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Les nouveaux usages de la voiture en ville

Les nouveaux usages de la voiture en ville
En ville, les usages évoluent et la diminution de la part modale de la voiture personnelle est réelle. S’appuyant sur l’essor du numérique, ces modes de transport cherchent à s’intégrer dans le paysage urbain. Startups, villes, grands acteurs de la mobilité, tous se mettent à proposer ce type de services et cherchent à se positionner sur la voiture partagée et à la demande. Etat de la situation. I/ En ville, l’usage de la voiture évolue Depuis plusieurs décennies, la voiture est le moyen de transport privilégié des français. Ce constat s’applique surtout dans les zones les plus urbanisées : au cours des dix dernières années, l’usage de la voiture personnelle dans les centres villes a fortement diminué au profit d’un usage croissant de modes alternatifs tels que les modes doux, les transports en commun ou encore l’autopartage [3]. II/ Les nouvelles mobilités portées par le numérique III/ Les acteurs traditionnels se mobilisent

Les villes européennes engagent des politiques innovantes de transport mais le développement du transport aérien annule les réductions d'émissions obtenues en ville. L’évolution du transport urbain n’est que l’un des thèmes abordés dans l'édition 2013 du rapport annuel de l'Agence européenne pour l'environnement (AEE) publié dans le contexte du mécanisme de rapport sur les transports et l'environnement (TERM). Le rapport présente une analyse complète de l'impact des transports sur l'environnement dans l'Union. Le transport urbain a un effet sensible sur la qualité de vie pour les trois quarts des citadins européens. Le transport routier est l’une des principales sources de pollution de l'air en ville. Une forte proportion de la population urbaine est exposée à des niveaux de polluantsen supérieurs aux normes de l'UE et de l'Organisation mondiale de la Santé. La gravité de cette situation a été soulignée en octobre 2013 quand l'ONU a classé la pollution de l'air extérieur comme cancérigène. Les bruits généré&s par la circulation sont un problème de santé majeur dans de nombreuses villes de l'Union. La voiture une idée du passé

Comment se forme un embouteillage? Comme prévu les routes des vacances étaient particulièrement encombrées samedi 10 août. Il y avait en milieu de journée plus de 700 kilomètres de bouchons sur les routes françaises essentiellement dans le sud-est et le sud-ouest du pays. Tout devrait rentrer dans l'ordre dimanche. Les routes étaient samedi tout simplement saturées. Mais comment donc se forme un embouteillage et comment il se résorbe? publicité Car les embouteillages, c'est de l'économie. Un embouteillage se déclenche donc à l'instant et à l'endroit où la demande dépasse l'offre: si 8.000 voitures se retrouvent sur une autoroute à trois voies qui ne peut contenir que 6.000 voitures, c'est le bouchon! Remorques et pluie comme facteurs aggravants Une pluie forte diminue la capacité d'une route d'environ 10% la vitesse baisse et les écarts entre les véhicules sont plus importants: donc plus il pleut, plus un embouteillage se forme rapidement. Des voies supplémentaires dynamiques Faire confiance au Bison Cécile Dehesdin

Renouveler les transports publics : intelligences économiques Nous avons donc trouvé judicieux de rebondir sur la brûlante et sempiternelle question de la gratuité des transports publics, pour s’interroger plus généralement sur les modèles économiques vieillissants de la mobilité collective. Vous trouverez dans ce texte les réponses à ces questions, et quelques autres. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’économie des transports sans jamais oser le demander, en somme… Un modèle économique à bout de souffle © Lou Marzloff / Flickr En France, l’économie des transports en commun fonctionne selon un modèle simple : les dépenses d’exploitation doivent être principalement couvertes par les recettes commerciales et par la taxe employeurs (versement transport). Tous les moyens ou presque sont alors régulièrement envisagés et discutés, revenant de manière cyclique sur le devant de la scène. La fin d’un cycle d’usages Pour y pallier, les usagers eux-mêmes mettent la main à la patte pour se construire en communautés d’intérêts grâce au numérique.

De Tokyo à Londres en passant par Paris : Faut-il supprimer la voiture ? De Tokyo à Londres en passant par Paris : Faut-il supprimer la voiture ? Christophe Boltanski pour Nouvel Obs (France) Le 17-09-2007 La chasse à la bagnole est ouverte. A droite, deux policiers verbalisent un jeune motard, coupable d’avoir remonté la bande d’arrêt d’urgence. Des murs antibruit, recouverts de graffitis, forment leur horizon immédiat. Non, il n’y a plus d’automobilistes heureux. Longtemps associée à la voiture, elle accole son nom, depuis le début de l’été, à un moyen de locomotion beaucoup plus rudimentaire. Vélib’ ne cesse de faire de nouveaux adeptes. Le système séduit par-delà les frontières. Dans les grandes villes françaises et européennes, c’est la fin du tout-voiture. Pour parvenir à ses fins, chacun a sa méthode. On n’est pas dans l’épiphénomène. Autrefois, des écolos qui, comme lui, appelaient à la croisade antivoitures, prêchaient dans le désert. Christian Gérondeau, le président de la Fédération française des Automobile-Clubs, en convient. Alors, que faire ?

A quoi ressembleront les transports en commun dans 20 ans La construction de nouveaux transports en commun demande de l’argent et du temps. Dans ces conditions, il n’est pas inutile de se demander si les transports en commun (métro, tramway) seront encore nécessaires en 2030 ? Si les évolutions de la ville et de la société ne vont pas modifier nos rapports avec ces équipements collectifs ? A partir de ces questions, les urbanistes de Deuxdegrés proposent quelques pistes prospectives inspirées des projets urbains en cours. Deuxdegrés est une agence de programmation urbaine et de prospective qui travaille sur les usages de la ville et les spécificités territoriales. 1 – Le quartier de proximité La proximité est l’idéal urbain de ces dernières années. Par ailleurs, quel que soit votre lieu de résidence, vous aurez bientôt accès aux mêmes produits. 2 – Le transport de proximité 3 – Les nouveaux espaces collectifs Les transports en commun pourraient remplir dans l’avenir un rôle d’espace collectif.

