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Le bruit et la fureur

Le bruit et la fureur

Le pantalon 14-18 : les 10 films qu'il faut avoir vu - Cinéma De Chaplin à Tavernier, la Grande Guerre a laissé des traces dans le septième art. Sélection des 10 films incontournables. La magnifique intuition de Chaplin qui ne connut pas la guerre mais y jette Charlot dès 1918 (Shoulder Arms), la terreur pure du livre, puis du film de Dalton Trumbo, Johnny got his gun (1971) qui déchiquète le corps humain, la stupéfiante reconstitution des Croix de bois par Raymond Bernard (1931) ou encore La Vie et rien d’autre (1989) et Capitaine Conan (1996), les deux films de Bertrand Tavernier... autant de chefs-d’œuvre – on évitera l’expression « films culte » – à avoir vu sur la guerre de 14. 1. 2. A défaut de sauver le soldat poilu, tous ces films louent à leur manière le courage des combattants, évoquent leur humanité broyée, dénoncent la bestialité du carnage ou l’incohérence des états-majors. 3. Pourquoi Charlot est-il dans le brouillard ? 4. Chaque film a sa propre histoire et en voici quelques-unes. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Fiches pédagogiques de l'ONAC La tranchée symbolise la guerre dite de « position » et l’un des lieux d’affrontement durant ces quatre années de guerre. Description générale Les tranchées forment un système avec plusieurs lignes grossièrement parallèles et des boyaux étroits pour les communications. Entre les tranchées ennemies, c’est le « no man’s land ». Profonde de deux mètres, la tranchée dispose de banquettes surélevées pour les observateurs ou les tireurs. Vus d’avion, les tranchées et les boyaux constituent un système de circulation qui est ensuite répertorié sur des cartes. Les clichés photographiques montrent le quotidien de ces hommes soumis aux intempéries : pluie, neige, soleil, gel, etc. Les soldats ne sont généralement pas présents plus de six à huit jours en première ligne, ils rejoignent ensuite la zone de l’arrière-front. Des témoins racontent : (Louis Barthas, Les carnets de guerre de Louis Barthas, tonnelier, Paris, La découverte, 1997, p. 116, juin 1915) (Carnet de Raoul Pinat, in Paroles de Poilus.

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