background preloader

BROCHURE_TMS_2009-2.pdf

BROCHURE_TMS_2009-2.pdf

Formation et information La formation et l’information sont une obligation de l’employeur en matière de prévention des risques professionnels. Elles concernent tous les salariés, y compris les nouveaux embauchés, les intérimaires, les sous-traitants, ceux qui viennent de changer de poste, ceux qui interviennent de façon occasionnelle dans les activités d’entretien ou de maintenance. Elles ont pour corollaire le devoir du salarié de suivre ces formations et de respecter les consignes qui lui sont transmises. En matière de prévention des risques professionnels, l’employeur est obligé d’informer ses salariés. Renforcer les compétences par des formations Au-delà de ce devoir d’information, l’employeur a l’obligation d’assurer la formation à la sécurité des salariés, à l’embauche ou à l’occasion de toute modification du poste de travail. Cette formation à la sécurité a pour objectif de les instruire notamment des mesures de prévention à respecter dans l’entreprise ainsi que de la conduite à tenir en cas d’accident.

Prévenir pour quoi faire ? (/accueil/pages-contact/FormulaireEnvoyerLien.html?currentUrl=http%3A%2F%2Fwww.inrs.fr%2Faccueil%2Fdemarche%2Fprevenir.html¤tTitle=Pr%C3%A9venir%20pour%20quoi%20faire%20%3F) ( (/accueil/pages-contact/Choixformulaire.html? Faire de la prévention au travail c’est préserver la santé et la sécurité des salariés dans l’entreprise. Chaque année, les accidents du travail et les maladies professionnelles se traduisent par la perte de 45 millions de journées de travail. Principales causes des accidents du travail avec arrêt en 2012 Évolution du nombre de maladies professionnelles depuis 2008, globalement et pour les tableaux relatifs aux TMS (n° 57) et aux affections liées à l'amiante (n° 30 et 30 bis) Une obligation légale L’employeur est responsable de la santé et de la sécurité des salariés de son entreprise. Des bénéfices humains et sociétaux Un comportement gagnant/gagnant Mis en ligne le 07 août 2014

Évaluation des risques et document unique L’évaluation des risques constitue une étape cruciale de la démarche de prévention. Elle en est le point de départ. L’identification, l’analyse et le classement des risques permettent de définir les actions de prévention les plus appropriées, couvrant les dimensions techniques, humaines et organisationnelles. L’évaluation des risques doit être renouvelée régulièrement. Évaluer les risques qui ne peuvent pas être évités est l’un des principes généraux de prévention présents dans le Code du travail. Identifier les dangers, analyser les risques L’évaluation des risques professionnels consiste tout d’abord à identifier les dangers et analyser les risques : Identifier les dangers, c’est connaître tous les facteurs susceptibles de causer un dommage à la santé des salariés. L’évaluation porte sur la conception des lieux (aménagement, réaménagement), sur les installations et les équipements de travail, sur les substances et préparations chimiques et sur les situations de travail.

Document unique, outil essentiel de la prévention Le document unique transcrit les résultats de l’évaluation des risques et liste les solutions à mettre en œuvre. Plus qu’un simple inventaire, ce document obligatoire est un outil essentiel pour lancer une démarche de prévention dans l’entreprise et la pérenniser. Ce document doit être mis à jour au minimum chaque année. Le document unique est une obligation pour toutes les entreprises depuis 2001. Identifier les dangers et analyser les risques Le document unique doit, selon la loi, comporter un « inventaire » des risques professionnels identifiés dans l’entreprise. Document unique : ce qu’il peut contenir Une identification des dangers C’est l’inventaire exigé par la loi. Une hiérarchisation des risques Les risques identifiés, notés selon les critères propres à l’entreprise (probabilité d’occurrence, gravité, fréquence, nombre de personnes concernées…), sont ensuite classés. Des propositions d’actions de prévention Toute mesure de prévention pertinente est discutée.

« Taux de fréquence et taux de gravité sont les vrais faux amis de la mesure de la performance SSE ». Vous avez comparé les taux de fréquence et de gravité dans les entreprises du CAC40. Pourriez-vous défi nir ces indicateurs et leur finalité ? Le taux de fréquence conventionnel des accidents avec arrêt mesure le nombre d’accidents avec arrêt par million d’heures travaillées pendant une période, qui est souvent annuelle. C’est une défi nition utilisée en France et dans beaucoup d’autres pays. Aux États-Unis, cet indicateur est rapporté à 200 000 heures travaillées. Dans les entreprises, il existe certaines déclinaisons de cet indicateur qui tiennent compte d’autres événements accidentels (accidents déclarés sans arrêt, premiers soins…). Le taux de gravité mesure quant à lui le nombre de jours d’arrêt par millier d’heures travaillées pendant une période, qui est souvent annuelle. Ces deux indicateurs mesurent donc la fréquence des accidents et leur gravité. La maîtrise des événements les plus fréquents, si elle est nécessaire, ne suffit pas à réduire les conséquences des accidents.

Agir sur les conditions de travail, c'est plus de performance ! Satisfaction des salariés, préserver la santé, innover, conduire les changements... Pourquoi agir sur les conditions de travail ? L'action sur les conditions de travail revêt aujourd'hui des enjeux multiples, pour l'entreprise et la société. Au niveau de l'entreprise Préserver la santé des salariés C'est réduire des coûts pour l'entreprise liés aux accidents et maladies professionnelles mais dans une proportion bien plus importante, un ensemble de coûts indirects qui en découlent (absentéisme, remplacement de personnel, turn over, tensions sociales, déficit d'image de l'entreprise, ...). Améliorer la satisfaction du personnel Au delà de la préservation de la santé, la satisfaction du personnel a de nombreuses incidences sur la performance de l'entreprise. Innover et conduire les changements La qualité des conditions de travail, avec ses incidences fortes sur l'implication et la participation du personnel est un facteur essentiel d'innovation pour l'entreprise. Des enjeux sociétaux Les enjeux de l'action sur les conditions de travail dépassent les frontières de l'entreprise.

Troubles musculo-squelettiques (TMS) De quoi parle-t-on ? Les TMS représentent un grave problème de santé au travail partout dans le monde et touchent plusieurs millions de travailleurs en Europe. Au-delà de la souffrance humaine, ils sont à l’origine de déficits fonctionnels gênant l’activité professionnelle. Actualités Le Directeur Général du Travail, Jean-Denis Combrexelle, a présenté mardi 18 octobre le quatrième volet de la campagne pluri-annuelle de sensibilisation et de prévention sur les troubles-musculo squelettiques (TMS). Cette quatrième phase de communication du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé, réalisée en collaboration avec les partenaires préventeurs (Assurance maladie- Risques professionnels, ANACT, OPPBTP, INRS, MSA, ministère chargé de l’agriculture) s’adresse plus particulièrement aux employeurs et aux cadres dirigeants. Campagne TMS 2011 : quatrième phase

Related: