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Les quatre piliers et les dix tendances de la smart city

Les quatre piliers et les dix tendances de la smart city
On parle beaucoup de smart city ou de smart cités. Être smart, c’est recourir à un réseau toujours plus puissant d’infrastructures et de services numériques. C’est aussi être à la mode. La «ville intelligente»: promesse ou chimère? Ce n’est pas la métropole qui est elle-même intelligente (à l’inverse, que serait une ville sotte?) Le sujet est international et concerne l’ensemble des zones urbaines, des plus opulentes aux plus déshéritées, des plus anciennes aux plus récentes. S’il n’est absolument pas certain que les données puissent autant changer la ville que l’électricité (comme le soutient une partie de la littérature spécialisée) ni que le big data conduise à transformer la gestion municipale en Big Brother (comme le soutient une autre partie de la littérature spécialisée), le sujet n’en reste pas moins capital. Un écosystème intelligent, pour les gens, avec les gens Les meilleures métaphores pour les villes sont celles qui les décrivent comme des organismes vivants. 1. 2. 3. 4. 1.

DOSSIER • Bienvenue dans les villes du futur De Masdar (Emirats arabes unis), véritable cité-laboratoire, à Songdo (Corée du Sud), les projets de développement urbain basés sur un usage massif des nouvelles technologies sont souvent d’origine privée. Un progrès pour l’humanité ? Courrier international 31 janvier 2014 | Partager : D’ici à 2050, le nombre de citadins devrait doubler à la surface du globe, passant de 3,6 milliards en 2011 à plus de 6 milliards. Les articles suivants font partie d'un dossier spécial villes du futur dans notre hebdomadaire n°1213 – Il est disponible chez votre marchand de journaux du 30 janvier au 5 février 2014. ÉDITORIAL Dessine-moi une ville (intelligente) Les villes utopiques ont toujours fait fantasmer les écrivains. EN VIDÉO Construire le futur, l'exemple de Masdar, une ville écologique

Quel « retour de force » pour la ville intelligente ? L’année 2014 serait donc « l’année zéro » de la Smart City, selon un tout récent rapport du bureau d’analyse IDC Government Insights. « Enfin ! », aimerait-on ajouter, tant la ville intelligente nous est promise depuis belle lurette (nous l’avions d’ailleurs mesuré lors de notre bilan 2013). Autant dire que nous étions à deux doigts de ranger cette étude au placard des arlésiennes du numérique… Loin de nous l’idée de contredire ces prophéties valeureuses – bien qu’on reste sceptique sur certains chiffres sortis de leurs chapeaux, en particulier ce « 15% de villes » qui entameraient leur transition vers le Smart cette année –, mais il nous semblait utile de ramener sur terre quelques unes de ces belles annonces. Inutile de revenir sur le caractère chimérique des technologies urbaines ; d’autres s’en sont parfaitement chargés. Co-création assistée Preuve par l’exemple Mais cette raison se révèle l’arbre qui cache la forêt. Un retour sur investissement citoyen Le réel en réécriture

L’enjeu planétaire de la ville intelligente En 2008, l’ONU a publié un rapport indiquant que plus de 50 % des humains de la planète habitaient dans des villes. D’où l’importance des technologies numériques pour répondre aux défis posés. Le monde est désormais majoritairement urbain. Le basculement est très rapide : en 2030, six habitants de la planète sur dix vivront dans des villes et sept sur dix en 2050. Les mégalopoles étendent leur empire rapidement : 10 % des habitants de la planète vivent dans des villes de plus de 10 millions d’habitants. Les fournisseurs IT sont impliqués sur ce marché depuis plusieurs années. Pourtant, un rapport publié en 2012 par le cabinet Ovum expliquait que les fournisseurs IT perdaient du terrain face aux autres concurrents venant d’autres secteurs : les industriels de l’énergie, du BTP, les utilities, les entreprises de transport et même les banques. Efficace, innovante, participative : comment rendre la ville plus intelligente ? Les services numériques attendus par les Français I. II. III. IV.

