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LES BARBARES ATTAQUENT !

LES BARBARES ATTAQUENT !
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Du big data au smart data XEnvoyer cet article par e-mail Du big data au smart data XEnvoyer cet article par e-mailDu big data au smart data e-marketing La donnée consommateur au coeur de la transformation de l’entreprise L’expression “big data” ferait presque fuir tant elle est utilisée à tort et à travers. Usée jusqu’à la corde sans avoir vraiment été beaucoup utilisée : l’expression-valise “big data” ne doit cependant pas dissimuler ses enjeux grands formats : une rupture obligée avec les classiques modèles économiques de nombre d’entreprises. Certes, jusqu’à présent les discours et autres rapports annuels ont abondamment précédé la mise en œuvre. L’exploitation du déluge informationnel En effet, l’exploitation de ces fameuses données, en temps accéléré, impacte simultanément la plupart des grandes fonctions : commerciales, marketing mais aussi conception, R&R, production, logistique, dont l’organisation actuelle en silo peu partageur va bien vite apparaître comme un archaïsme. Les 4 facteurs de la rupture...

France Stratégie | Organisme de réflexion, d’expertise et de conseils placés auprès du premier Ministre : évaluer, anticiper, débattre, proposer Google, Uber, Amazon: comment la disruption transforme des industries entières De Google à Uber et Facebook, une forme d’innovation dite disruptive change les règles du jeu. Cette nouvelle organisation du travail crée de nouveaux marchés pour le consommateur, casse les prix, et change l’expérience client Facebook promet d’offrir la possibilité d’un transfert d’argent par son application Messenger. Est-ce le vrai démarrage du paiement de personne à personne? Est-ce une menace pour certaines banques? Il est encore trop tôt pour le dire. Kodak, l’ex-leader de la photo, a-t-il jamais imaginé être presque anéanti par la téléphonie mobile? Les origines de la rupture Cette innovation porte un nom, celui de «disruption». En général, l’innovation est classée en deux types, celle d’accélération et celle de disruption, selon Cyril Bouquet. La deuxième catégorie d’innovation est celle de la disruption. Attention de ne pas mélanger les concepts. Elimination des acteurs historiques Les syndicats refusent souvent de quitter le statu quo et demandent une protection.

La Génération Z bouscule le monde de l’entreprise… et l’école Suite au Dossier de veille sur la jeunesse, nous avons été sollicité pour un point particulier du dossier, à savoir les questions que pose l’arrivée des jeunes dans le monde de l’entreprise. Ces jeunes de moins de 20 ans, appelés par certains la Génération Z, semblent remettre en cause les fonctionnements “traditionnels” de l’entreprise et de la formation (alternance, apprentissage, etc.). Si la question est posée par les acteurs de la formation professionnelle, elle fait néanmoins écho aux questions d’ordre pédagogique soulevées par le rapport des jeunes aux apprentissages, au savoir, le tout avec en arrière plan les pratiques et usages numériques des jeunes. Qu’est-ce que la Génération Z ? Il y a peu de littérature scientifique sur la question. Éric Delcroix consacre un blog à la Génération Z. La Génération Z concerne les jeunes nés après 1995. La Génération Z arrive sur le marché du travail Pour aller plus loin :

Le management du futur ? | Interface  Les formes d’organisation des entreprises et des administrations sont aujourd’hui confrontées à des mutations profondes, voire à des remises en causes radicales, que les modèles managériaux d’hier ne permettent plus de penser et d’accompagner. Plutôt que de chercher la solution idéale mais en s’appuyant sur son expérience dans l’accompagnement des organisations, Interface vous propose d’imaginer le futur pour repenser le management. Voici nos pistes d’évolution et les questions que nous développons pour penser le management de demain: Du vertical à l’horizontal ? Depuis près de 30 ans, Interface déploie ses compétences en ingénierie de formation et d’accompagnement tout en remettant en cause régulièrement ses modèles et ses outils. Forts de cet état d’esprit et de cette pratique, nous pouvons vous proposer de travailler sur votre management de plusieurs façons: -En expérimentant, avec des projets innovants (en partenariat avec D-Sides) -En combinant des moyens pluriels d’apprentissage,

Le salariat est-il encore l'avenir de l'homme Emission présentée par Olivia Gesbert Tous les ans le 1er mai, le travail se fête. Quand on en a bien sûr. Comment savourer un jour férié quand on est en demande d’emploi ? Comment sacraliser la valeur travail quand la crise est passée par là ? Il y a peu le Conseil d’orientation pour l’emploi a publié un rapport sur l’évolution des formes d’emplois en France. Bernard Friot, Eric Verhaeghe et Danièle Linhart MB © Radio France Une étude qui interroge à la fois notre rapport au travail, les évolutions de l’emploi, le rôle de l’Etat et des politiques publiques. Signe des temps, certains en viennent à prédire « la fin du salariat ». Le salariat est mort, mais vive... quoi ? Suivez-nous aussi sur:

Le numérique va à nouveau révolutionner le management En 68, parmi bien d’autres revendications, s’est exprimé un refus véhément du travail en miettes, des tâches répétitives et, comme on disait « aliénantes ». La contestation s’est focalisée, non sans raison, sur le travail à la chaîne, en qui s’incarnait tous les défauts d’un mode de production daté. La pyramide hiérarchique, elle aussi, a fait l’objet d’une contestation : souvenez-vous de la lutte des maos contre les « petits chefs ». Au cours des décennies suivantes, mieux formées, les nouvelles générations, aspirèrent à davantage d’initiative. Mais comment contrôler la réalité et l’efficacité d’un travail dans une très grande autonomie ? D’où une nouvelle vague de lassitude et de mécontentements. start-up istockphoto © Radio France Mais ce nouveau modèle de travail est déjà contesté, comme le travail en miettes le fut en 68. Jean Pisani-Ferry, dans son Rapport « Quelle France dans dix ans ? Les modèles qui triomphent et s’imposent ont été conçus dans les marges du système précédent.

