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Dans une start-up à Berlin, j’ai découvert le cynisme absolu

Crise : « Le succès des Allemands n’a rien à voir avec leurs efforts » Pourquoi la France a-t-elle décroché par rapport à l’Allemagne, en termes de compétitivité, de croissance et d’emploi ? « Made in Germany » de Guillaume Duval On attribue généralement le succès allemand aux réformes engagées en 2000 par le chancelier SPD Gerhard Schröder, dans son « agenda 2010 » : flexibilisation du marché du travail et coupes claires dans les dépenses publiques. C’est cet effort, auquel se refuseraient les Français, qui serait payé de retour aujourd’hui. Le journaliste d’Alternatives Economiques Guillaume Duval vient de signer chez Seuil un livre très éclairant sur l’Allemagne, « Made in Germany », dans lequel il remet frontalement en question ce diagnostic. Rue89 : Tu as la conviction que le succès allemand n’a rien n’a voir avec les réformes engagées par Schröder. Guillaume Duval : Avec Schröder, c’est la première fois que la gauche arrive vraiment au pouvoir en 140 ans. Mais le succès actuel des Allemands n’a rien à voir avec ces efforts qu’ils se sont imposés.

Santé au travail : Les suicides, un "cri d'alarme" pour les expe Issus d’une moindre prise en compte de l’humain, d’une individualisation du travail ou d’actions spectaculaires pour interpeller les politiques, les suicides au travail constituent un “cri d’alarme”, a estimé mardi une responsable du réseau E et P (experts en ressources humaines). Si elle a noté que les récents suicides intervenaient avec des “situations individuelles et des contextes différents”, la directrice générale d’Entreprise et Personnel, Sandra Enlart a souligné devant la presse qu’ils intervenaient après “plusieurs années d’absence de prise en compte de l’humain dans l’organisation du travail”. “Les DRH ont été très sollicités ces dernières années sur des questions d’efficacité, de respect des règles financières, ils y ont répondu, mais ce qui nous revient dans la figure c’est la façon d’appréhender le facteur humain”, a-t-elle ajouté. Mais les suicides ont aussi “à voir avec ce qui se passe dans la société, avec les attentes envers le travail et l’entreprise”, selon elle.

Attaquons ACTA Cette page recense différentes façons d'agir contre ACTA et de mieux connaître ce dangereux accord. ACTA est un accord multilatéral qui menace Internet tel que nous le connaissons ainsi que nos libertés fondamentales. Le Parlement européen votera ACTA dans son ensemble le mercredi 4 juillet, et a la possibilité rejeter cet accord une bonne fois pour toutes. En tant que citoyens, les deux choses les plus importantes à faire sont : contacter les députés européensinformer les gens des dangers d'ACTA. Contacter nos élus est la chose la plus utile que l'on puisse faire jusqu'à mercredi 4 juillet, et le vote final au Parlement européen, dernière étape de la procédure. [edit] Vous pouvez également consulter Mémoire Politique pour obtenir les coordonnées d'un eurodéputé précis. [edit] Qui contacter ? [edit] Conseils généraux Les arguments clés contre ACTA sont listés ici : ACTA : à retenir. Vous pouvez diffuser les ressources de La Quadrature et d'autres très largement : Voici quelques idées :

Eco89 Réactions Mais non, Nicolas Sarkozy n'est pas l'ennemi d'Internet : c'est en tout cas le message qu'il a voulu faire passer aux huit professionnels et blogueurs invités à déjeuner à l'Elysée , ce jeudi. Le Président a admis les limites de la loi Hadopi et annoncé la création d'un Conseil du numérique. Ceux qui attendaient de ce déjeuner la disparition de l'Hadopi et des articles du projet de loi Loppsi portant sur Internet seront déçus. « Il voulait essentiellement renouer le dialogue avec les professionnels », nous explique un des invités. « Ca s'est bien passé, même s'il n'a pas été ménagé », précise un autre : Nicolas Sarkozy aurait reconnu que la loi Hadopi contre le piratage avait ses limites : sans annoncer de nouveau texte sur le sujet, la loi Hadopi ayant déjà connu deux versions, il aurait promis d'associer les professionnels d'Internet aux prochaines mesures et à une éventuelle loi « Hadopi 3 ».

trop tard pour bien faire Billet invité. En urgence, tous ou presque s’y sont mis pour calmer les marchés : Jean-Claude Trichet, président de la BCE, a affirmé depuis Chicago qu’il était « hors de question » que la Grèce ou un autre pays de la zone euro fasse défaut. Dans un entretien au journal économique « La Tribune », Dominique Strauss Kahn, directeur général du FMI, a estimé que, faute d’une aide, les Grecs seraient « dans une situation insoutenable ». Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des finances, a déclaré que « Il s’agit maintenant pour nous de concrétiser et de transposer rapidement le plan d’aide (…) et d’envoyer ainsi un signal clair sur le fait que nous ne laisserons pas tomber la Grèce ». Enfin, l’annonce de la préparation d’une réunion des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Eurogroup, le 10 mai prochain, filtre opportunément. De leur côté, les agences de notation jouent leur partition. Le Portugal est désormais dans le collimateur, en attendant que d’autres pays soient attaqués.

Pour Merkel, le salaire minimum est une cause du chômage en Europe La chancelière allemande Angela Merkel qui prône un salaire minimum négocié branche par branche en Allemagne, a redit son opposition ferme à un salaire plancher généralisé, y voyant la cause du chômage dans certains pays d’Europe, dans un entretien jeudi au journal Bild Zeitung. La chancelière allemande, qui se pose en défenseur de l’emploi en Allemagne, voit dans le salaire minimum généralisé dont l’Allemagne est dépourvue, la «raison» qui explique que «de nombreux pays en Europe ont un taux de chômage bien plus élevé que chez nous, du fait que les salaires et le rendement ne sont pas en rapport». Avec un chômage de 6,9% enregistré en mars, l’Allemagne connaît actuellement un chômage proche de son niveau le plus bas atteint depuis la Réunification en 1990. Début mars, le Bundesrat, qui représente les seize Etats régionaux, s’était prononcé pour un salaire minimum horaire de 8,50 euros, applicable dans tout le pays, ce qui n’existe pas actuellement en Allemagne.

