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Formation au pilotage de MOOC

Mooctivity | MOOC Search Engine and Social Network Enseigner à l'UQTR Le site Enseigner à l'UQTR a été conçu pour soutenir l'enseignement et l'apprentissage à l'aide d'outils et de documents de référence destinés aux professeurs et chargés de cours de l'Université. La création de ce site s'inspire des orientations et objectifs du Plan stratégique de l'Université, 2010-2015. Le site Enseigner à l'UQTR constitue en effet un moyen de Favoriser l'excellence en pédagogie universitaire, d'Enrichir le contexte d'apprentissage et d'Évoluer avec la communauté. Comme vous le constaterez, le site Enseigner à l'UQTR est en perpétuel changement. Et, pour cause! Avec l'arrivée des technologies mobiles dans l'enseignement universitaire, et l'intégration de nouveaux équipements technologiques dans les classes multimédias et les salles de visioconférence, l'équipe du Bureau de pédagogie et de formation à distance (BPFAD) s'adapte et innove en vous proposant de nouvelles pratiques pédagogiques et en développant de nouveaux outils et guides d'accompagnement.

Cours en ligne ouvert et massif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Mook. Un cours en ligne ouvert et massif[1],[2] (CLOM[3]), également appelé cours en ligne ouvert à tous ou simplement cours en ligne (termes officiels recommandés par la Commission générale de terminologie[3]) ou encore cours en ligne ouvert aux masses[4] ; en anglais : massive open online course, dont le sigle MOOC est également utilisé dans les sources francophones), constitue un exemple de formation ouverte et à distance en télé-enseignement. Les participants aux cours, enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement par Internet. Des ressources éducatives libres sont souvent utilisées. Logo MOOC (Massive Open Online Course) Schéma présentant huit concepts-clé d'un MOOC connectiviste, concernant la relation pédagogique (en beige) et le cadre techno-organisationnels et éthiques (en bleu). Éléments de définition[modifier | modifier le code]

Blog de M@rcel : des technologies et des pédagogies qui travaillent ensemble Introduction : répondre ou débattre Ce billet portera sur la contribution de deux collègues, Alain Beitone et Margaux Osenda, qui ont publié « La pédagogie inversée : une pédagogie archaïque » (des extraits de cet article seront proposés en bleu ci-dessous) Il ne s’agit pas pour moi de « répondre » à leurs arguments ou de les démonter en tentant de démontrer combien le propos serait incorrect, inapproprié, fallacieux … Je l’ai souvent dit : en matière d’innovation (gardons ce concept pour le moment), il me paraît important de considérer tous les points de vue même ceux envers lesquels, personnellement et subjectivement, on ne peut d’emblée marquer son accord. Je reprendrai donc certains éléments de l’article en question (en bleu), non pas pour les démonter, mais pour les mettre en dialogue (socratique) avec d’autres interprétations permettant ainsi au lecteur de progresser et pourquoi pas d’expérimenter à son tour en praticien réflexif. La classe inversée n’a rien d’innovant ! I.1. I.2.

La France se lance (enfin) dans la course aux MOOCs «100% des étudiants doivent pouvoir avoir accès à des cours en ligne en 2017», tel est l’un des objectifs affichés de Geneviève Fioraso qui a présenté la semaine dernière son projet France Université Numérique (FUN). Il était temps comme le démontre un sondage d’Opinion Way qui indique que 65 % des étudiants et 78 % des enseignants du supérieur pensent que la France est en retard en la matière. Alors que seulement 5% des étudiants et 18% des enseignants disent savoir ce que sont les MOOC, il n’y a en tout cas pas de débat sémantique pour la ministre: «On veut nous vendre le terme "CLOM" mais je crois qu’aujourd’hui les MOOC se sont déjà tellement inscrits dans le paysage qu’on va continuer à les appeler comme cela », dit-elle, prononçant «mouk» quand certains en France rêvent de «moque» pour se différencier des Américains. Une plate-forme dédiée Regarder la vidéo de présentation du numérique présentée par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche HEC aura ses MOOCs.

