur fonctionnement, leur finalité, leur existence même, puisqu’il s’agit de réfléchir sur la question de l’exécution de soldats au sein de leur propre armée. Nous centrons le propos sur le cas français, non qu’il soit plus important que les autres, mais parce que les sources et l’historiographie dont nous disposons permettent de construire un discours véritablement problématisé et de livrer des conclusions tangibles. D’autre part, la figure du fusillé a opéré un retour en force dans l’actualité, dans les champs mémoriels, dans les débats politiques au point de prendre une place peut-être démesurée face au nombre réel de cas. Le plan du dossier articule six aspects principaux de la question.

La Grande Guerre en dessins L’affiche rouge Vidéo L’affiche rouge Contexte historique Une opération de propagande d’envergure Constitué et organisé entre la fin de l’année 1942 et février 1943, le réseau Manouchian fait partie du groupe de résistance des « Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée » (F.T.P. Arrêtés en novembre 1943, ses membres sont jugés lors d’un procès qui se déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris, du 17 au 21 février 1944. Réalisée par les services de propagande allemands en France, « Des libérateurs ? Analyse des images L’armée du crime L’image est organisée en trois parties. Six photos (attentats, armes ou destructions) représentent enfin la menace qu’ils constituent à travers certains des attentats qui leur sont reprochés. Interprétation L’ennemi de l’intérieur « L’affiche rouge » entend d’abord présenter les membres du réseau Manouchian comme de dangereux terroristes. L’image insiste aussi sur le fait que cette « armée du crime » est constituée d’étrangers. Bibliographie Liens

L'affiche rouge De nombreux étrangers présents en France avant la guerre, en particulier ceux qui avaient fui le fascisme et la tyrannie dans leur pays, y compris des Allemands, se sont engagés dans la Résistance en France. L’épisode de l’Affiche rouge est là pour rappeler la grandeur de leur engagement et leur martyre. Les structures clandestines Guerre 1939-1945. FFI devant leur cantonnement © Roger Viollet Dans la résistance communiste, des “groupes de langue”, rassemblés dans une structure clandestine appelée Main-d'œuvre immigrée (MOI), opèrent au sein d'unités militaires relevant des FTP (Francs-tireurs et partisans). Les fusillés du Mont-Valérien Missak Manouchian © Centre de recherche sur la diaspora arménienne (CRDA) Du 15 au 18 février 1944, 23 accusés comparaissent à Paris, devant une cour martiale allemande. Des libérateurs présentés comme des criminels L'affiche rouge © DR Tout de suite après, une affiche est placardée en 15000 exemplaires sur les murs de France. Une propagande ratée

Accueil - Animation et Propagande Disney et la France Propagandes Animées Quand les comics partaient en guerre Quand les comics partaient en guerre Article Animation du Mercredi 11 Novembre 2015 Pendant la seconde guerre mondiale, le combat contre les nazis se menait sur tous les fronts, y compris celui des BDs et des cartoons. Comme CAPTAIN AMERICA - premier du nom - nous le rappelle, de nombreux héros de BD se sont battus contre Hitler, chacun à leur manière ! Par Pascal Pinteau Captain America : « Prends ça, Adolf !! Et pan dans la moustache ! Le super-soldat à la conquête du Blu-Ray ! Alors qu’il fête ses 70 ans, et après avoir connu un grand succès en salles le héros de Simon et Kirby déboule en vidéo dans le Blu-Ray de CAPTAIN AMERICA THE FIRST AVENGER , réalisé par Joe Johnston (Jumanji, Jurassic Park 3). Quand Superman s’en mêle… En voyant Superman tenir par le col Hitler et l’empereur du Japon HiroHito sur ce magazine de 1942, on a envie de lui dire « Vas-y Superman ! Une autre version du grand méchant loup Donald en pleine dictature nazie… Les toons accompagnent les soldats au front

"L’armée des ombres", le livre, le film. - Musée de la Résistance et de la Déportation du Cher CNRD 2012-2013 : un roman-témoignage, devenu un film en 1969, pour s’imprégner du sujet. Des récits et des images pour appréhender la communication de la Résistance. Le livre de Joseph Kessel En 1939, Joseph Kessel est grand reporter de presse et romancier. Après la défaite de 1940, parvenu à Londres, il s’engage dans les Forces Françaises Libres. Il est connu pour avoir composé, avec son neveu Maurice Druon, les paroles du « Chant des Partisans », sur un air traditionnel russe. Un ouvrage paru fin 1943 Fin 1943, à Londres, il finit de rédiger « L’armée des ombres ». « L’armée des ombres » n’est pas un roman d’imagination. Des problématiques diverses Par son récit, Kessel balaie diverses problématiques. Il ne tait pas la violence : celle de l’ennemi (arrestations, torture, exécutions), celle de la Résistance, éventuellement envers ses propres membres : ceux qui ont parlé, trahi, mis en danger leurs camarades … Communiquer pour résister Comment communiquer avec Londres ? Une écriture sobre.

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