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Le livre "L’open data, comprendre l’ouverture des données publiques" (Simon Chignard, Fyp Editions mars 2012, préface de Jacques-François Marchandise, FING) Pour acheter le livre en ligne (sur Amazon.fr), cliquer sur le lien suivant : L’Open data La donnée est au coeur du fonctionnement des institutions publiques, de l’Etat aux collectivités. Elle permet d’aider à la décision, d’évaluer les politiques mises en oeuvre ou de faire vivre les services urbains de notre vie quotidienne (transports, vie culturelle, économie, politique sociale, …). L’open data consiste à mettre à disposition toutes les données publiques numériques non nominatives, ne relevant pas de la vie privée ni de la sécurité. Ce livre montre comme l’open data peut être source d’innovation tant pour les institutions que pour ceux qui réutilisent les données publiques, dans les domaines économiques, culturels et sociaux: comment concrètement initier et animer une démarche d’ouverture de données publiques ? Like this: J'aime chargement…

Human Footprint Interactive Geographers study the Earth and its physical features, inhabitants, and cultural phenomenon. They examine the physical and human characteristics of a region, ranging in scale from local to global, to explain an event or solve a problem. While many geographers have at least a bachelor’s degree in geography, many professionals, such as teachers, traffic consultants, and doctors, must also use geography in their jobs when examining specific challenges and solutions to issues. This geo-story introduces you to some of these folks who use geography. Each story point includes images, a short bio, and an interactive mapping tool that allows you to see the regions where these people work.

Crisis Mappers - THE HUMANITARIAN TECHNOLOGY NETWORK Data journalism at the Guardian: what is it and how do we do it? | News Data journalism. What is it and how is it changing? Photograph: Alamy Here's an interesting thing: data journalism is becoming part of the establishment. Two years ago, when we launched the Datablog, all this was new. Meanwhile every day brings newer and more innovative journalists into the field, and with them new skills and techniques. These are some of the threads from my recent talks I thought it would be good to put in one place - especially now we've got an honourable mention in the Knight Batten award for journalistic innovation. 1. Florence Nightingale's 'coxcomb' diagram on mortality in the army Data journalism has been around as long as there's been data - certainly at least since Florence Nightingale's famous graphics and report into the conditions faced by British soldiers of 1858. The big difference? 2. 3. Sometimes. 4. Read more about this map The datasets are getting massive - 391,000 records for Wikileaks' Iraq release, millions for the Treasury Coins database. 5. 6. 7.

Google Fights to Save 3,054 Languages Will you be any worse off the moment humans cease to speak in Aragonese? How about Navajo or Ojibwa? Or Koro, a language only just discovered in a tiny corner of northeast India? No, you probably wouldn't, not in that moment. But humanity would be. Science, art and culture would be. If there is hope, it lies in the world's centers of information — such as Google. The site, launched early Thursday, features videos and an interactive map. You can hear the heartbreaking, beautiful sound of Koro being sung, or read 18th century manuscripts written in a nearly-dead Native American tongue. The idea is to unite a lot of smaller preservation efforts under the Google.org banner. Check out the project's video below, and let us know in the comments: how else can 21st century technology help save ancient languages?

Geeks Without Bounds « Pour faire du datajournalisme, il faut savoir maîtriser Excel » Nicolas Kayser-Bril, datajournaliste chez Owni | Data News Vidéo – Star française du Data Journalisme, NKB répond à Data News pour une interview 75% data et 25% LoL, parce qu’il faut pas déconner, quand même. DataNews : Ca fait un moment qu’on parle du data journalisme et de l’ouverture des données, où en est-on aujourd’hui ? Nicolas Kayser-Bril : L’accès aux données reste très compliqué encore aujourd’hui. Pas mal d’initiatives ont lieu sur l’ouverture des données publiques mais on reste dans une logique très topdown où c’est le décideur qui va gracieusement mettre en ligne cinq ou dix jeux de données. C’est ce qui s’est passé pour l’ouverture des données publiques à Paris où on nous présente quinze jeux de données et on nous dit “voilà on a ouvert !”. Mais avoir le nombre de naissances par hôpital à Paris, ce n’est pas très intéressant. Y a t-il plus de datajournalistes ? Je ne sais pas s’il y a plus de data journalistes. Les grands médias s’ouvrent-ils au datajournalisme ? Tu as vu naître des vocations de datajournaliste ? Non je ne pense pas.

Vanishing Cultures Photography GISCorps - Home Journaliste de données : data as storytelling Par Hubert Guillaud le 09/07/10 | 8 commentaires | 4,135 lectures | Impression En préfiguration de Lift France, l’un des ateliers était consacré au Journalisme de données, cette “nouvelle” façon de faire du journalisme, en utilisant les données comme matériel pour construire de l’information. Qu’est-ce que le data journalisme ? Quels sont les enjeux ? Le journalisme de données, c’est l’exploitation de données sous des formats plus ou moins structurés, explique Lideth Rodriguez Solorzano, animatrice de l’atelier. Une narration visuelle Pour Caroline Goulard, qui vient de lancer le site ActuVisu (blog), un laboratoire étudiant de la visualisation de données, ce qui définit cette nouvelle profession ce sont les données. C’est un usage qui vient s’ajouter aux autres formes de journalisme, pour conceptualiser et visualiser l’information. Les chiffres sont aussi subjectifs que les mots La visualisation… un outil relationnel ou une machine à cash ? “Mais la donnée est-elle de l’information ?”

PriceStats ® Données le vertige Des flots d’octets, un océan de données, un déluge de connaissances… A mesure qu’Internet tisse sa toile, le volume d’informations numérisées n’en finit plus d’exploser. D’ici huit ans, cette masse vertigineuse de «datas» sera 50 fois supérieure à ce qu’elle est aujourd’hui, prédit le cabinet d’études IDC. Et il faudra dix fois plus de serveurs informatiques pour espérer gérer cette déferlante. Pas par crainte d’être submergés, mais plutôt pour être en mesure de retrouver, d’extraire et d’exploiter cette nouvelle manne. Il y a vingt ans, nous stockions encore nos fichiers sur des disques durs de quelques mégaoctets (1 Mo équivaut à 1 000 000 d’octets, soit 106 octets, 1 octet valant 8 bits ; le bit est l’unité de base en informatique, à savoir un 0 ou un 1). Photo: Emmanuel Pierrot.Vu pour Libération «Capteurs». C’est là qu’intervient une nouvelle discipline : le «big data». Mesagraph fournit ainsi à Canal + une modélisation de son audience à partir des conversations sur Twitter.

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