Bruay-sur-l’Escaut: le jeu de société, un levier dans la relation humaine et le développement personnel
Ce quarantenaire, né à Arras, a fait des études aux Beaux-Arts et a mené en parallèle un cursus dans le domaine de l’animation et de l’encadrement des jeunes. Le diplôme d’État d’éducateur spécialisé en poche, il a exercé ce métier durant une quinzaine d’années et a eu recours au jeu et au média artistique comme supports à la relation humaine. « Dans les familles, je me déplaçais avec des sacs de jeux de société et j’arrivais en disant on va jouer. La pratique du jeu me permettait de mieux découvrir les différentes personnalités et de travailler sur le développement des compétences et de l’estime de soi. ». « Le jeu de société moderne fait partie de mon quotidien. Contact : www.catchupgames.com
Laurence Leveneur, Les travestissements des jeux télévisés, histoire et analyse d’un genre protéiforme
1Les travestissements des jeux télévisés est tiré de la thèse de doctorat de Laurence Leveneur, soutenue à l’université Paris 3 en 2008. Ce travail propose une étude de l’évolution des jeux télévisés, de 1950 à nos jours. Genre clé des chaînes généralistes, parce qu’il propulse l’audience et garantit la fidélisation du public pour un coût moindre, le jeu fait pourtant l’objet de critiques virulentes de la part des chercheurs et des journalistes de télévision, qui le taxent d’« élément de déculturation » (p. 9), ce qui pourrait expliquer la rareté des travaux menés jusqu’alors sur le sujet. Pourtant, il est un médium privilégié pour observer la télévision du divertissement et du spectacle, elle-même étant la traduction d’une société de plus en plus tournée vers les loisirs. Avant de se pencher sur cet effet de miroir sociétal du jeu télévisé, Laurence Leveneur propose de définir ce qu’il est via l’étude des transformations du genre au cours des cinquante dernières années.
Guide des jeux et outils ludiques pour la connaissance de soi l Les éditions Le Souffle d'Or l Accueil
L’art n’est-il qu’un divertissement ? | Annabac
Introduction Les grandes expositions attirent un public nombreux qui n’hésite pas à patienter parfois pendant des heures avant de pouvoir entrer. Dans l’imaginaire collectif l’art reste attaché à la figure du génie, de l’inventeur solitaire qui réalise des découvertes essentielles. Il est donc étonnant d’envisager que l’art ne puisse être qu’un divertissement. Ce terme a ici une signification dépréciative. On ne s’étonnera pas qu’il soit employé pour qualifier des activités ludiques ou sans prétention mais comment peut-on l’appliquer à l’art ? 1. A. Nous parlons couramment d’artistes de variétés dont le métier est de distraire un public souvent contrarié par les difficultés du quotidien. Il est indéniable que cette signification concerne la pratique artistique. Ce phénomène n’est d’ailleurs pas forcément surévalué par ceux qui le défendent. B. L’enchantement reste un critère encore formel. Ce danger menace même ceux qui commencèrent par inventer. 2. A. B. 3. A. B. Conclusion
Le bonheur, un idéal inaccessible ?
Partons des " résultats " du cours sur les rapports entre le plaisir et le bonheur. Nous devons faire le double constat suivant : (1) Le plaisir, qui n'est pas le bonheur, qui est de l'ordre de la satisfaction accidentelle et peut même nuire au bonheur, est simple à atteindre et pratiquement toujours présent dans nos vies. (2) Le bonheur, qui lui est plus essentiel pour nous, en tant qu'il est constitutif de notre être, semble difficile à se procurer, se rencontre rarement, et même peut-être jamais. Dès lors, le bonheur n'est-il pas qu'un (vain) mot ? Bonheur = état qui dure toujours, état de repos. Présupposé : les hommes seraient heureux s'ils savaient rester tranquilles chez eux, d'autant plus quand ils ont " tout pour être heureux ", qu'ils n'ont plus besoin de rien. Or, constat : les hommes ne restent jamais tranquilles chez eux même s'ils ont tout ce qu'il leur faut et qu'ils ne devraient dès lors plus rien rechercher.
BONHEUR ET SOLITUDE SONT-ILS COMPATIBLES ? | BAC PHILO COOL DISSERTATIONS
Le bonheur, c’est un état de complétude où l’on se sent heureux, en harmonie avec la nature et son environnement. Cependant, pour atteindre cet état d’osmose avec soi-même et l’existence, faut-il être seul(e) ou accompagné(e) ? Nous verrons que dans certains cas, il y a une nécessité de la solitude pour être heureux, puis nous verrons les limites de l’aspect bénéfique de l’isolement. La jalousie et l’envie sont des travers très répandus dans le genre humain, aussi le contact avec autrui est loin d’être toujours bénéfique. C’est pourquoi le philosophe Schopenhauer (philosophe allemand , XIXème siècle) dans Aphorismes sur la sagesse dans la vie disait même que « La sociabilité est un penchant dangereux et pernicieux … car il nous met en contact avec des êtres moralement mauvais, et intellectuellement bornés ou détraqués ». Rechercher la solitude est donc quelque part un comportement qui reléverait de l’instinct de survie. C’est ce qu’on appelle l’altérité. WordPress: J'aime chargement…
Le bonheur amoureux : la notion essentielle de la vie à deux
Que peuvent bien rechercher à la fois les hommes et les femmes au cours de leur existence ? Quel est le point commun entre nous tous ? Quelle est la notion qui est aussi importante, si ce n’est plus, que l’amour ? Bonjour à toutes et tous, je suis Alexandre Cormont, love coach et conférencier en vie amoureuse. Le sujet que je souhaite évoquer au cours de cet article risque bien de changer votre vie. Je vais immédiatement répondre aux trois questions posées juste un peu plus haut. En réalité, la véritable question n’est pas de savoir pourquoi le fait d’accéder au bonheur amoureux est si important, mais plutôt de se demander comment l’atteindre et surtout que signifie-t-il vraiment… Justement, vous avez de la chance car c’est ce dont je vais vous parler dès maintenant ! Alors qu’est-ce que le bonheur exactement ? L’être humain n’est pas fait pour vivre seul D’ailleurs, pour vous en rendre compte, je vous invite à faire un petit sondage autour de vous. Amicalement, Alexandre CORMONT
Bonheur et Amour
Bonjour,
Je n'avais pas encore lu cet article relatant ce tragique événement pourtant déja ancien. Dossier également intéressant pour y apprendre la notion de désengagement: ( je cite)"... le niveau de désengagement moral des participants, c'est-à-dire leur capacité à se convaincre que, dans une situation particulière, les principes éthiques ne s'appliquent pas à eux-mêmes." by meyblum_groupee_psy Mar 9