France Télécom met fin au «principe de mobilité des cadres» - Li Le PDG de France Télécom Didier Lombard a annoncé lundi à Annecy que l'opérateur téléphonique mettait fin "au niveau national le principe de mobilité des cadres, systématique tous les 3 ans", après suicide dans la journée d'un 24e salarié de l'entreprise en 18 mois. Lors d'une conférence de presse au sortir d'une réunion avec les représentants syndicaux du site d'Annecy, où travaillait le salarié qui s'était donné la mort le matin même, le PDG a également annoncé sa décision de "suspendre immédiatement les objectifs individuels sur ce plateau le temps d'y améliorer les conditions matérielles", et a assuré que l'ensemble des propositions des délégués du personnels" d'Annecy seraient prises en compte lors des négociations nationales sur le stress au travail. "Il y a du grain à moudre pour améliorer la méthode par laquelle nous obtenons nos objectifs. Ils n'est pas normal que l'humain ne soit pas passé en tête de nos préoccupations", a également estimé Lombard. (Source AFP)

ACTA : une eurodéputée trouve "inadmissible" l'opacité des négoc Nous vous parlions la semaine dernière du projet de rapport très caricatural présenté par la députée européen Marielle Gallo sur le renforcement des droits de propriété intellectuelle en Europe. Il préconisait notamment à la Commission Européenne de continuer ses efforts de négociation sur le Traité de Commerce Anti-Contrefaçon (ACTA), et fournissait comme seule référence un lien vers une page de Wikipedia consacrée au traité négocié secrètement par 38 états. Aucune publication officielle n'existe en effet au sujet de l'ACTA, négocié en dehors de toute organisation internationale établie, y compris l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) pourtant toute désignée. Mme Gallo se contentait de demander que la Commission Européenne puisse "informer le Parlement sur la progression et le résultat des négociations". Mais au sein-même de la commission des affaires juridiques où sévit Marielle Gallo, des voix dissidentes se font entendre.

Le Figaro Le président Nicolas Sarkozy a évoqué la création d'un Conseil du numérique français lors d'un déjeuner en présence de plusieurs acteurs de l'internet, ont annoncé plusieurs des convives en sortant du Palais de l'Elysée "J'espère que ce déjeuner va déboucher sur des choses concrètes. Il a été évoqué la création d'un Conseil du numérique français avec les professionnels de l'internet", a souligné Jean-Baptiste Descroix-Vernier, fondateur de Rentabiliweb. "Ce serait une très bonne idée de le faire avec des professionnels. "Il a abordé l'idée d'un conseil du numérique qui serait consulté dans le cadre de toutes les lois qui auraient à voir à l'internet et au numérique. "On a abordé un grand nombre de sujets liés à l'économie numérique comme Hadopi, a également déclaré Jean-Baptiste Descroix-Vernier.

nous y sommes ! Billet invité. La dynamique de la crise européenne joue désormais à plein. Tandis que les taux obligataires continuent de grimper (dépassant pour les obligations à 10 ans le seuil de 11% dans le cas de la Grèce et celui de 5% pour le Portugal), deux autres alarmes retentissent. Les taux courts grecs (à deux ans), sont plus élevés que les taux longs, signe de la crainte que la Grèce fasse désormais défaut. Les unes après les autres, les bourses baissent brutalement, en raison de la chute des valeurs financières, c’est à dire des banques. Un autre aspect de la crise n’est pas encore apparu mais est menaçant : l’abaissement de la note de la dette souveraine de plusieurs pays, en cours, va avoir comme conséquence la fermeture du guichet de liquidités de la BCE pour leurs banques, ne pouvant plus donner en garantie les obligations d’Etat, les déstabilisant totalement alors et induisant un effet domino dans toute l’Europe.

Hollande et l'équation impossible Quelques jours après l'hommage d'Hollande à Schroeder et ses réformes "courageuses", l’émission CQFD sur Itele publie un sondage BVA sur les français et le merveilleux "modèle allemand"[1] dont nous devrions parait-il nous inspirer. On y apprend que 74.% des sympathisants de gauche en ont une mauvaise opinion. (cliquez pour agrandir) Le score global des sceptiques remonte à 53% grâce... aux sympathisants de droite qui en ont TRES majoritairement une bonne opinion. Seulement, les sympathisants de droite ne sont plus que 16% à penser que le président appliquera par chez nous le fameux "modèle allemand". Au-delà de l’impossibilité à satisfaire ceux qui ont voté pour la gauche en 2012 en appliquant une politique sociale-libérale, on capte avec ces chiffres que, même s'il continue sur cette ligne, François Hollande ne contentera jamais les sympathisants de droite. Pourquoi donc poursuivre une politique à destination de ceux qui n’ont pas voté et ne voteront pas à gauche ? Articles connexes :

Le VRAI lien : by takwann Dec 8

nous avons pris ce site car tout le monde pense que c'est un exemple concret by gaetan76 Mar 16

Retour du pochoiriste C215 lors d'une tribune pour Rue89.fr sur l'évolution du street art : les pionniers, l'essence, la démocratisation. Mais aussi sur le rôle d'internet dans l'évolution du mouvement : visibilité via les réseaux sociaux, poster de photos de graffitis, marketing viral. by oceanecharlotte Feb 17

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