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Sommes-nous tous égaux face au conflit ? Qu'en dit la théorie de l'attachement ?

Sommes-nous tous égaux face au conflit ? Qu'en dit la théorie de l'attachement ?
Sommes-nous tous égaux face au conflit ? Qu’en dit la théorie de l’attachement ? Un article rédigé par Marie-Noëlle de Theux-Heymans, Psychopédagogue, Formatrice d’adultes formée à la théorie de l’attachement, initialement publié en 2011, dans notre trimestriel. Dernièrement, j’ai eu l’occasion d’observer une classe d’enfants de maternelle durant leur récréation. Qu’il s’agisse de Paul, Marie, Chloé ou Aloys, ces enfants vivaient le même désaccord : utiliser le vélo. Une lecture de la situation via la théorie de l’attachement > La recherche de sécurité avant tout Parler d’attachement dans la théorie de l’attachement renvoie à une notion un peu différente du langage courant. > Rechercher la sécurité pour survivre Le nourrisson naît immature à la naissance. > Se construire une image du monde et de soi-même Lorsqu’il vit un stress, il active son « programme » d’appel. Cycle d’éveil et de la détente ou cycle de la confiance (Fahlberg, 1988 cité par Schoffield & Beek, 2006; Lemieux, 2004) Related:  Compétences psycho sociales

comment ne plus punir ? ne plus punir à cet avantage de ne plus vous mettre en porte à faux : plus de punitions , donc plus de menaces à mettre à éxécution ! et oui il faut voir le positif ! ne plus punir cela veut dire ne plus faire "marcher au baton " son enfant , cela veut aussi dire supprimer le coin ainsi que l'isolement . concretement comment fait-on ? déjà on comprend pourquoi la punition n'apporte rien , et peut meme etre néfaste à la relation : punir n'a pas pour effet de faire réfléchir l'enfant,au contraire cela lui donne du ressentiment envers nous. cela ne lui enseigne rien si ce n'est à l'éviter et donc à faire les choses en cachette . à la place du coin ou de l'isolement qui avaient une utilité lors de conflits entre enfants ou lorsqu'un enfant avait un comportement inadéquat (s'excitait , n'écoutait rien....) on peut décider : - d'ignorer (et donc on supprime le renforcement négatif ) -de proposer de réparer : si l'enfant commet une maladresse ou abime quelque chose par exemple .

[éducation positive] LE "BOCAL POUR RETROUVER SON CALME" - NounouPanda : la bulle des lutins Avec une jeune enfant, difficile de passer à côté des fameuses "colères". Parce que le cerveau n'est pas assez mature et parce que les bambins ont du mal à contrôler toutes les émotions qui les submergent. La frustration et le manque de contrôle sur leur environnement sont difficiles à gérer. Alors parfois, la cocotte-minute explose et c'est la grosse colère ! Lorsqu'un enfant fait une colère parce qu'on lui refuse quelque chose, ce n'est pas une raison pour lui céder si l'on estime être dans le juste. e sa colère. Seulement, avant de pouvoir verbaliser sa frustration, l'enfant a besoin de retrouver un certain état de calme. On remplit un bocal d'eau colorée, de colle et de paillettes. Pour fabriquer votre propre "bocal pour retrouver son calme" il vous faut : - un grand bocal (en plastique pour les plus petits, ou à défaut une bouteille)- de la colle liquide (1 cuillère à soupe) diluée dans une tasse d'eau chaude- des paillettes - du colorant alimentaire (optionnel)

Alice Miller Revue "Non-Violence Actualité" Janvier/Février 2013 La colère chez l’enfant, signe de bonne santé psychique. Nous avons tous entendu dire : « T’es pas belle quand tu es en colère – Tu fais des caprices – Puisque tu cries, je te laisse»…. Accabler l’enfant par ces réflexions, c’est comme lui envoyer un « projectile » dans le cerveau qui, en attendant d’exploser à tout moment de sa vie (l’adolescence, l’âge adulte), le détruit à petit feu. Dès notre naissance, nous sommes dotés d’un système émotionnel très sophistiqué qui nous permet de ressentir la colère, la peur, l’angoisse de séparation et c’est grâce au déclenchement de ces émotions que nous pouvons assurer notre survie en appelant la présence de nos parents pour nous rassurer. Si les nourrissons sont constamment assaillis par ces émotions, c’est parce que leur cerveau cognitif qui permet d’analyser les situations, de faire des déductions et de se calmer tout seul, n’est pas encore assez développé pour lui permettre de réfléchir. Haut

