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Concilier programme, progression et socle

Concilier programme, progression et socle
Comment un enseignant peut-il s’approprier les outils nationaux pour les adapter au contexte où il enseigne, à ses propres choix et compétences pédagogiques ? Peut-il espérer une quelconque efficacité s’il se lance en solitaire dans l’aventure ? Tâtonnements, réajustements, recherche d’outils, quête de regards extérieurs. Tout a commencé comme dans beaucoup d’établissements par une journée pédagogique où les équipes d’enseignants ont choisi les items du livret de compétences dont ils se chargeraient. Notre équipe de français a ensuite élaboré par niveau un plan d’année définissant pour chaque séquence les objectifs du programme et les items pouvant leur correspondre. L’obligation de valider le socle en fin de troisième met l’accent sur la question de l’évaluation. Ma façon d’apprivoiser le livret a été de contourner son aspect fragmenté en regroupant les items choisis autour de cinq compétences. Voici ma liste actuelle qui évoluera sans doute.. 1. Voir l’annexe 1 : critères et items

Visite d’une salle pour la pédagogie active Pédagogie active, pédagogie par projets, sont des pédagogies que nous pratiquons depuis de nombreuses années dans mon institution. Pourtant, il est toujours intéressant de voir comment s’organisent d’autres institutions. La vidéo en anglais ci-dessous, nous permet de faire le tour d’une salle spécifiquement organisée pour ce genre d’activités à l’Université du Minnesota. Voyons ensemble quelques caractéristiques intéressantes de leur salle de classe pour la pédagogie active. Le terme qui ressort le plus souvent de la vidéo, c’est apprentissage en profondeur. Mais pour voir comment l’espace s’organise pour supporter cette pédagogie, regardons plutôt l’organisation de la salle : des tables rondes, pour 8 élèves, pas trop grandes, et qui ainsi encouragent l’échange ;un tableau blanc par groupe, qui permet d’échanger autour d’idées, de post-its lors des phases de créativité ou d’exporation, de schémas ou d’éléments de résolution de problèmes. En résumé : Like this: J'aime chargement…

Un aménagement des salles de classe plus flexible augmenterait l'attention des élèves ÉDUCATION - L'école n'en finit plus de déchaîner les passions. En proie à la grogne du corps enseignant pour sa réforme des rythmes scolaires, le ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, a semé le trouble ce dimanche, en préconisant une réduction des vacances d'été à six semaines et réparties en deux zones avant de faire marche arrière sous les critiques de l'opposition. Mais les hommes politiques ne sont pas les seuls à s'intéresser de près à la qualité de l'enseignement des futures forces vives de la nation. Loin du tumulte médiatique, les scientifiques sont de plus en plus nombreux à se pencher sur l'environnement des lieux d'apprentissage.Une récente étude de l'Université de Salford au Rouyaume-Uni vient d'ailleurs d'établir une corrélation entre le niveau d'apprentissage des étudiants et l'agencement des salles de classe. Prime à la mobilité des infrastructures L'Université de Salford n'est pas la seule à s'être saisie du problème. 80% des étudiants satisfaits

L'éducation positive ou comment contrer la peur de l'échec Claire Bondel , maman, globe trotteuse et fondatrice d’une école bilingue, nous livre ici sa vision de l’éducation française, à l’opposé de l’éducation positive. Les français sont caractérisés par une grande peur de l’échec car on nous répète souvent enfants : « Il est interdit de se tromper ! ». Claire Bondel prône au contraire une école basée sur l’acceptation de l’erreur et la valorisation des talents. Inculquer la peur de l‘échec a quatre conséquences très néfastes : Nous gagnerions à enseigner à nos enfants qu’il existe autant de normes que de cultures. La fille de Mme Bondel répétait souvent au sujet de l’école « Je suis fatiguée d’avoir peur de me tromper ». Le travail pour se convaincre qu’on est capable de réussir (enfant ou adulte) est long et nécessite un déclic. Les enfants doivent apprendre à surmonter leurs échecs, à en faire des forces, des points d’appui pour recommencer différemment.

Pour remplacer les devoirs ? Dessin de Jack Kock pour les Cahiers Pédagogiques Supprimer les devoirs est une idée généreuse déjà assez ancienne, mais qui peine à s’imposer malgré les nombreuses restrictions ministérielles, et malgré le fait qu’il est connu et montré que les devoirs ne facilitent pas les apprentissages comme ils le devraient, et augmentent les inégalités scolaires. Pour beaucoup de parents, et d’enseignants, les devoirs restent indispensables car ils constituent le lien privilégié entre l’école et les familles. Aussi, il serait vain de supprimer les devoirs sans penser ce lien nécessaire. L’une des attentes les plus fortes des familles est en effet de savoir ce qui se passe en classe, et qui est bien souvent une boîte noire pour elles. Le cahier des apprentissages ne se confond avec le cahier d’un enseignement. Quelle forme peut prendre ce cahier d’apprentissages ? Que ne doit pas contenir ce cahier des apprentissages ? Quand et comment l’élève complète-t-il ce cahier des apprentissages ? Conclusion

101 moyens de motiver

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