Contrôle des chômeurs et management par l’absurde: peut-on encore donner un sens au travail? Dans un rapport paru mardi, l’Organisation internationale du travail révèle que trois personnes sur quatre dans le monde ne bénéficient pas d’une relation d’emploi stable tandis que Pôle emploi vient de valider ce que beaucoup considèrent comme le flicage accentué des demandeurs d’emploi. Comment évaluer les méthodes d’accompagnement des demandeurs d’emploi tandis que leur nombre augmente malgré la reprise de la croissance ? Comment le management conditionne-t-il et encadre-t-il aujourd’hui les travailleurs ? Pôle Emploi Charles Platiau © Reuters Thierry, 51 ans, est renvoyé de son entreprise dans le cadre d’un plan de licenciements économiques. Après vingt mois de chômage et de recherche d’emploi sans succès, il accepte un poste de vigile dans un supermarché. Julien Damon et Marie-Anne Dujarier © Radio France L’instabilité du travail conduirait-elle les précaires à devenir le nouveau prolétariat mondial ? Nous aborderons ces questions dès la première partie avec Julien Damon.

Pourquoi le management tourne en rond ? Les mêmes causes produisant les mêmes effets, quarante ans de pensée managériale n'ont pas fait évoluer d'un iota le monde du management. Certes, on en a vu passer des modes, depuis les premiers cercles de qualité jusqu'au management durable d'aujourd'hui. La crise a, elle aussi, ouvert sur de nouveaux modes de travail moins en silos et plus coopératifs mais en réduisant l'autonomie des salariés et en produisant toujours plus de contrôles et de processus. "En apparence, la science du management (ou ce qui fait office) ne cesse de progresser, et pourtant les questions qui se posent au manager témoignent d'une remarquable permanence", constate François Dupuy dans "La faillite de la pensée managériale "qui vient de paraître au Seuil. D'une carrière entière passée au chevet des organisations, le sociologue en ressort avec un constat sans appel : le management tourne en rond. Pourquoi ? Un puissant facteur d'immobilisme Alerter sur le manque de questionnement

Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles. Quel que soit le domaine ou le secteur d’activité dans lequel elles évoluent, les entreprises libérées ont des points communs. 1. La souffrance au travail a un coût : le coût du stress a été évalué à 3,8 % du PIB par des études européennes, soit entre 3 et 3,5 millions de journées de travail perdues. 2. Incarner une vision et la faire partager à ses collaborateurs : si cela était courant dans les entreprises familiales et paternalistes de la période préindustrielle, les dirigeants d’aujourd’hui sont tout aussi volatiles que les investisseurs. 3. Pour maintenir la cohésion au sein d’un collectif de travail, il ne suffit pas d’afficher des valeurs telles qu’on peut le voir dans les chartes d’entreprise. 4. 5. C’est le leitmotiv de toutes les entreprises. 6. 7.

L’entreprise libérée, phénomène de fond ou de mode? Organisation Le 15/05/2015 On entend parler un peu partout, dans le monde du travail comme dans les médias, « d’entreprise libérée ». De nombreux ouvrages traitent de cette façon nouvelle de mobiliser les acteurs sur leur manière d’entreprendre et d’organiser le « travailler ensemble ». Mais est-ce en soi un mode d’organisation inédit? Tout d’abord, il me semble nécessaire de s’interroger sur la terminologie « entreprise libérée ». Un regard rapide jeté sur l’histoire récente permet de voir que ces principes ont préexisté au phénomène de mode actuel. Arrivé au bout de sa logique avec la fin de l’ère industrielle, le modèle taylorien d’organisation du travail a buté contre des changements environnementaux pour lesquels il est inadapté : la complexité, l’incertitude, la mondialisation, mais aussi l’émergence du réseau grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication.

L'impact de la transformation numérique sur le bien-être des collaborateurs inShare551 Edenred et Ipsos viennent de dévoiler la dixième édition du baromètre sur le bien-être et la motivation des salariés européens. Issues de 14 pays européens, les réponses des 13 600 salariés interrogés ont permis d’établir un constat à travers 4 chiffres clés et d’identifier 4 profils-types de collaborateurs face à la transformation numérique, ainsi que les réponses à apporter par les DRH. Revue de détail. La transformation numérique vue par les salariés européens en 4 chiffres 73% des répondants sont familiers de l’usage du digital dans leur univers personnel.64% des répondants jugent leur entreprise au même niveau que celles de leur secteur sur la transformation numérique ou en retard par rapport à celles-ci.80% des répondants considèrent que le numérique à un impact positif ou neutre sur leur motivation.20% des répondants sont inquiets pour leur équilivre entre vie professionnelle et vie personnelle. Les 4 profils-types de collaborateurs face cette révolution

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