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Qu'est ce que l'Assemblée Virtuelle

Qu'est ce que l'Assemblée Virtuelle

» ☞ E brezhoneg An destenn da heul a zo bet moullet e pajennoù ar gazetenn Ya! un nebeud mizioù zo, Setu, e berr gomzoù, kontadenn div sizhunvezh labour e toulloù-bac’h Roazhon. — — — — — Le texte qui suit a été diffusé dans les pages de l’hebdomadaire bretonnant Ya! il y a quelques mois. C’est le récit en quelques mots de deux semaines d’ateliers dans les prisons rennaises. Toull-bac’h ar merc’hed, just e-kichen an ti gar. Amañ, en toulloù bac’h, ne c’heller ket disoñjal e pelec’h emaor. E-pad div sizhunvezh hon eus labouret div eurvezh bemdez en toulloù bac’h. Tif de la tif | Réflexions intersectionnelles trilingues sur des produits de la culture geek et pop Simon Alain | Pour une nouvelle Philosophie en Bretagne.

Accueil | Breizh Impacte Le drapeau breton sur un timbre poste Masuyer, mon objectif était de vous faire retrouver un sens de la nuance qui semblait absent de vos messages précédents qui paraissaient envoyés du haut d’un piédestal duquel vous jugiez avec la prétention de celui qui sait tout et qui a tout compris l’ensemble du mouvement breton. Concernant la littérature bretonne, vous êtes passé du concept de « pseudo-littérature » à celui de « tout n’est pas à jeter pour autant ». C’est un progrès ! J’aurais d’ailleurs été intéressé d’avoir le titre d’une œuvre en breton que vous classeriez sous cette rubrique de « pseudo-littérature », et par contraste une œuvre d’un auteur français connu qui ne fasse pas partie de cette catégorie (à moins que cette catégorie ne soit applicable qu’à la « littérature » en langue bretonne !) « Marh al lorh » fait-il aussi partie de la pseudo-littérature ? « Le problème, c’est que ceux qui s’en sont fait les théoriciens, notamment lors du mouvement « Gwalarn » étaient terriblement « francisés ». » » Cordialement

Mikeal « Qui va nommer les choses ? » Depardon : Donner la parole Jeunes filles Yanomami photographie instantanée de Raymond Depardon « Qui va nommer les choses ? » Depardon : Donner la parole Je suis allé voir, à la Fondation Cartier à Paris, dans le cadre de l’exposition Terre natale, ailleurs commence ici (21 nov. 2008-15 mars 2009, le film de Raymond Depardon Donner la parole ( Balhar la paraula ), ou comme le dit la traduction anglaise, que je préfère, Hear them speak ( Escotatz los parlar ). C’est une œuvre belle et terrible sur ce que veut dire appartenir à travers sa langue à un lieu, ou par le lieu à une langue, quand on a la mort aux trousses, et dans une situation où la parole est le seul viatique, le seul secours et la seule arme. Occitans et Bretons entre Afars et Guaranis Parmi eux, entre eux, entre Afars et Guaranis, figurent un occitan du Pont-de-Montvert et une bretonne de l’île de Sein. Hear them speak / Écoutez les parler Raúl Edén Ulloa, Kawésqar, phtographie instantannée de Raymond Depardon Désormais il ne reste plus que dix Kawésqar.

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