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L'histoire du stylo bic

L'histoire du stylo bic
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Autoportrait Faites vos jeux Réalisez une production plastique qui donne sens à la proposition : faites vos " je/jeux ". Faites préalablement vos recherches Internet sur l’autoportrait ; n’oubliez pas de les accompagner de croquis. Life is so complex, Martial Raysse, 1966, plexiglas coloré opaque ou transparent découpé et moulé sur contreplaqué, 150,2x250 cm, Musée de Grenoble. Objectifs : Appréhender les relations entre l’image et son référent ; Produire des images numériques et prendre conscience de leurs spécificités ; Expérimenter les aspects artistiques liés aux techniques de reproduction ; Exploiter les éléments de rhétorique des images : allégorie, métaphore, métonymie ; Construire une image en exploitant les stratégies de communication. Compétences : Acquérir une expérience artistique suffisante ; Acquérir une compétence numérique ; Utiliser de façon pertinente le vocabulaire technique, analytique et sémantique des images. Portrait, autoportrait, autobiographie et identité à travers l’art vidéo

Pourquoi Coca-Cola s'appelle Coca-Cola Coca-Cola descendant d'un vin français, qui l'eût cru ? Et pourtant, son inventeur le Dr John Pemberton s'est inspiré d'un fortifiant corse, un mélange de vin et de feuilles de coca, qui était commercialisé aux États-Unis dans les années 1880 pour concocter un remède contre les maux de tête. Enrichi de noix de Kola, le précieux breuvage est apparu pour la première fois en 1885 à Atlanta sous le nom de «Pemberton's French Wine Coca». Du coup, quand Asa Candler, un homme d'affaires d'Atlanta, racheta la marque à John Pemberton en 1891, il n'hésita pas longtemps sur le nom à donner à son entreprise : il l'appela Coca-Cola Company. Aujourd'hui, il est impossible de penser l'entreprise sous un autre nom tant sa renommée est liée à la marque - estimée à 70 milliards de dollars - et à son produit phare. Aussi bien le nom que le logo et même la célèbre bouteille surnommée « la dame au fourreau » sont protégés, et ce depuis très longtemps. » Pourquoi McDonald's s'appelle McDonald's

Bref historique du design Par Raymond Guidot, historien du design L’histoire du design se confond avec l’Histoire. Des origines de la révolution industrielle au design contemporain, une brève chronologie. Aux origines de la production de série L’histoire du design est indissociable de celle de la révolution industrielle. Made in America 1908, la Ford T, première automobile fabriquée en grande série. Nés avec la révolution industrielle, dégagés de toute référence historique, les Etats-Unis offrent un cadre idéal à l’essor de la mécanisation à grande échelle. Le temps des avants-gardes Dans l’effervescence des annees 20 naissent des mouvements hérités du cubisme puis des futurisme italien, constructivisme et suprématisme russes, mouvement hollandais De Stijl, qui vont marquer par leur audace tout le xxe siècle. Né en 1919 dans une Allemagne vaincue et appauvrie, le Bauhaus, à ses débuts, n’est pas, pour des raisons économiques évidentes, tourné vers la production en série. Les années 20 et 30 Les formes de la liberté

Bic et dans le sport ausi il fabrique des planche de... LearningApps - interactive and multimedia learning blocks Pourquoi McDonald's s'appelle McDonald's Richard et Maurice McDonald - ou plutôt Dick et Mac McDonald, ­comme on les appelait communément - ont légué leur nom de famille d'origine écossaise et très répandu aux États-Unis à l'une des marques les plus connues au monde. Les deux frères n'étaient pourtant pas prédestinés à une telle renommée. Leur père a été contremaître dans une usine de chaussures. Ce sont les débuts du drive-in en Californie qui leur donnent la bonne idée. Et pourtant, les frères McDonald ont rapidement vendu leur idée… à l'un de leurs fournisseurs, Ray Kroc. McDonald's s'est donc développé dans le monde entier. Tellement familier, McDo­nald's a en revanche ses diminutifs.

