Géographie des conflits
Comment l'Afrique peut tirer parti des défis climatiques | Info Afrique
Vendredi 5 juin 2015, à l‘occasion du Forum économique mondial sur l’Afrique, M. Kofi Annan, Président de l’Africa Progress Panel, présentait le nouveau rapport sur les progrès en Afrique : Énergie, population, planète – Saisir les opportunités énergétiques et climatiques de l’Afrique. Ce rapport démontre que l’engagement de l’Afrique dans la lutte contre le changement climatique est inextricablement lié à l’urgence de ses besoins énergétiques. Répondre à la demande des centaines de millions d’Africains sans électricité, grâce notamment aux énergies renouvelables, permettra de leur assurer un développement humain et économique résilient face au changement climatique. La lutte contre le changement climatique ne doit pas se faire aux dépens de la croissance « Nous rejetons catégoriquement l’idée selon laquelle l’Afrique doit choisir entre la croissance économique et un développement à faible émission de carbone », a déclaré Kofi Annan.
Walled world: How walls are springing up to divide populations everywhere
Justin McCurry The demilitarised zone, or DMZ, stretches for 155 miles from east to west and is lined on its northern and southern perimeters with fences topped with barbed wire to prevent invasions and defections. It first went up in 1953 after the armistice agreement detailed the exact distance both sides were required to withdraw from the frontline. The fence is regularly patrolled by troops who wear special markings to indicate to the enemy that their intentions aren’t hostile. The border is lined by observation posts and, concealed in the nearby hills and mountains, almost two million troops, including about 640,000 from South Korea and 28,000 from the US. Hundreds of South Koreans, at least 50 Americans and countless North Koreans have been killed during skirmishes over the past 60 years. Lee Jae-geun, farmer Tongil village, demilitarised zone “There are threats all the time,” he says. Lee sometimes wishes he could sell his land and farm somewhere more predictable.
Savoirs ENS
Géographie 26 résultat(s) sur le site > Vous pouvez aussi chercher parmi nos archives Le terrorisme ne se combat ni par les actions militaires ni par la guerre Pierre Conesa 11/05/2015Organisée par l'association ENS diplomatie, conférence de l'ancien haut fonctionnaire au Ministère de la Défense et spécialiste des questions stratégiques, Pierre Conesa, sur les questions de la lutte anti-terrorriste. Catégories : Les Rencontres diplomatiques Mots-clefs: historique, Israël, Palestine, témoignage, action, diplomatie, politique étrangère, Syrie, régime politique, Géopolitique, ... Défense et sécurité : quel avenir pour l'Europe ? Mondialisation et Ville Pierre Veltz 28/02/2013Conférence exceptionnelle de Pierre Veltz qui interviendra sur le thème Mondialisation et Ville donnée dans le cadre du séminaire "Mondialisations : concepts, enjeux et échelles", organisé par le département de Géographie.
Veille Géoconfluences
Info Lien à découvrir Une géographie du confinement au niveau collège - 21/04/2020 De nombreux enseignants tirent parti du confinement pour faire de la géographie autrement. Nous publions ici quelques exemples de ressources permettant de travailler sur la notion d'habiter pendant le confinement lié à l'épidémie de Covid-19. Brève Comparer les villes d’un pays à l’autre avec le « Global human settlement layer » - 20/04/2020 Une base de données regroupant 13 000 agglomérations dans le monde permet de comparer leur population, et d'autres données, à l'échelle des unités urbaines. Lien à découvrir Un sondage pour aider des chercheurs à étudier la situation actuelle - 16/04/2020 Nous diffusons le lien d'une enquête qui s'inscrit dans le cadre de la consultation francophone sur les impacts sociaux et spatiaux du Covid-19. Lien à découvrir Pendant le confinement, les cafés géographiques publient des comptes-rendus - 14/04/2020 La lettre d'information des Cafés géographiques a paru ce 13 avril.
Michel Foucher : "Frontières d’Afrique. Pour en finir avec un mythe"
AGRÉGÉ de géographie (1970), docteur d’État (Sorbonne, 1986, Les frontières des États du Tiers monde), il a enseigné à l’université Lumière Lyon II, à l’Institut d’études politiques de Lyon et au Collège d’Europe de Natolin (Varsovie). Il enseigne depuis octobre 2007 à l’École normale supérieure, à l’IEP de Paris et à l’ENA. Ses travaux portent fréquemment sur les questions d’États et de frontières, en Europe et dans le monde ainsi que sur les représentations et les projets géopolitiques des puissances établies et des nouveaux acteurs émergents. Il a fondé l’Observatoire européen de géopolitique, à Lyon, qu’il a dirigé jusqu’en 1998. Michel Foucher était intervenant au 7e Festival Géopolitique de Grenoble qui vient de se terminer sur un nouveau succès. Le partage du continent africain se fait d’abord sur les cartes par les Etats européens Le premier point de Michel Foucher dans cette démonstration concerne le respect global du principe d’intangibilité des frontières africaines de 1964.
Relectures du XIXe siècle
Sylvie Aprile, spécialiste du XIXè siècle, est professeur d’histoire contemporaine à l’université Charles de Gaulle-Lille 3. Elle propose des "relectures multiples" du XIXe siècle établies à partir des avancées de la recherche récente. Elle relit la "révolution industrielle", terme déjà utilisé vers 1830, en insistant sur les multiplicités des voies d'accès à l'industrialisation, la multiplicité des espaces concernés par ce processus, et sur la diversité des acteurs. Elle propose ensuite une relecture "politique" en évitant toute téléologie et en insistant sur l'idée que la politisation de la société ne va pas forcément de pair avec la républicanisation. Le diaporama utilisé lors de la conférence est disponible dans l'encadré "En savoir plus" en bas de la page.
L'intangibilité des frontières africaines 1964-2014 Un (...)
AU début du XXème siècle, la plupart des frontières de l’Afrique sont établies, annonçant la configuration des Etats à venir. Ces frontières tracées au gré des puissances coloniales, dans un contexte de rivalité entre celles-ci, ont dans bien des cas, fait fi des réalités ethniques, linguistiques, religieuses et politiques des peuples africains. La négligence et la méconnaissance du substrat géographique et des divisions socio-politiques traditionnelles engendrèrent une série de difficultés que les commissaires d’abornement furent les premiers à relever. Ils tenaient compte parfois des limites naturelles infranchissables, mais pouvaient aussi bien tracer des lignes droites sur l’inconnu et les appeler frontières. Ces propos de Lord Salisbury, lui-même un des grands « partageurs du gâteau » africain se passent de commentaire : « Nous avons entrepris de tracer sur les cartes des régions où l’homme blanc n’avait jamais mis le pied. I. Différends de frontières entre les Etats africains II.