35 activités pour aider les enfants à mieux vivre les émotions 35 activités pour aider les enfants à mieux vivre les émotions Posted by Christine Klein on 10 août 2014 · 1 commentaire J’ai découvert hier ce petit livre dont le titre m’a immédiatement attiré le regard. Et parce que je suis en vacances, je me permets de prendre le dimanche pour un vendredi ou un samedi :) et de vous faire un bref billet pour cette rentrée des VI. L’auteur d’abord, Gilles Dierderichs est musicothérapeute, sophro-relaxologue et auteur compositeur. Il travaille avec des enfants au quotidien, ce qui explique sûrement la richesse et la variété des idées d’activités qu’il propose. 35 activités autour du thème des émotions, c’est ludique et inventif, j’ai hâte d’en essayer quelques-unes avec ma fille de 3 ans et avec mes jeunes clients ! J’aime beaucoup la conception avec toutes les petites icônes pour savoir si l’activité se faire en intérieur ou dehors, ou les deux, si l’enfant peut la faire seul, à deux, avec ses parents, avec des copains. Bref, j’adhère ! Like this:

Si j'aurais su.... Je serais né en Suède C'est une longue histoire... J'ai commencé très tôt à m'intéresser à la psychologie infantile, à l'éducation non-violente et à la parentalité positive, j'étais encore au collège. Très vite, mes lectures de l'époque (Alice Miller, Olivier Maurel et à peu près tous les magasines parentaux entre autre) m'ont menée vers la Scandinavie, et surtout la Suède donc, première à avoir aboli tous châtiments corporels sur enfants en 1979. Cet intérêt pour la Suède, pour cette société plus humble, égalitaire, pacifiste, ne m'a jamais lâché, depuis ce jour. J'ai décidé, quand j'avais 15 ans, que je vivrais en Suède une fois adulte. Quand, des années plus tard, je me suis enfin retrouvée en Suède pour la toute première fois, j'ai alors pu découvrir, en réalité, cette société qui, je le savais, me ressemblait. Je vivais dans une famille à Stockholm et travaillais en tant que jeune fille au pair toute cette première année. Cela est tellement, mais tellement faux !! Et c'est ça que j'ai voulu montrer.

Alice Miller - Abus et Maltraitance de l'Enfant La rubrique courrier, n'est plus en activité, en consultant les lettres déjà publiées, vous trouverez peut être des réponses à vos questions Vous pouvez joindre Brigitte Oriol à l'adresse e-mail brigitteoriol@sfr.fr Alice Miller (12 janvier 1923 - 14 avril 2010), docteur en philosophie, psychologie et sociologie, ainsi que chercheur sur l'enfance, est l'auteur de 13 livres, traduits en trente langues. Des 192 membres des Nations Unies, seuls 19 ont jusqu'à présent interdit le châtiment corporel des enfants. Les humiliations, les coups, les gifles, la tromperie, l'exploitation sexuelle, la moquerie, la négligence etc. sont des formes de maltraitances parce qu'ils blessent l'intégrité et la dignité de l'enfant, même si les effets ne sont pas visibles de suite. C'est comme ça que l'ignorance de la société reste si solide et que les parents continuent en toute bonne foi à produire le mal dans chaque génération depuis des millénaires. Haut

Les émotions + outils pédagogiques - Les émotions font partie intégrante du fonctionnement des humains. Elles imprègnent nos pensées, notre comportement et nos expériences, elles motivent nos décisions les plus importantes, elles constituent l’essence même des rapprochements sociaux et elles sont au cœur des processus culturels et de socialisation . Qu’est ce qu’une émotion ? Une émotion est une réaction physiologique à une situation. La verbalisation des émotions produit un effet apaisant sur le système nerveux des enfants mais des adultes aussi ! Vos propres émotions. Avez-vous déjà prêté attention à vos propres émotions ? Connaitre ses propres émotions avant de comprendre celles des autres. Les comportements des adultes influencent ceux des enfants, vous êtes un modèle pour l’enfant. Reconnaître et exprimer vos propres émotions est important, la capacité à réguler vos émotions est directement liée aux compétences sociales : ce que vous pensez des émotions peut influencer le bonheur futur de l’enfant. Les émotions de l’enfant.

Fais-moi confiance! Dans un de ses numéros, l'humoriste québécois Louis-José Houde s'amusait à dire qu'on pouvait faire croire n'importe quoi aux enfants. « Si tu ne manges pas ton repas, un monstre va te manger! » La recherche semble démontrer qu'il n'a pas tout à fait tort. Une étude réalisée par des chercheurs californiens auprès de 182 tout-petits de 3 à 4 ans révèle que ceux-ci font confiance systématiquement à un adulte s'il n'est pas contredit par un autre. Les scientifiques ont en effet remarqué que les tout-petits croient automatiquement un adulte, même s'il n'est pas très fiable, dans la mesure où aucune information contraire n'existe. Cependant, en présence d'une autre personne plus fiable, l'enfant fera plus confiance à celle-ci si elle formule un avis différent. Le tout-petit ne prendra toutefois pas l'initiative de demander une confirmation si la personne fiable n'exprime pas elle-même son opinion.

