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The Science Behind Storytelling — and Why It Matters

The Science Behind Storytelling — and Why It Matters
As presenters we want people to pay attention, be engaged and remember the message. The key to doing that? Science now says it involves storytelling: Stories stimulate emotions, which may be the key to better learning, attention, memory and decision making. When we listen to stories, more of the brain lights up, according to Annie Murphy Paul, author of “Brilliant: The New Science of Smart.” Here’s the science: Two parts of the brain – Broca’s and Wernicke’s area – automatically light up when listening to a presentation. But just because you’re lighting up a few gray cells doesn’t mean you, the presenter, are getting through. John Medina, biologist and author of “Brain Rules,” also notes that, “We don’t pay attention to boring things.” Back to the story. Here’s a collection of storytelling rules tweeted out by Emma Coats, former story artist at Pixar. They’re all good advice, but file rules 2 and 4 under “essential” for your next presentation. Once upon a time there was ___.

Le concept de « flow » ou « état psychologique optimal » : état de la question appliquée au sport En psychologie du sport, un grand nombre de recherches ont été consacrées à l’étude des états émotionnels (e.g., Hanin, 2000 ; Jackson, 2000). Les chercheurs se sont dans un premier temps intéressés aux émotions négatives telles que le stress (Madden et al., 1995) ou l’anxiété (Landers & Petruzzello, 1994). La psychologie positive se situe dans une orientation différente car elle a pour objet d’étudier les émotions positives comme la joie (Buss, 2000), l’excellence (Lubinski & Benbow, 2000) ou le flow (Csikszentmihalyi, 1990 ; Jackson & Csikszentmihalyi, 1999). Ce courant de recherche a émergé récemment en Amérique du Nord. Selon Clifton (2002), « la psychologie positive est une révolution de la pensée car elle nous fait passer d’un mode d’expression en termes de déficit vers un mode d’expression en termes positifs ». Nous nous proposons dans cet article d’étudier le « flow » nommé également « état psychologique optimal ».

Théorie du flow Cet article est incomplet. Il est jugé trop incomplet dans son développement ou dans l'expression des concepts et des idées. Son contenu est donc à considérer avec précaution. Le concept du « flow » aussi appelé « expérience optimale » a été développé par Mihaly Csikszentmihalyi. Csikszentmihalyi décrit le flow comme l’expérience holistique que ressentent des individus lorsqu’ils agissent en s’impliquant totalement (Csikszentmihalyi, 1975: 36). Selon Csikszentmihalyi, il s’agit d’un état dans lequel les individus sont tellement impliqués dans ce qu’ils font que plus rien d’autre ne compte. 1 Composantes Csikszentmihalyi (1975) distingue à la base 4 composantes du flow : le contrôlel’attentionla curiositél’intérêt intrinsèque Csikszentmihalyi (1993: 178-9) défini 8 dimensions de l’expérience de flow: David Farmer (1999) émet une définition similaire dans How does it feel to in "the flow" ? Certains auteurs ont conceptualisé ces dimensions comme étant des variables externes. 3 Références

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