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L'abolition des privilèges et la DDHC (4 et 26 août 1789)

L'abolition des privilèges et la DDHC (4 et 26 août 1789)

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Les Français et le Roi sous l’Ancien-Régime Pour écouter l’émission, appuyez sur la touche “Ecouter” ci-dessous ou téléchargez le fichier audio en cliquant sur l’icône “Télécharger” à droite du player (flèche vers le bas). L’émission est aussi disponible en bas de page sur Youtube. Durée totale de l’émission: 30’58. Comment vivait-on sous l’Ancien Régime et à l’époque moderne? Comment être précisément “ancien” et “moderne” à la fois? Dans son dernier livre consacré à la vie sous l’Ancien Régime, Agnès Walch fait le point sur la situation politique, économique et sociale des Français. Les signataires du serment du Jeu de paume Un acte de courage politique accompli dans des conditions de fortune 17 juin 1789, face à l’inertie générale, les députés du Tiers Etat aux Etats généraux se constituent, en Assemblée nationale. La majorité du clergé vote, le 19, sa réunion au Tiers. Le roi qui ne veut pas reconnaître ces mesures prescrit la fermeture de la salle où le Tiers se rassemble. Les députés se rendent, le 20 juin, à la Salle du jeu de paume et décident de prêter serment de ne se séparer qu’après avoir donné une constitution à la France. La situation n’est pas alors sans danger pour les députés qui bravent la volonté royale à quelques pas du fastueux palais de Versailles.

Le siècle des révolutions: Le choc des modèles (1770-1780) Pour écouter l’émission, appuyez sur la touche “Ecouter” ci-dessous ou téléchargez le fichier audio en cliquant sur l’icône “Télécharger” à droite du player (flèche vers le bas). L’émission est aussi disponible en bas de page sur Youtube. Durée totale de l’émission: 22’25. Le serment du Jeu de paume, 20 juin 1789 Cet événement fondateur de la Révolution française constitue une étape symbolique dans la destruction de l’absolutisme. L’ouverture des états généraux avait suscité une querelle de procédure : le tiers état souhaitait la réunion des trois ordres ainsi que le vote par tête, le vote par ordre donnant nécessairement la majorité au clergé et à la noblesse. Face au refus du roi, le tiers état se proclama Assemblée nationale et appela les deux autres ordres à le rejoindre. Louis XVI fit fermer la salle de réunion des députés. Ces derniers se portèrent alors dans la salle du Jeu de paume.

Une histoire incorrecte de la Révolution Pour écouter l’émission, appuyez sur la touche “Ecouter” ci-dessous ou téléchargez le fichier audio en cliquant sur l’icône “Télécharger” à droite du player (flèche vers le bas). L’émission est aussi disponible en bas de page sur Youtube. Durée totale de l’émission: 53’50. Plus qu’un simple objet d’histoire, la Révolution Française est pour certains un mythe, un fantasme, une idole. Un mythe aux contours flous qu’il faut sans cesse réinventer et adapter, un mythe populaire écrit par des intellectuels, un fantasme qui ensorcelle et qui fascine. Mais la Révolution française est aussi une idole, qui semble pourtant chanceler depuis 1789 dans son sanctuaire.

1792 : La première Commune insurrectionnelle de Paris La première Commune de Paris en 1792 est un des phénomènes les plus intéressants de la Révolution française, d’un point de vue libertaire. Elle fut l’institution qui permit aux sans-culottes de mener leur lutte pour ne pas laisser les gouvernements révolutionnaires successifs parler en leur nom . Si elle réussit à peser sur les orientations de la révolution, elle ne parvint toutefois pas à en prendre le contrôle… Qualifier la Révolution française simplement de révolution bourgeoise est réducteur, et l’expérience de la Commune insurrectionnelle de 1792 nous l’indique, comme nous l’indiquent le rôle joué par la paysannerie ou l’existence d’une « extrême gauche » de la Révolution, avec les Enragés ou les babouvistes [1] actifs dans cette Commune. De par sa position centrale géographiquement, la Commune insurrectionnelle de Paris joue un rôle essentiel de double-pouvoir face à la Convention, de l’été 1792 à l’été 1794. À la recherche d’une conscience de classe

1789: les derniers jours de Versailles. Pour écouter l’émission, appuyez sur la touche “Ecouter” ci-dessous ou téléchargez le fichier audio en cliquant sur l’icône “Télécharger” à droite du player (flèche vers le bas). L’émission est aussi disponible en bas de page sur Youtube. Durée totale de l’émission: 45’27.

Retour de Varennes à Paris Contexte historique Après Varennes Louis XVI est ramené à Paris, sur ordre de l’Assemblée nationale, le 25 juin 1791, après avoir tenté de fuir à l’étranger. Le peuple se précipite en foule sur tout le parcours, mais observe un silence impressionnant. Car, dans Paris, des placards ont été apposés : « Quiconque applaudira le roi sera bastonné, quiconque l’insultera sera pendu. » Venant du nord-est de Paris, la berline royale passe devant la barrière d’octroi du Roule.

La Bastille: Mythe & Réalités Quand les émeutiers se sont emparé du fameux bâtiment en juillet 1789, ils n’y trouvèrent que… sept prisonniers. Pourtant, le monument est resté dans les consciences comme un des attributs de l’arbitraire de la monarchie absolue. La date du 14 juillet est connue de tous parce qu’elle est notre fête nationale et qu’elle s’inscrit au rang des mythes de la France. Ce que nous savons moins est que cette date fut arrêtée bien plus tard, en 1880, par le gouvernement de la Troisième République. Mais que voulait fêter cette Troisième République ?

Serment de La Fayette à la Fête de la Fédération Contexte historique Le 14 juillet 1790, fête de la Fédération Près de 400 000 personnes convergent vers le Champ-de-Mars ce 14 juillet 1790, en dépit d’un ciel bas et lourd, pour célébrer la Fédération un an après la prise de la Bastille. Décrétée par l’assemblée constituante, la fête de la Fédération devait réunir à Paris autour du roi les soldats citoyens gardiens des libertés acquises. Le Tiers état La convocation des états généraux Les mesures prises par la royauté, à la fin de 1788, pour la réunion des états généraux – élection des représentants du tiers et rédaction de cahiers de doléances par les trois ordres, noblesse, clergé et tiers état- font le jeu du tiers état. Elles lui imposent et lui permettent pour la première fois de s’organiser et d’énoncer clairement ses positions.En conséquence, la littérature politique foisonne pendant l’hiver 1788-1789, la liberté de presse étant tacitement reconnue.

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