Imaginons à quoi pourrait ressembler une ville intelligente / Let’s imagine what a "smart city" could look like… « Mémoire morte » (this title could be translated either by « Read-Only Memory » or « Dead Memory ») is neither the latest album nor the most original one of Marc-Antoine Mathieu (a famous french comic-books author, who received many awards at Angoulême Festival). But in a way, it could be considered as one of his most visionary creation. Published for the first time in march 2000, « Mémoire morte » is a complete black and white comic book. Its sci-fi universe and script evoke both George Orwell’s and Franz Kafka’s novels. « Mémoire morte » n’est ni la plus récente ni la plus originale des oeuvres de Marc-Antoine Mathieu (célèbre auteur-dessinateur de BD, plusieurs fois récompensé au Festival d’Angoulême et ailleurs) mais c’est certainement l’une de ses plus visionnaires. English Français Reference English Sorry, no translation yet. Français Les rues verticales de la Cité, dans lesquelles dominent les panneaux d’informations ou de publicités. « Qui je suis ? « Voilà bien votre problème.

La ville intelligente, ultime utopie avant un chaos urbain généralisé ? | Blog Télécoms, Médias, Innovations et Stratégies Digitales de Sia Partners Cet article a permis à son auteur Fanny Dabard, Mines de Paris-ISIGE, de remporter le 1er prix lors du Concours étudiant Génération mobilité, organisé par Sia Partners, JobTeaser.com et Orange Aussi neuf et incertain qu’il soit encore, le concept de « ville intelligente » [« V.I. »] suscite un engouement qui n’est pas sans rappeler celui de la « fée électricité » à la Belle-Epoque. L’essayiste Jérémy Rifkin appelle au développement des technologiques informatiques dont les VI. dépendent dans l’espoir d’une « troisième révolution industrielle ». Mais les prototypes récemment sortis de terre laissent craindre que les solutions vantées ne soient pas à la hauteur du chaos urbain généralisé qui s’annonce et qu’elles fassent perdre un temps précieux à une indispensable transition vers la « ville durable ». Un engouement croissant, une offre encore immature et segmentée Le Corbusier estimait que « là où naît l’ordre, naît le bien-être » et rêvait de faire de la maison une « machine à habiter ».

Ville intelligente et ville participative : comment concilier les deux ? Smart City (crédit photo: Regiars) J'ai eu la chance d'assister à la 3ème édition du «Smart City Expo World Congress » du 19 au 21 novembre à Barcelone. Ce congrès mondial des villes intelligentes se donne pour but de repenser le système traditionnel de la ville à travers le prisme de la durabilité et des technologies.Mais si le concept de "ville intelligente" provoque un grand engouement en ce moment, il dissimule aussi des initiatives dont il est essentiel de débattre afin de ne pas reproduire certaines erreurs du passé et de replacer le citoyen au coeur de son environnement. J'ai pu remarquer, paradoxalement, une parfaite illustration du fait que nous avons un problème avec le concept de "smart city" ou "ville intelligente" tel qu'il est utilisé aujourd'hui. Prenons deux exemples: Lors d'un panel sur les solutions mobiles Maria Serrano (Schneider Electric) a présenté une solution séduisante de mobilier urbain. Vue du centre-ville de Songdo en 2011 (Crédit photo: El Trekero)

Intelligente et connectée - La ville du futur En juin 2014, la ville de Montpellier et la firme américaine IBM annonçaient la signature d’un contrat visant à faire de la huitième plus grande ville de France une « ville intelligente ». Avec Cisco, Siemens ou encore Orange pour la France, IBM fait partie des pionniers d’un marché qui pourrait atteindre, d’ici à 2020, 1500 milliards de dollars. Des quartiers plus sûrs. Slogan d’IBM sur sa page consacrée aux solutions réseaux dédiées aux villes intelligentes. Voilà les promesses des villes intelligentes, du moins telles qu’elles sont vendues par les grands acteurs privés du secteur. "Si l’expression « ville intelligente » est avant tout un argument marketing qui manque clairement d’une définition stable et claire, prévient le site spécialisé dans l'information numérique ZDNet.fr, elle permet néanmoins de regrouper sous une même appellation toute une série d’applications Big Data ou d’analytique pensées pour améliorer la gestion de l’urbanisme." Par Cyril Charon et Nora Laufer

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