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Réseau social d'entreprises : les bonnes pratiques pour réussir son projet

Réseau social d'entreprises : les bonnes pratiques pour réussir son projet
De la préparation à la mise en œuvre en passant par la promotion des résultats, un projet de RSE ne peut pas s'improviser. Voici une synthèse des 11 fiches pratiques de Knowledge Consult publiées sur le JDN. 1 / Elaborer une vision Bien plus que la simple description d'une cible ou la définition d'objectifs, l'élaboration d'une vision va permettre de donner un véritable sens au projet de déploiement du Réseau Social d'Entreprise (RSE). 2 / Identifier les résistances Introduisant de nouvelles pratiques de collaboration et de communication, le RSE va fort probablement soulever des résistances de différentes natures. 3 / Structurer le projet Très dépendante du contexte, du périmètre de déploiement mais aussi de la maturité de l'organisation par rapport au travail collaboratif et à la communication transversale, la structuration du projet de RSE est un élément clé de sa réussite. 4 / Choisir une plateforme 5 / Déployer des communautés "Les communautés peuvent être de projets ou de pratiques"

PagePrincipale Réseau Social d’Entreprise : le rôle clé des managers par @vincentbouthors 01net. le 29/05/13 à 07h00 Les managers ont un rôle clé dans l’adoption d’un RSE. Ils doivent à la fois éviter d'étouffer les volontés de coopération de leurs équipes et leur faire adopter de nouvelles pratiques managériales plus participatives. Un rôle clé L’implication des cadres est probablement le principal facteur de succès pour le déploiement d’un RSE. Pour les réseaux sociaux grand public, les entreprises font appel à des Community Managers. Dans les entreprises du savoir, le type de management peut constituer un avantage concurrentiel. Les facteurs de risque Il faut cependant prendre conscience que le discours entourant les RSE et l’entreprise 2.0 peut avoir de quoi inquiéter. Malheureusement, certains managers assoient leur pouvoir sur l’autorité et la rétention d’informations. Les facteurs de succès Pour réussir le projet RSE, et développer la collaboration, il est donc indispensable de convaincre les managers. Vincent Bouthors

Former en entreprise grâce aux Réseaux Sociaux d'Entreprise Temps de lecture estimé: 6 minutes Les entreprises ont besoin d’innover dans les systèmes de formation qu’ils utilisent avec leurs employés pour les rendre plus attractifs et efficaces. Dans mon article précédent, je discutais de plusieurs facteurs à considérer au moment d’essayer de nouvelles façons de former les employés d’une organisation. Il existe déjà de nombreuses sociétés virtuelles très fréquentées qui communiquent à travers les réseaux sociaux ouverts tels que Facebook, Twitter ou LinkedIn. La combinaison de l’e-learning avec les Réseau Sociaux d’Entreprise fournit un des outils les plus innovants et performants pour arriver à former les personnes. Cela garantit que la formation soit une partie intégrante de l’activité des employés et que les contenus soient mis à jour en temps réel avec l’inclusion de micro-informations qui permettent de se tenir à jour en continu. Un autre avantage de ce type d’outils est qu’il garantit que le contenu reste dans l’organisation.

Gartner : quel réseau social pour l'entreprise ? Comme toutes les générations de solutions collaboratives avant eux, les réseaux sociaux d'entreprise se voient parés de toutes les vertus, censés révolutionner la communication entre les employés et rendre leur travail plus efficace. Or, comme par le passé, la plupart des initiatives échouent, toujours pour les mêmes raisons : les responsables de ces projets se focalisent beaucoup trop sur les technologies qu'ils mettent en place et ignorent les principes fondamentaux de la collaboration "de masse". Pour tenter de corriger ce défaut endémique, les analystes de Gartner ont établi une liste de 6 principes simples qui, s'ils sont respectés, permettent de garder le cap et d'espérer réaliser la valeur attendue d'un réseau social d'entreprise. Et pour les organisations moins avancées dans leurs ambitions, ces quelques recommandations seront également utiles car beaucoup d'entre elles sont en réalité applicables à tout projet collaboratif d'un peu d'envergure. Participation Collectif Transparence