Une brève histoire du design, de Thonet à Starck en passant par Le Corbusier, Panton, Eames et Paulin - MOBIPOP L'après-Guerre marque le renouveau du design, pour des raisons économiques car les trente glorieuses voient la naissance de la société de consommation, mais aussi grâce à de nouveaux matériaux de synthèse inventés dans le cadre de l’effort de guerre (!) : le Polystyrène, le Vinyle, le Plexiglas, le Polyester armé de fibre de verre,.... Certains designers s'emparent des nouvelles possibilités offertes par ces matériaux : Charles Eames (voir en haut à gauche son celebre fauteuil) et d'Eero Sarineen. Tous deux imaginent pour leurs clients, Hermann Miller et Knoll, des sièges-coques, à base de polyester armé de fibres de verre, donnant ainsi suite à leur projet primé au concours Organic design for home furnishing de 1940, organisé par le MoMA. Dans les années 60, on assiste à la multiplication des expositions de meuble et de magazines de décoration. Quelques designers et modèles phare : Arne Jacobsen et sa fameuse chaise Fourmi : Eero Saarinen et sa chaise Tulipe :

bic ne fait pas que des crayon Analyse de l'image Composée de signes et porteuse d’une signification particulière, l’image véhicule un message choisi par son créateur. La lecture et la compréhension de ce message, dans le cas d’une œuvre d’art, ainsi que la portée expressive de l’image sont, grâce à l’analyse, enrichies par les connaissances, la sensibilité et la capacité d’imagination (avec toute la retenue et le bon sens que l’on doit respecter dans l’étude d’un tableau) du spectateur. La méthode proposée ici, loin d’être unique et exhaustive dans son approche, ne s’applique qu’aux images créées dans un objectif particulier et par la volonté de leur auteur, autrement dit l’icône selon la classification de Charles Sanders Peirce : tableau, fresque, miniature etc. I - La carte d’identité Ce sont les données de base, physiques, du tableau. III - La description La description est le support principal de l’analyse. Plastique : ce sont les couleurs, les formes, la touche, la matière et la texture. IV - L’analyse : rhétorique et connotations

Michelin continue de tracer la route Fleuron de l’industrie française, systématiquement classé dans les marques préférées des français, Michelin récolte les fruits d’une stratégie de marque sincère et cohérente, déployée avec constance depuis la fin du XIXème siècle. D’une façon générale, la sincérité d’une marque dans son intention (sa vision, son combat), qui s’exprime dans ses incarnations et dans ses interactions avec ses publics, est le cœur de son attractivité. C’est cette sincérité qui génère en amont un sentiment d’appartenance et, en aval, une envie d’expérience. L’histoire de la marque commence à la fin du XIXe siècle par une fabrique familiale de machines, notamment agricoles, la J.G. La légende veut que l’idée qui fera leur succès vienne de la visite d’un cycliste à l’usine en 1891. Alors qu’Edouard, l’artiste, s’occupe de la production, André, l’ingénieur, fait merveille en termes de communication. A cela il faut ajouter le succès des créations Michelin destinées à aider les conducteurs.

Histoire du design international au XXème siècle Raymond Loewy (5 novembre 1893 à Paris - 14 juillet 1986 à Monaco) est un designer industriel et un graphiste franco-américain. Vister le site web : Raymond Loewy Zdeněk Kovář (né le 26 Janvier 1917 à Vsetin, Moravia) (république tchèque), mort le 21 juin 2004 à Zlin) est un designer industriel tchèque renommé (design d’outils) Robert Blaich (USA) a embrasé une carrière internationale en tant que manager de design durant plus de 50 ans. Il était consultant pour la société Blaich Associés et il fut le directeur du design pour la compagnie Philips Electronics et pour Hermann Miller. Walter Dorwin Teague (18 décembre 1883 – 5 décembre 1960) est un architecte américain et un designer industriel le plus renommé et le plus prolifique designer industriel américain avec une œuvre très complète. Allemagne Marcel Breuer (21 mai 1902, Pécs en Hongire - 1er juillet 1981, New-York aux USA) était architecte et designer de mobilier qui fut un moderniste influant. France Italie : Ettore Sottsass Jr.

Les stylos Bic à la pointe de l’innovation - La Croix Le groupe français fabrique lui-même tous les composants de ses produits. Son modèle industriel lui permet de maintenir en France la moitié de sa production mondiale. Une cartouche d’encre, un tube plastique, une pointe, une bille, un bouchon, un capuchon. Avec ses 140 millions d’exemplaires vendus en France chaque année et ses 140 milliards dans le monde depuis sa conception en 1950 par le baron Marcel Bich, le Cristal Bic paraît un objet du quotidien extrêmement simple. En apparence seulement. « La prouesse technologique est d’avoir réussi à faire un produit de masse performant avec un rapport qualité prix imbattable », souligne Marie Saglio, directrice générale de Bic France. Vendu autour de 30 centimes d’euros en moyenne, le Cristal Bic affiche sans complexe près de trois kilomètres d’écriture, sans la moindre tache, tout en utilisant deux fois moins de matières que ses concurrents. « On le perd souvent plus vite qu’on ne l’use », note la dirigeante de Bic. Maîtrise des coûts

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