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Externaliser les fonctions supports : une solution qui a de l'avenir.

Externaliser les fonctions supports : une solution qui a de l'avenir.
Concentrer ses efforts/ressources sur le cœur de métier de l'entreprise est possible en externalisant tout ou partie des fonctions support. Cette solution, répandue dans les grands groupes est de plus en plus prisée dans les PME qui y voient une manière de rationaliser leur frais fixes, en limitant la masse salariale. Quel dirigeant n’a pas rêvé de se consacrer pleinement au cœur de métier de son entreprise en ne s’embarrassant plus des fonctions dites « support » ? A l’heure où les entreprises cherchent à conforter leurs positions dans un environnement concurrentiel international de plus en plus complexe, et alors que l’on voit poindre la limite des gains de productivité, beaucoup de chefs d’entreprises sont à la recherche de solutions alternatives innovantes pour améliorer l’efficience de leur organisation.

Faut-il externaliser le mainframe Si le mainframe apparaît aujourd'hui comme un élément incontournable, il pose toutefois un certain nombre de problématiques aux fournisseurs spécialisés. L'arrivée des équipements mobiles et la multiplication des applications orientées client, ont renforcé la complexité de l'environnement applicatif. Les budgets de plus en plus serrés et la raréfaction des compétences, font du mainframe une spécialité coûteuse. Tous ces facteurs poussent beaucoup d'entreprises à externaliser leur système. Notre étude récente réalisée auprès de 500 DSI du monde entier, révèle que pour 76% des entreprises interrogées, le principal intérêt de cette démarche est la réduction des coûts. Il est aussi essentiel de dire que les départs à la retraite, ou le changement d'orientation des spécialistes du développement mainframe ont entraîné un sérieux déficit de compétences. Contrôle de la consommation CPU Qualité médiocre, coûts élevés Pérennisation du mainframe

Externalisation des infrastructures IT avec le cloud computing : Approches, ROI & tendances 2015 jeudi 5 décembre 2013 D’ici 2015, plus d’un décideur informatique sur deux prévoit d’augmenter la part de son budget dévolue à des projets d’externalisation avec le cloud computing. Les ROI (retours sur investissements) obtenus sont assurément l’une des raisons favorisant cette tendance, analyse Markess International. Le corollaire est que les services de cloud computing prennent progressivement le pas sur d’autres formes d’externalisation (hébergement classique, infogérance, exploitation d’infrastructures…). En 2013, le recours à des services de cloud computing pour les infrastructures IT est très variable d’un secteur d’activité à l’autre. Les DSI de l’industrie, ainsi que ceux de grandes entreprises, favorisent plutôt la migration de certains de leurs contrats d’externalisation vers des services de cloud computing.

Externalisation IT : le cloud met KO l'hébergement traditionnel 37% des décideurs interrogés par Markess International estiment que le ROI de l'externalisation de leurs infrastructures IT dans le cloud est supérieur à celui procuré par l'infogérance ou l'hébergement traditionnel. Le cloud a bel et bien les faveurs des entreprises françaises en matière d'externalisation informatique. Tel est le constat qui ressort de la dernière enquête menée par Markess International "Externalisation des infrastructures IT avec le cloud computing : approches, ROI et tendances 2015". Sur les 82 décideurs interrogés par le cabinet, 37% estiment que les retours sur investissement obtenus ou pressentis grâce à l'externalisation de leurs infrastructures IT dans le cloud sont supérieurs à ceux obtenus au travers des approches traditionnelles d'externalisation. Alors qu'ils sont 22% à estimer que l'hébergement, l'infogérance et les services managés traditionnels présentent des ROI identiques au cloud, seulement 7% avancent qu'ils sont inférieurs.

Défense : l’exemple allemand d'externalisation et de contrats de services Malgré des fondamentaux macroéconomiques notoirement différents entre les deux pays, les budgets de la défense en France et en Allemagne sont confrontés aux mêmes défis : baisse des effectifs, effort de rationalisation budgétaire, diminution de la part du PIB consacrée à la défense. L’Allemagne est, avec la France et le Royaume-Uni, le troisième pays de l’Union européenne investissant le plus dans sa défense. En 2012, les dépenses de défense allemandes s’établissent à 31,7 milliards €, dont 5% sont spécifiquement fléchés chaque année vers les contrats d’externalisation. Le pragmatisme allemand Les ambitions et pratiques de l’externalisation sont clairement différentes de part et d’autre du Rhin. L’Allemagne s’est ainsi dotée d’un organisme unique pilotant les opérations d’externalisation, il s’agit de la GEBB : Gessellschaft für Entwiclung, Beschaffung und Betrieb mbh, « société pour le développement, l’acquisition et le fonctionnement ». Des succès…mais pas toujours Et en France ?

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