Prévention et lutte contre les violences en milieu scolaire : point d'étape En vidéo : intervention de Vincent Peillon lors du point d’étape sur les travaux de la délégation ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire En vidéo : Eric Debarbieux présente l'"Enquête de victimation et climat scolaire auprès des personnels du second degré" Agir ensemble avec détermination en faveur d’un climat scolaire apaisé et serein Lors de l’installation de la délégation ministérielle à Amiens le 12 novembre dernier, le ministre de l’éducation nationale a affirmé sa volonté de "briser le silence" : "c’est la première fois que l’éducation nationale reconnaît en tant qu’institution le problème de la violence scolaire". Les plans qui se sont succédé en France ces dernières années ont en effet le plus souvent abordé cette question de manière partielle et court-termiste, c’est-à-dire au gré des faits divers et par le seul prisme de la lutte contre la délinquance et la violence d’intrusion. Ce dispositif a rencontré un grand succès.

8 réactions non punitives face aux comportements à problème Chaque fois qu’un enfant fait un geste ou a un comportement qui nous empêche de satisfaire un de nos besoins (besoin de calme, de silence, de respect, d’ordre…), ce comportement est inacceptable pour nous car il nous cause un problème. C’est donc à nous qu’appartient le problème. Dans son livre Éduquer sans punir, Thomas Gordon cite des exemples de problème appartenant aux parents : l’enfant fait du bruit quand le parent est au téléphone, il tape son frère avec des jouets, il joue quand ses parents sont pressés… Voici 8 réactions non punitives face aux comportements des enfants qui posent problème aux adultes tirées du livre Eduquer sans punir. Au delà des besoins physiques et physiologiques des enfants (faim, soif, envie de faire pipi, besoin de se dépenser et de bouger, sommeil, chaleur ou froid…), il existe des besoins affectifs forts chez les enfants. Les psychologues pour enfants parlent de la théorie de l’attachement. Thomas Gordon liste 8 avantages des messages-Je préventifs :

La méthode du 5-10-15 : quand la médecine encourage la maltraitance | Quand Zalah materne C’est un petit livre publié par le CHU de Ste-Justine. Tout le monde connaît, c’est l’Hôpital pédiatrique avec un grand H. Celui où on fait des miracles pour les enfants malades, réputé à travers tout le pays. Alors donc, c’est un petit livre qui inspire confiance aux parents. Cautionné comme il l’est par les plus compétents savants en pédiatrie. C’est un petit livre intitulé Enfin je dors… et mes parents aussi, et signé Evelyne Martello, infirmière clinicienne, responsable de la Clinique du sommeil à Ste-Justine. Un petit livre au résumé inspirant : « L’enfant a besoin de bonnes nuits de sommeil et ses parents aussi. Mais outre une routine plutôt traditionnelle (bain, boire, etc.) et correcte pour l’heure du coucher, que conseille ce petit livre ? De fiche bébé dans son lit et de le laisser pleurer. Parce que bébé est capable de s’endormir tout seul dès la naissance. Parce qu’un bébé qui se réveille la nuit, c’est très chiant. Parce que le cododo, c’est mal ! Ras-le-bol ! Et moi, j’accuse !

COMMUNIQUER AVEC BIENVEILLANCE - Rennes Mael Virat : Faut-il aimer les élèves ? "Monsieur, vous m'aimez pas". Mais faut-il marquer de l'affection aux élèves ? La tradition de l'école française serait à priori de dire non. Mael Virat n'est pas d'accord. Docteur en sciences de l’éducation, la polyvalence de son cursus universitaire en biologie, psychologie, philosophie, neuropsychologie et bien sur sciences de l’éducation, l’a conduit à orienter ses recherches sur la relation affective enseignant-élève. Et à lever le tabou : " il existe des centaines d’études, en psychologie de l’éducation, qui ont montré les nombreux effets positifs du lien affectif enseignant-élève". Il existe une controverse au sujet de la dimension affective dans les métiers de l’éducation. Parler d’un tabou est tout à fait approprié. Il y a donc vraiment un malaise quand on parle des « sentiments » à l’école… Une première explication vient de la place absurde que tient encore aujourd’hui la controverse instruction / éducation à l’école et dans les débats de société. La thèse de M Virat

Parents : Pourquoi faut-il reconnaître sa toxicité à l'oeuvre dans sa relation à l'enfant ? (et comment aider les parents à sortir de leur toxicité ?) « C’est en vivant avec des adultes épanouis que les enfants deviennent à leur tour des adultes épanouis, pas en se faisant bourrer leur petite tête de principes moraux par des hypocrites bien intentionnés mais inconscients. » Lee Lozowick. A la fin de mon article sur les parents aux comportements toxiques* que j’écrivais en mai dernier, je précisais : « Pour que tous les membres d’une famille apprennent peu à peu à vivre ensemble dans le respect et l’amour, il leur faut ne plus avoir le besoin de se manipuler les uns les autres sous le prétexte qu’il est douloureux de reconnaître ses maladresses. » Après avoir lu cet article sur la toxicité à l’œuvre chez certains parents, un homme de 50 ans m’a écrit : On sait en effet aujourd’hui que les enfants victimes d’abus courent environ deux fois plus de risques que les autres de souffrir de comportements pathologiques à l’âge adulte. Le mécanisme de la mauvaise foi du parent toxique : Notes :

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