Outils de travail collaboratif : que choisir ? Dossier complet de l’URFIST Dans le cadre des formations proposées par l’URFIST – Unité Régionale de Formation à l’Information Scientifique et Technique de Bretagne et des Pays de la Loire, les formateurs Marie-Laure Malingre (conservateur de bibliothèque) et Alexandre Serres (maître de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication) ont proposé en mai 2014 une formation qui a donné lieu à la publication d’un support en Creative Commons : Outils de travail collaboratif (voir en fin d’article). Ce support de formation fait le point en 122 diapositives sur les outils collaboratifs avec un vaste panorama complété par un pad utilisé en mode simultané par les stagiaires (questionnaire sur les pratiques, connaissances et besoins) et d’une veille en ligne en continu sur les outils collaboratifs par l’unité régionale de l’URFIST. Plus de 40 outils collaboratifs explorés Sommaire du support de court Panorama des outils de travail collaboratif Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Bretagne

SharePoint/Yammer : une intégration prometteuse, mais à long terme La semaine passée, les DSI et les responsables IT qui s'intéressent aux progrès de l'intégration de Yammer à SharePoint ont pu avoir plus de détails sur la feuille de route de Microsoft. Mais les dernières informations viennent leur rappeler la longue marche que doit encore accomplir l'éditeur pour rapprocher les deux produits. Voilà environ huit mois que Microsoft a acheté Yammer pour 1,2 milliard de dollars afin d'étendre les fonctions de collaboration sociale de SharePoint et d'autres produits Office et Dynamics. L'accord avait électrisé le marché de la collaboration sociale d'entreprise. Il avait aussi montré que Microsoft avait pris acte de l'urgence de faire évoluer SharePoint dans ce sens. L'éditeur avait déjà pris quelques mesures concernant Yammer. Une intégration qui sera longue « Les entreprises doivent bien comprendre que Microsoft essaie de trouver un équilibre délicat entre la version sur site de SharePoint et le modèle de cloud public de Yammer », a-t-il déclaré.

Yammer aide à prendre le pouls des employés Le réseau social d'entreprise ajoute une nouvelle corde à ses capacités analytiques grâce à un partenariat avec Kanjoya, un spécialiste de l'analyse des sentiments. La technologie de ce dernier est capable d'identifier quelques 80 émotions différentes au sein des conversations menées sur le réseau social : enthousiasme, gratitude, optimisme, surprise, colère, tristesse, etc. Via un tableau de bord spécifique, Crane, il est ainsi possible de juger des réactions des employés ou d'un groupe particulier d'utilisateurs (équipe métier, salariés d'une zone géographique déterminée) sur tout sujet concernant la vie de l'organisation par exemple, d'un changement survenu au niveau de la politique RH à la publication des résultats financiers de l'entreprise. Disponible pour les utilisateurs de la version Entreprise de Yammer, ce service est accessible aux administrateurs du réseau social sur simple inscription (Crane) et gratuit pour une période d'essai d'un mois.

10 bonnes résolutions pour doper la participation sur votre réseau social en 2014 par @bduperrin 01net. le 09/12/13 à 07h00 Avec la fin de l’année qui approche, les bonnes résolutions font leur apparition. En voici dix exemples, à l’usage des chefs de projet réseaux sociaux d’entreprise (RSE) ou community managers qui aimeraient voire leur bébé se dynamiser en 2014. 1°) Contribuer n’est pas leur rôle ni leur métier ! Les collaborateurs ne se lèvent pas le matin pour contribuer, ça n’est pas leur métier et ça ne fait quasiment jamais partie de leur travail à moins qu’un manager ait institutionnalisé l’utilisation du RSE dans le cadre d’un projet ou d’une activité métier. Dès lors la contribution est un acte volontaire, souvent limité aux communautés de pratiques. On va toucher 10% des collaborateurs pour qui cela a du sens, cela présente un intérêt évident voire qui sont prêts à prendre le risque. Pour les autres l’utilisation du réseau social n’est pas une question de contribution mais d’utilisation. Les seuls dont la contribution est le métier sont - souvent - les community managers.

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