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Travailler chez Google, pour le meilleur ou pour le pire ?

Travailler chez Google, pour le meilleur ou pour le pire ?
Sur Quora, des employés listent les inconvénients à travailler chez le géant du Web. Une carrière chez Google. Le rêve, n'est-ce pas ? Comment un passage chez la plus grande et plus ambitieuse entreprise du Web pourrait-il mal se passer ? Jetez un œil à ce fil Quora, sur lesquels d'anciens et actuels employés de Google critiquent les conditions de travail du "Big G". Business Insider a sélectionné ci-dessous les passages les plus intéressants. Tous les candidats sont fantastiques, alors ils peuvent se permettre d'engager la crème de la crème même pour les postes les plus banals. "Le pire, lorsque l'on travaille chez Google, est que la plupart des gens sont surqualifiés par rapport à leur poste. "Ils engagent des étudiants du top 10 des universités des Etats-Unis pour assurer le support technique des produits publicitaires de Google, retirer manuellement du contenu ayant été signalé sur YouTube, ou encore écrire du code basique pour tester la couleur d? Google n'est plus une start-up.

untitled Des conditions de travail optimales - Google Carrières Notre approche est systématiquement axée sur les données, y compris pour choisir la couleur des murs d'une salle de conférence ou le menu d'un déjeuner. Laszlo Bock, Senior Vice President, People Operations, et David Radcliffe, Vice President, Real Estate and Workplace Services, expliquent comment cette approche centrée sur les données contribue à créer des conditions de travail idéales, ayant un impact positif sur l'espérance de vie, la santé et la productivité des employés. Regarder le bulletin d'informations de CBS News (en anglais) Créer un bureau qui joint l'utile à l'agréable Si vous voulez que vos employés fassent preuve de créativité et repoussent les limites du possible… Plus d'informations Écolo pour de bon Nous voulons que les internautes aient la conscience tranquille lorsqu'ils utilisent nos produits. Plus d'informations Liberté des employés et travail de qualité Nous offrons toutes sortes d'avantages à nos employés pour assurer leur bien-être, mais… Plus d'informations

MCDONALDS : la performance trimestrielle dépasse les attentes (AOF) - Le numéro un mondial de la restauration rapide, McDonald's, a dévoilé des résultats supérieurs aux attentes au quatrième trimestre. Sur cette période, le groupe a enregistré une hausse de son bénéfice net de 1% à 1,396 milliard de dollars soit 1,38 dollar par action. Les analystes interrogés visaient en moyenne un bénéfice par action de 1,33 dollar. Son chiffre d'affaires a augmenté de 2% à 6,95 milliards de dollars. Wall Street attendait 6,89 milliards de dollars. Les ventes des magasins ouverts depuis au moins un an ont progressé de 0,1% au niveau mondial grâce à une progression de 0,3% aux Etats-Unis. Hotellerie et loisirs Selon l'Organisation Mondiale du Tourisme, en 2012, le nombre d'arrivées de touristes à travers le monde devrait évoluer de 3% à 4%.

"La culture d'entreprise, c'est de la comm' !" Pour attirer les candidats, les entreprises n’hésitent pas à parler de leurs valeurs et vanter leur « culture » propre. Un terme flou qui peut laisser sceptique les salariés. Qu’y a-t-il derrière la culture d’entreprise, à quoi sert-elle ? Comment peut-on définir la culture d’entreprise ? A la fin des années 70, différents travaux ont montré comment le travail joue sur l’identité : avoir un emploi ou non donne une position sociale. Pour certaines entreprises, c’est aussi un moyen de légitimer leur activité. Pensez-vous que les salariés adhèrent à ces discours ? Pour certains, c’est uniquement de la comm’. Quand on interroge les salariés sur ce qu’est un bon job, ils citent très vite l’équipe, l’ambiance de travail, la relation avec la hiérarchie. La culture d’entreprise sert aussi à assurer la paix sociale au sein des organisations. Comment concilier ces « valeurs » et la crise économique ? La culture d’entreprise formate-t-elle les salariés ?

Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur Une cantine gratuite, des salaires alléchants (88.000 euros par an en moyenne pour un ingénieur), des fauteuils massants ou encore 20% de temps libre pour développer ses projets personnels… A priori, Google paraît l'endroit rêvé pour tout salarié. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que le groupe américain figure régulièrement parmi les premières places des palmarès consacrant les employeurs préférés des jeunes diplômés. Si travailler chez le géant de la Silicon Valley est une expérience très enrichissante, cela peut bizarrement avoir de mauvais côtés. C'est en tout cas le point de vue de certains anciens employés de la firme de Mountain View, qui échangent leurs critiques sur un fil de discussion du site de questions-réponses Quora, repéré par Business Insider. > Des employés trop qualifiés Vu le nombre de personnes souhaitant travailler chez Google, la firme peut se permettre de ne recruter que les meilleurs éléments. > Un impact limité sur la stratégie de la société

