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Le projet Google est-il totalitaire ? - Idées

Le projet Google est-il totalitaire ? - Idées
C’est une mort qui est passée quasi inaperçue, celle d’un ancien géant du net, devenu quantité négligeable : en juillet dernier, Altavista cessait toute activité. Il y a quinze ans, Altavista était pourtant le moteur de recherche le plus prisé du web, car le plus performant. Oui mais voilà, il y a quinze ans, Google n’existait pas, ou si peu. 50 milliards de dollars de chiffres d’affaires annuel : c’est le poids économique d’une firme devenue tentaculaire, dominant largement le marché des moteurs de recherche donc de l’information, mais aussi celui de la vidéo avec Youtube, de la téléphonie mobile avec son système d’exploitation Androïd, de la cartographie avec Google maps et Google Earth…sans compter les révolutions à venir dans l’automobile, la vision augmentée, la longévité humaine... Vincent Puren, Gilles Babinet et Ariel Kyrou JCF © Radio France Bien plus qu’une simple entreprise, Google est devenu un acteur politique. Suivez-nous aussi sur :

l'assertivité un outil pour les maîtres "S'affirmer sans s'opposer" L'assertivité est une démarche personnelle dont le but est de rechercher une communication constructive et positive notamment dans les relations professionnelles ou sociales. Cette démarche se refuse à l'agression, la soumission ou la manipulation . Elle s'incarne dans une affirmation tranquille de soi et une bonne mise à distance où comportements et personnes ne sont pas confondus. Démarche non violente, elle s'inscrit dans une éthique de la responsabilité qui prend le réel en compte sans dogmatisme. Dans l'absolu, si l'on ne s'en tient pas à certaines interprétations un peu réductrices du monde du travail, il s'agit de rechercher la convergence du progrès social avec celle du projet personnel. Cette démarche permet aux acteurs d'objectiver ou professionnaliser leurs échanges, de travailler dans le cadre d'une démocratie cognitive où les objectifs sont exprimés en référence à des valeurs. Diverses définitions existent sur le net. Vincent Breton

Internet change-t-il le monde ? - Sciences Zefiro19.01.2014 Pardon pour mon retard à réagir. Je tenterai dorénavant d’être plus aux aguets. Je remercie Boris Beaude pour sa réponse (voir plus bas) très détaillée et instructive, à coup sûr utile à nombre d’auditeurs. Le premier point de sa réponse (le voyage des nombres) me laisse penser que j’ai dû être trop lapidaire : seule raison pour qu’un esprit aussi éclairé en vienne à ranger mon propos à la rubrique « poésie ». N’ayant parlé à nouveau (: je m’entête) que de matière, j’en viens au second aspect de la réponse de Boris Beaude : la distinction tranchée entre matière et énergie. Si je suivais la piste indiquée par Boris Beaude, je serais conduit à m’enliser dans l’ornière où pataugent la très grande majorité des commentateurs du phénomène internet. répondre Boris Beaude04.02.2014 Votre propos est intéressant. Pollie27.01.2014 Zefiro16.01.2014 Intéressante émission, qui m’a valu deux surprises : Avec le cordial salut de Zefiro, alias “le penseur masqué”, essayiste à ses heures.

Que peut-on cultiver sur son balcon ou sur sa terrasse? « Plantes L’avantage d’un jardin en pots est qu’en respectant le besoin des plantes, il y a moyen de changer de décor à volonté. Le bois, la terre cuite et le grès sont les meilleurs matériaux car ils permettent aux racines de respirer. Le grès ne craint pas les fortes gelées. Le bois présente l’inconvénient de pourrir. Quant aux bacs en plastique, d’une esthétique discutable, ils présentent l’avantage d’être léger et souvent de couleur agréable. Dans des pots ou des jardinières, on peut cultiver sur un balcon ou sur une terrasse bon nombre de légumes et de petits fruits avec un rendement correct: au printemps et en été: les plantes aromatiques dont le basilic, les tomates, les tomates-cerises, les salades, les radis, les aubergines…à l’automne et en hiver: les salades dont la mâche Cet article vous propose des idées de jardinières composées de différents légumes. Quelle exposition pour mes plantes ? La meilleure exposition demeure le sud, sud-est ou sud-ouest. > Semer de la mâche en pot Les radis