10 points clefs pour réussir son MOOC 1. Avoir un très bon cours de départ Premier conseil, pouvant sembler évident, "il faut avant tout avoir un très bon cours comme point de départ", avance Rémi Bachelet, maître de conférence à Centrale Lille, créateur du MOOC "Gestion de projet". 2. "Il faut se rendre très disponible, beaucoup plus que ce qu'on peut imaginer au démarrage du projet", prévient Christine Vaufrey, consultante et co-créatrice de plusieurs MOOC, pour le compte notamment de Télécom Bretagne et Centrale Nantes. "La quantité de travail est l'une des principales difficultés que j'ai pu rencontrer", confirme Rémi Bachelet. 3. C'est la grosse erreur à ne pas commettre, s'accordent à dire nos trois experts. "Un cours filmé est une ressource alors qu'un MOOC est un parcours de formation, ajoute Christine Vaufrey. Ce qui n'empêche pas d'utiliser des cours filmés comme ressources dans un MOOC. Un cours filmé est une ressource alors qu'un MOOC est un parcours de formation (C. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Quels modèles économiques et pédagogiques pour les MOOC ? 1En matière de formation à distance, le modèle économique le plus souvent retenu est celui des économies d’échelles. Exprimé simplement, il s’agit de réduire les coûts par étudiant en tirant parti du fait que, dans une formation à distance les coûts fixes sont habituellement élevés alors que les coûts variables sont généralement réduits. En fonction de cette structure de coûts, il est possible de réduire les coûts fixes par étudiant en répartissant ceux-ci entre un grand nombre d’étudiants, ce qui justifie l’ambition affichée par ce type de formation de viser le grand nombre pour offrir aux apprenants une formation à prix réduit. À ce propos, John Daniel vante les mérites des méga-universités c’est-à-dire des universités qui comptent plus de 100 000 étudiants en les présentant comme une voie d’avenir pour l’université de demain, du moins pour les pays en développement. 4Pour ce qui est des coûts variables, tout dépend du modèle pédagogique que l’on a choisi d’implanter.

Les MOOC : une innovation à analyser 1Le phénomène des MOOC tel qu’il a émergé au cours de ces cinq dernières années mérite toute l’attention de la communauté universitaire : des décideurs, des enseignants, des étudiants et des chercheurs. Dans cette contribution, je tenterai de présenter les questions et enjeux qui m’apparaissent essentiels. Cependant, avant toute chose, je voudrais m’associer aux avertissements de J. Daniel (2012) : il s’agit d’un phénomène récent, l’acronyme MOOC renvoie à des pratiques pédagogiques très différentes (du xMOOC transmissif au cMOOC connectiviste) ; il existe encore très peu de recherches sérieuses sur le sujet et les sources disponibles renvoient souvent à des blogs et à des articles de presse. C’est ainsi que ma contribution doit être située par rapport au moment de son écriture : décembre 2013. 3Nous verrons plus loin dans quelle mesure on pourrait parler d’innovation. 4Cela dit, si on revient aux précurseurs, quelle innovation ont-ils voulu mettre en place ? À quels besoins répond-on ?

MOOC : quelques erreurs à ne pas commettre Concevoir un MOOC n’est pas une sinécure, qu’on se le dise. Ce n’était pas la première fois que je me lançais dans ce type de projet; aussi, je savais à quoi m’attendre en acceptant la responsabilité de le mener à bien. La tournure qu’ont pris les événements ne m’a pas surprise; néanmoins, le choc a été rude. C’est une chose de faire partie d’une équipe de MOOC, c’en est une autre que de gérer l’ensemble du processus et de réaliser l’essentiel du travail. Ma première véritable erreur, c’est de m’être lancé sans avoir terminé de produire mes ressources pédagogiques. En même temps, cette pratique ne me choque pas. Et là où j’ai commis ma seconde erreur, c’est de vouloir changer de stratégie à une semaine du lancement du cours. Par contre, même si cela fait gagner du temps au montage et au tournage cela tourne autour de 3 heures d’écriture pour une vidéo de 5 minutes, et il faut en être conscient.

MOOCs : moins de communication et plus de pédagogie, SVP L'insolent succès des Moocs (Massive open online course) doit sembler bien amer à tous ceux qui s'évertuent depuis des dizaines d'années à produire des cours à distance de grande qualité. D'un seul coup d'un seul, les plus prestigieuses des universités nord-américaine ouvrent l'accès à des milliers de cours en ligne, gratuitement, sur des plateformes dédiées, et annoncent triomphalement qu'elles visent le milliard d'apprenants. Ces universités ne se préoccupent pas de la rétention des participants; peu leur importe que 5 à 10 % d'entre eux seulement parviennent à la fin du cours. Elles ne se préoccupent pas non plus de reconnaître l'effort d'apprentissage réalisé au travers du cours, puisqu'elles ne délivrent pas de crédits universitaires en échange d'un succès à l'examen final, mais seulement un certificat que les plus chanceux ou les plus fortunés pourront échanger contre de vrais crédits dans les universités qui acceptent les certificats délivrés par EdX ou Coursera.

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