Les concurrents d'Apple Apple a un concurrent dans les applications qui est Lydia. Ce dernier a le même concept que l'App Store. L'entreprise Apple contrôle les téléchargements des applications de leurs consommateurs tandis que Lydia permet de télécharger des applications non officielles. Mais cette concurrence accru n'est pas seulement présente dans les applications, elle l'est aussi dans la nouvelle création d'Apple : l'Ipad. Sur les Smartphones, les concurrents sont toutes les entreprises qui fabriquent des portables avec Android. Concernant les ordinateurs, toutes les marques possédant un système Windows sont des concurrents de la firme Apple. Au niveau des baladeurs, Apple détient 70% des parts du marché mais il reste certains concurrents comme Sony, Philips ou encore Samsung.

Culture d'entreprise Economie : la vie chez Google Vendredi, 18 heures : dans la cour d’un superbe hôtel particulier, au cœur du 9e arrondissement parisien, une centaine de salariés de Google trinquent sous le soleil, une bière ou une coupe de champagne à la main. Au siège français, les « Googlers », comme ils s’appellent entre eux, fêtent l’arrivée du week-end lors d’un apéritif hebdomadaire. L’occasion de se mélanger, du stagiaire au patron, et de discuter de projets parfois confidentiels. Tandis que certains jouent au ping-pong, des ingénieurs américains de passage en France se livrent, devant quelques curieux, à une démonstration en avant-première des Google Glass, des lunettes futuristes capables de recevoir des textos, équipées d’un GPS et d’une caméra. « C’est pour ce genre de projets fous que je travaille ici », glisse un salarié. Bienvenue chez Google ! « C’est une fiction, pas un film sur l’histoire de Google », tempère une porte-parole du groupe. Mini-cuisines et salle de fitness Des stagiaires en grande forme Un coup de barre ?

Apple souffre de la concurrence chinoise Pour la première fois, Apple se retrouve malmenée en bourse. En l'espace de trois mois, le géant américain vient de perdre 25% de sa valeur boursière. Mais il y a plus inquiétant puisque le groupe dirigé par Tim Cook ne publiera plus ses chiffres de ventes. En cause, l’IPhone, le produit phare de la marque, est en recul de 11% et souffre de la concurrence du marché téléphonique chinois. Inconnus il y a 10 ans, ses fabricants sont en marche pour dominer le marché mondial. Si Apple fait de la résistance, force est de constater qu'il est bousculé par les nouveaux noms de la téléphonie que sont Huawei ou encore Xiaomi. Des prix deux fois plus bas Lorsque le consommateur passe en boutique pour renouveler son équipement, il privilégie le rapport qualité-prix. Ces constructeurs ont franchi un cap. Lire la suite

Le plaisir de travailler 11 qualités que Google recherche chez ses candidats Avez-vous le profil idéal pour être engagé dans cette société qui offre des conditions de travail rêvées à ses employés ? Google reçoit entre 2,5 et 3,5 millions de candidatures par an. L'entreprise ne recrute que 4 000 personnes environ. Laszlo Bock, vice-président chargé des RH, dirige cette procédure hyper sélective. Dans des interviews au New York Times, à The Economist et à des étudiants sur Google+, le patron du recrutement révèle comment le géant de la recherche en ligne évalue ses candidats. Nous avons passé au crible ces entretiens et avons découvert les caractéristiques les plus surprenantes. Google ne recherche pas des experts "Nous préférons employer des gens intelligents et curieux, plutôt que des personnes très expérimentées dans un domaine ou un autre", déclare-t-il, tout en faisant remarquer que les individus qui ont de fortes capacités d'apprentissage parviennent généralement à trouver des réponses aux questions insolites. Google recherche des gens qui ont du cran

que sais-je ? la culture d'entreprise Google : les salariés bousculent le mythe Le géant de l'informatique, pourtant auréolé d'une réputation d'entreprise modèle, est loin d'être un Éden pour ses salariés. Entre querelles d'ego et faiblesses managériales, leurs témoignages chamboulent les idées reçues. Florilège. Fréquemment, Google est attaqué de l'extérieur. Depuis sa création, en 1998, on lui a tout reproché: politiques de confidentialité douteuses, violations de droits d'auteur, censure, etc. • «Arrogance et sexisme» «Beaucoup de gens qui travaillent chez Google ont le sentiment d'avoir tous les droits parce qu'ils sont issus de l'élite», témoigne une ancienne directrice des ressources humaines. • Une sélection drastique… mais des tâches mesquines «Ce qu'il y a de pire dans cette boîte, c'est le décalage entre l'exigence du recrutement et la simplicité d'un grand nombre de missions», écrit Vlad Patryshev, resté trois ans et demi à Mountain View. • Impossible de changer seul la donne «J'ai travaillé trois ans pour Google. • La vie en «G» • Un campus pas si sympa

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