Netflix aura-t-il la peau de Julie Lescaut? - Idées Vous aimez les films, mais pas n’importe quels films. Les films de guerre…mais pas n’importe quelle guerre : celle de 14-18. Plus précisément, les films sur la guerre de 14-18 qui se déroulent exclusivement dans une tranchée. De nuit. Avec des sous-officiers. Et bien réjouissez vous. Netflix, c’est un service de vidéo à la demande. Manuel Alduy, Florence Gastaud et Alain Carrazé JCF © Radio France Si les futurs clients trépignent, le monde du cinéma et de l’audiovisuel, lui, s’inquiète. Bref, l’arrivée du groupe californien menacerait le fragile équilibre sur lequel a été bâtie notre exception culturelle. « Netflix aura-t-il la peau de Julie Lescaut ? C’est notre sujet du jour. Suivez-nous aussi sur:

Avignon/ Les Frères Saada sur grand écran Artiste, autodidacte, indépendant, l’Avignonnais Emmanuel Saada présentera son premier long-métrage au public dès sa sortie nationale le 19 février. Portrait du réalisateur humble et généreux du film “Les Éléphants” où joue également un autre Avignonnais, Mikaël Chirinian. Vivant désormais à Paris, Emmanuel Saada est originaire du Pontet. Après une scolarité au lycée Aubanel, il a quitté le sud de la France pour investir la capitale afin d’y réaliser des études de cinéma et de poursuivre ses ambitions. Il entamera sa carrière grâce à un premier court-métrage “Trou de balle”, réalisé en 1993 et présenté la même année à l’Avignon/New-York Film Festival, festival organisé à Avignon jusqu’en 2008, où il avait eu l’honneur de recevoir son premier prix. Le début d’une longue série de récompenses : ses trois autres courts-métrages (“En attendant bébé”, “La balade d’Alice” et “Soleils divers”) ont aussi été présentés et primés sur ce même festival local. Son frère s'occupe de la musique

Avec « Le 1 », Eric Fottorino veut réinventer le journal LE MONDE | • Mis à jour le | Alexis Delcambre Peut-on encore lancer des journaux en 2014 ? « Oui ! », répondent avec enthousiasme l'ancien directeur du Monde Eric Fottorino et ses complices, Laurent Greilsamer, qui le secondait au quotidien, et Natalie Thiriez, son épouse, qui devaient inaugurer, mercredi 9 avril, Le 1, un nouvel hebdomadaire présenté comme « une nouvelle expérience de presse ». Il est vrai que Le 1 ne ressemble en rien à ses aînés. Le premier d'entre eux demande ainsi : « La France fait-elle encore rêver ? « Le 1 est né d'une envie forte de faire table rase, de repartir de zéro en s'interrogeant sur la crise de la presse papier, raconte Eric Fottorino. Pour donner corps à cette vision, les trois fondateurs se sont associés à Henry Hermand, une figure du monde de la presse et de la gauche réformiste, qui a notamment collaboré à la revue Esprit, dans les années 1950, et racheté Le Matin de Paris, dans les années 1980. Parmi les « sages » réunis par M.

Le mind mapping, arme fatale du community manager Cet article a été publié il y a 3 ans 2 mois 4 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Le mind mapping (également connu sous le nom de carte heuristique) se présente sous la forme d’une arborescence, formée autour d’un concept central dont découlent plusieurs ramifications, par association d’idées. C’est tout simple, et à vrai dire cela n’a rien de novateur, mais c’est une méthode précieuse pour structurer sa pensée dans deux cas paradoxalement opposés : soit quand votre tête fourmille d’idées au point que vous avez peur d’en oublier une dans l’excitation, soit quand vous manquez cruellement d’inspiration et qu’un peu de logique ne vous ferait pas de mal. On trouve en ligne de nombreux logiciels gratuits pour s’initier au mind mapping (Freemind, XMind, Bubbl.us pour ne citer qu’eux… ), mais bien sûr, on peut tout aussi bien dessiner sa carte heuristique sur une simple feuille de papier !

Les journalistes sont-ils conservateurs? - Idées Ce n’est ni un restaurant, ni un réseau social, ni un espace culturel, encore moins un plateau télé, un bar ou un incubateur de start up. Non, Libération est un journal. « Nous sommes un journal » ne cessent de proclamer les salariés de Libé depuis le 8 février dernier, depuis qu’ils ont découvert que les actionnaires ambitionnaient de faire de l’immeuble qui les abrite à Paris un « Flore du XXIe siècle », et de transformer le quotidien en « un réseau social créateur de contenus monétisables sur une large palette de supports multimédias ». Chaque jour, Libé consacre donc une de ses pages à réaffirmer son identité. Un combat dans lequel se retrouvent bon nombre de journalistes, confrontés eux aussi à un avenir incertain. Sibylle Vincendon, Pascal Riché, Erwan Ruty et Jean-Marie Charon JCF © Radio France « Les journalistes sont-ils conservateurs ? C’est notre sujet du jour : Suivez-nous aussi sur :

