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La crise de 1929

La crise de 1929
La plus grave crise économique du xxe siècle, qui, provoquée par le krach boursier de Wall Street aux États-Unis le 24 octobre 1929, se propagea au monde entier, l'entraînant dans une décennie de récession marquée une augmentation massive du chômage et de la misère, mais également par de profondes transformations sociales et politiques. 1. Introduction 1.1. On fait commencer la Grande Dépression des années 1930 au « krach », c'est-à-dire à l'effondrement des valeurs qui se produit à la Bourse de New York, Wall Street, le « jeudi noir » 24 octobre 1929. Le krach n'est pas cause de la crise : il sert d'occasion à la résolution d'une situation dangereuse. 1.2. Dans l'année 1930, tout le Nouveau Monde, l'Australie et la Nouvelle-Zélande sont atteints. À la fin de 1932, 40 millions de chômeurs complets sont recensés dans le monde industrialisé ; cela rend dérisoires les statistiques sur la baisse du coût de la vie – les prix s'étant effondrés. 1.3. 2. 2.1. 2.2. L'économiste américain John K. Related:  Le chômage

Les pistes d’économistes pour faire baisser le chômage LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Béatrice Madeline Le président de la République doit présenter, lundi 18 janvier, de nouvelles mesures pour, enfin, « inverser la courbe du chômage », comme il s’y était engagé. Une fois de plus, pourrait-on dire, tant les plans se succèdent depuis plusieurs décennies pour lutter contre ce fléau : politiques de relance de la demande par la dépense, augmentation du niveau d’études, emplois aidés, emplois jeunes, aides aux entreprises sous la forme d’une diminution des charges, formation des chômeurs, développement de l’apprentissage… Et pourtant, malgré ce déploiement considérable de moyens, avec 10,6 % de sa population active sans emploi en janvier, la France ne parvient pas à résorber le chômage. Lire aussi Emploi : les patrons réclament un « électrochoc » Abaisser le coût du travail Le smic peut avoir des conséquences opposées à celles recherchées, puisqu’il accroît les inégalités en empêchant l’accès à l’emploi. Mieux cibler la formation

Plus de 75% des Français travaillent désormais dans le secteur tertiaire LE SCAN ÉCO - L'Insee offre un tableau complet des 28,6 millions de Français actifs. On y apprend que plus des trois quart travaillent dans le secteur tertiaire, que presque 90% des actifs sont salariés, et que les trois-quarts sont en CDI... Dans les «Tableaux de l'économie française 2016» publiés ce mardi, l'Insee consacre une partie de sa vaste étude sur l'emploi en France, et sa répartition par activité. On y apprend notamment que la France est devenue plus que jamais un pays de service. • 25,8 millions de Français occupent un emploi en France Sur les 50,8 millions de Français de plus de 15 ans (en 2014), 28,6 millions sont «actifs» au sens du Bureau international du travail. • 75,2% des Français «occupés» travaillent dans le secteur tertiaire Sur les 25,8 millions de Français «occupés», plus des trois-quarts travaillent dans le secteur tertiaire, tandis que l'industrie ne représente plus que 13,9% des emplois, la construction, 6,6%, et l'agriculture, 2,8%.

Pourquoi le progrès technique dope de moins en moins la croissance Et si tout cela ne servait à rien ? Les robots, l'intelligence artificielle, le big data, les algorithmes de gestion, les machines-outils connectées, les imprimantes 3D, les drones... toutes ces incroyables innovations sorties des labos de recherche et des cerveaux de la Silicon Valley. Comme ça, de but en blanc, la question peut paraître un peu brutale. A leur grande surprise, ils ont en effet découvert que ces formidables avancées technologiques ne faisaient plus guère progresser la productivité - la richesse produite à partir d'une même quantité de travail - telle jadis l'invention de la roue ou du palan. Le phénomène n'est certes pas nouveau - en 1987, le Prix Nobel d'économie américain Robert Solow s'étonnait déjà que les ordinateurs soient partout sauf dans les statistiques - mais il s'accentue année après année. >> En vidéo : L'histoire de l'invention de la valise à roulettes ou pourquoi certaines innovations évidentes sont-elles si tardives ? Simple bataille d’experts ?

Chômage : la "flexisécurité" danoise peut-elle inspirer Manuel Valls ?- 28 novembre 2014 Manuel Valls trouvera-t-il l'inspiration au Royaume du Danemark ? Le Premier ministre est en visite vendredi 28 novembre au Danemark, officiellement pour convaincre le pays de la détermination de la France à se réformer. Mais cette visite pourrait prendre une autre tournure. Le pays est considéré comme le modèle de la "flexisécurité" du marché du travail. Cela tombe à pic pour Manuel Valls, qui a relancé ces dernières semaines le débat sur une réforme de l'assurance-chômage en France. Un seul chiffre pourrait convaincre Manuel Valls que le système danois vaut le coup que l'on s'y penche sérieusement : Le Danemark affiche un taux de chômage officiel de 5%, selon les dernières statistiques.En France ? "Le Danemark est un pays qui est toujours très innovant sur le plan social, de l'environnement, des transports... ", souligne d'ailleurs un des conseillers de Manuel Valls à l'AFP. Avec une culture du consensus, du dialogue social, une social-démocratie à la danoise. Paul Laubacher

Afficher l'image d'origin Un accord désastreux pour la Grèce et pour l’Europe Peu d’économistes le contestent : réduire de nouveau les retraites et augmenter encore la TVA dans un pays exsangue ne pourra qu’aggraver la situation économique et la crise humanitaire. Aucun économiste ne le nie : la Grèce ne pourra pas rembourser sa dette, insoutenable. Pourquoi alors l’Eurogroupe, unanime, exige-t-il depuis six mois de la Grèce de nouvelles mesures d’austérité et un excédent budgétaire extravagant (3,5 % du PIB en 2017) ? Depuis six mois le gouvernement Syriza lutte courageusement pour honorer son mandat d’interrompre l’austérité. Elle va encore moins payer les salaires des fonctionnaires ou les dépenses sociales. Des milliards de sommes virtuelles Le référendum grec a été vécu comme une gifle par les dignitaires européens, une « rupture de confiance ». Il organise le retour de la « troïka » – FMI compris – à Athènes, ainsi que la soumission des projets de loi à la « troïka » avant leur examen par le Parlement grec. L’euro est-il sauvé ? Coup d’Etat financier

Coronavirus : le télétravail, nouvel idéal ? « J’ai appelé mon directeur à 8 heures. On a créé un Skype et on partage le même bureau. J’appuie sur un bouton, il voit ce que je vois », raconte Elise Geinet, responsable commerciale installée à Bordeaux dans sa cuisine, « car la pièce est grande ». Le premier atout de cette expérience hors norme est d’avoir mis en place ce qui semblait irréalisable. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : le télétravail met en danger la confidentialité des entreprises Certains métiers (cardiologue, député) ou certaines activités (la gestion de projets) excluaient également le travail à distance. « Remettre sur les rails un projet qui se développe en Asie sans se rendre sur place paraissait inconcevable », reconnaît Vinciane Beauchene, directrice associée au Boston Consulting Group.

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