Contexte et enjeux , Transport et mobilité , Dans quels domaines agir ? Chiffres clés 2007 : le CO2 représente 96.2 % des émissions de GES du secteurle transport routier est responsable de 93.6 % des émissions de CO2 du secteurle part automobile francçais émet 174 g de CO2/km (objectif 2020 : 130 g/km)les consommations de carburant du secteur aérien ont augmenté de 87 % depuis 1990 Le développement économique de ces trente dernières années a entrainé une augmentation forte de nos besoins en mobilité, devenue indispensable à nos modes de vie actuels. La voiture, de par sa praticité et la flexibilité qu’elle offre à ses utilisateurs, s’est imposée comme le mode de transport principal des ménages. Une mobilité croissante La mobilité croissante des ménages s’est conjuguée à une augmentation constante des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées aux transports (+19,1% depuis 1990). Le rôle essentiel des collectivités territoriales La vision « transport » n’est pas une simple question de véhicules et d’offre de déplacements doux.

TRANSPORTS EN COMMUN GRATUITS: L'EXEMPLE D'AUBAGNE La communauté d'agglomération du pays d'Aubagne et de l'Etoile a instauré la gratuité des transports publics pour tous depuis le 15 mai 2009, dans une visée écologique et sociale, et à la suite d'autres villes moyennes: Colomiers (près de Toulouse) pionnière dans les années 70, puis Compiègne (Oise), plus récemment, Vitré (Ille-et-Vilaine), Châteauroux et Issoudun (Indre), Mayenne (Mayenne), Gap (Hautes-Alpes), Bar-le-Duc (Meuse), Cluses (Haute-Savoie)… La question des transports est un des problèmes importants de la communauté d’Aubagne avec 45% de personnes qui travaillent sur Marseille et l'étang de Berre. Plus de 330 000 déplacements, dont 70% en voitures, sont recensés chaque jour sur le territoire du Pays d’Aubagne et de l’Etoile. Depuis le 15 mai 2009, les lignes régulières, les services scolaires et le transport à la demande sont gratuits pour tous et sur les 12 communes du Pays d’Aubagne et de l’Etoile: aucun justificatif n'est demandé lors de l'entrée dans les bus.

9 bonnes raisons pour partir étudier à l'étranger Étudier à l’étranger vous y songer, vous tourner autour de l’idée sans être sûr ou alors vous vous dites que ce n’est pas pour vous? Et pourtant, cette expérience vous apprendrait tant! Que ce soit une année au lycée, une année ou un semestre Erasmus au cours de votre cursus universitaire ou même toute votre scolarité ou cursus universitaire à l’étranger, les possibilités sont multiples et il y en a pour tous les goûts? Tout le monde en parle, tout le monde encense cette expérience, mais pourquoi étudier à l’étranger est-il si unique? 1- Apprendre une langue étrangère. 2- S’ouvrir au monde et s’ouvrir aux autres. 3- Se chercher soi-même. 4- Se réinventer. 5- L’opportunité de voyager. 6- Booster son CV. 7- Étendez votre réseau. 8- Êtes-vous prêt à vivre la meilleure année de votre vie? 9- Parce que vous ne voudrez plus jamais rester en place. Étudier à l’étranger c’est tout ça et bien plus encore. Lucie Aidart

Musée des Transports - Histoire générale des transports En 1828, Stanislas Baudry se rend à Paris où il crée l'Entreprise Générale des Omnibus. Cette nouvelle compagnie exploite un réseau de dix lignes avec succès : on estime à 2.530.624, le nombre de voyageurs transportés entre le 11 avril et le 15 septembre 1828. C'est l'époque où, révélé par l'expérience nantaise, le besoin de transports urbains connaît une forte expansion, accélérée par les migrations paysannes vers la ville. Après l'avènement du Second Empire, la situation devenant ingérable, le Baron Haussmann, Préfet de La Seine, décide la fusion des entreprises, qui est effective en 1855. L'histoire des transports dans les villes de province est semblable à celle de Paris, avec l'apparition des omnibus au Havre (1832), à Lyon (1837), Marseille (vers 1840), Bordeaux (1854), Toulouse (1863), etc ... L'omnibus type de cette époque est une voiture à impériale, sans plate-forme avec un accès malcommode à l'impériale à l'aide d'échelons fixés sur la paroi arrière. Revenir en haut de la page

Immigration : sortir de l'idéologie pour se concentrer sur la réalité Pendant une huitaine d’années, j’ai été l’un des responsables du dossier immigration au cabinet du ministre de l’Intérieur puis à la présidence de la République, et c’est à ce titre d’ancien conseiller que je pense avoir une certaine légitimité pour m’exprimer. Dans un contexte extrêmement difficile, marqué par une formidable pression migratoire – toute une partie de la jeunesse des pays du Sud, accablée par le chômage, la misère, l’oppression ne songe qu’à émigrer en Europe – nous avons appliqué une excellente politique, la meilleure politique possible destinée à contenir le flux de population, en dépit de l’hostilité de puissants contre-pouvoirs, administratifs, juridictionnels, associatifs, idéologiques, déterminés à la combattre. En matière de lutte contre l’immigration illégale et de limitation du regroupement familial et des régularisations, par exemple, des résultats incontestables ont été obtenus. « Etre de gauche » : l’expression change de sens d’un siècle à l’autre.

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