La sidération du troisième lieu Vous n’êtes pas parfois excédés par la référence (révérence ?) réitérée à la bibliothèque comme troisième lieu ? Ce troisième lieu (il ne s’agit pas ici du bar lesbien des nuits parisiennes ) revient en boucle comme une incantation. Ce fameux troisième lieu chante la gloire d’espaces accueillants et ouverts, autorisant de multiples postures, facilitant la diversité des comportements, offrant l’opportunité d’un havre chaleureux entre la maison (ce 1er lieu avec les gosses qui crient et le conjoint qui fait la g…) et le travail (un 2e lieu au rythme stakhanoviste et au patron qui fait la g…). Idea store Londres Le lieu comme espoir de légitimité ? Un vieux ‘adulte expérimenté’ comme moi a l’impression de revivre les sidérations du siècle dernier qui voyaient dans les médiathèques le summum de la modernité : en introduisant hardiment la musique, les films, les manifestations culturelles, chacun pensait conjurer la honte du has-been et mobiliser ainsi les foules… lemmings ). Like this:

Qui sommes nous ? Le Bondy Blog est un média en ligne qui a pour objectif de raconter les quartiers populaires et de faire entendre leur voix dans le grand débat national. Pour cela, il publie le travail d’une cinquantaine de jeunes citoyens, c’est-à-dire des jeunes en formation, en début de carrière professionnelle ou en recherche d’emploi. La plupart résident en Seine-Saint-Denis. C’est là que le blog a été ouvert en novembre 2005 par le magazine suisse l’Hebdo, pendant les émeutes de banlieue. L’Hebdo s’est retiré de l’expérience trois mois plus tard mais garde certaines collaborations avec l’association qui a repris le blog et lui a cédé les droits du livre Bondy Blog publié en avril 2006 aux éditions du Seuil, pour lui permettre de démarrer. Fin 2006, afin d’étendre sa couverture à l’ensemble du territoire national, le Bondy Blog a passé un accord avec Sciences-Po Paris. En 2007, l’audience du Bondy Blog a été de 200 000 visiteurs par mois en moyenne. Télécharger le dossier de presse Bondy Blog.

Comment faire un nuage de mot(s) dans un mot J’ai eu une petite commande récemment qui consistait à insérer une nuage de mots dans un mot. J’ai choisi le mot AMOUR (1) pour l’exercice. 1) aller sur le site gzaas.com. Ce site est normalement fait pour envoyer des twitts. Mais je l’utilise pour fabriquer mes vignettes. Dans l’exercice il faut choisir, une police convenable (chewy ((2), des lettres en noir (3) et un fond blanc (4) Il faudra ensuite faire une copie d’écran. Ensuite, je lance le logiciel photoscape (liste de sites pour télécharger photoscape) et rogner la copie d’écran, puis appuyer sur Enregistrer (en bas à droite). Et voilà le résultat de l’image récupérée. Pour faire un nuage de mots plutôt sophistiqué, il faut aller sur le site htagxedo.com. Vous allez déjà avoir un beau résultat avec la forme par défaut, mais il faut maintenant créer le nuage de mot dans l’image avec le mot « AMOUR ». Ajuster si nécessaire les paramètres comme blur (1) qui permet de grossir les caractères, puis appuyer sur Accept (2).

L'Encyclopédie : longtemps avant Internet - Histoire Internet, cette immense mutation destinée à marquer puissamment l’évolution de l’humanité, modifie d’ores et déjà en profondeur, sous nos yeux, la mise à disposition sous forme encyclopédique des connaissances universelles. De clic en clic on peut aller chercher sur la toile des informations concernant toutes choses d’autrefois et d’aujourd’hui. La grande entreprise de Wikipedia, dont les couleurs bleues sont désormais familières en particulier à tous les écoliers et étudiants du monde, sert cette aspiration avec un éclat spécifique. Vers 1770, un folliculaire avait produit ce quatrain ironique : « Voici donc l’Encyclopédie / Quel bonheur pour les ignorants ! Il me semble que beaucoup d’esprits chagrins auraient à présent le goût de réaffuter ces vers en direction d’Internet. Programmation sonore : - Lucien FEBVRE, dans la Tribune de l’Histoire, présentée par Paul PERONNET, le 3 janvier 1949. Bibliographie : - Daniel ROCHE, La France des Lumières, Fayard, 1993.

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